Encore plus d’hémérocalles de 2024

Publié le 5 novembre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Search for Scarlet’
Hémérocalle ‘Yazoo Eye-Catcher’
Hémérocalle ‘Chicago Apache’
Hémérocalle ‘Pink Treat’
Hémérocalle ‘Wild Wolf’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 110 mm
2e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 106 mm
3e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/2500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 115 mm
5e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm

Laissez un commentaire »

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


D’autres hémérocalles en 2024

Publié le 4 novembre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Wild Worf’
Hémérocalle ‘All American Chief’
Hémérocalle ‘Cœur Atout’
Hémérocalle ‘Janice Brown’
Hémérocalle ‘Green Revolution’
Hémérocalle ‘Work It Girl’

 
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 97 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 90 mm
3e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 75 mm
4e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
5e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 97 mm
6e  photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 50 mm

Laissez un commentaire »

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Des hémérocalles en 2024

Publié le 2 novembre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Belle Cook’
Hémérocalle ‘Spacecoast Sea Shells’
Hémérocalle ‘Allegiance’
Hémérocalle inconnue
Hémérocalle fauve ‘Kwanso’
Hémérocalle ‘Joan Senior’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 130 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 75 mm
3e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 62 mm
5e  photo : 1/200 sec. — F/9,0 — ISO 320 — 85 mm
6e  photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 100 mm

Laissez un commentaire »

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


La condamnation de toute désobéissance civile

Publié le 2 novembre 2024 | Temps de lecture : 4 minutes

Introduction

Lorsque les partisans de Martin-Luther King décidaient de s’assoir au comptoir d’un restaurant, dans une section où cela leur était défendu en vertu de lois ségrégationnistes, leur désobéissance civile était directement reliée à un interdit qui n’avait pas sa raison d’être.

Bloquer un pont ou jeter de la sauce tomate sur La Joconde de Léonard de Vinci n’est pas un droit. Si c’était un droit, s’en prévaloir en violant une loi qui s’y oppose serait de la désobéissance civile.

Dans un cas comme dans l’autre, ce sont plutôt des coups de publicité en faveur de groupuscules radicaux auxquels appartiennent les auteurs de ces méfaits.

S’incliner devant l’ordre établi

Plus tôt cette semaine, en réaction au blocage du pont Jacques-Cartier, Québec Solidaire a refusé son consentement pour que soit débattue une motion gouvernementale condamnant toute désobéissance civile.

Québec Solidaire doit être félicité pour s’être tenu debout.

On aurait tort de croire que la désobéissance civile n’a de place que dans l’Amérique raciste de Martin-Luther King ou dans l’Inde sous colonisation anglaise de Gandhi.

Très peu de Québécois se rappellent les circonstances entourant la création du parc canadien de Forillon, en Gaspésie.

En 1970, 225 familles vivaient en parfaite autarcie sur le territoire qui allait devenir celui de ce parc.

Mais le 17 juillet de cette année-là, sous la pression d’Ottawa, le gouvernement du Parti libéral du Québec (PLQ) adopte la loi P-8; celle-ci accordait à Québec tous les pouvoirs en vue de la création du parc.

Faisant la sale besogne au nom du fédéral, le gouvernement du PLQ a réduit tous ces gens à la misère en leur accordant une somme moyenne équivalente à 30 000$ (en dollars d’aujourd’hui) en échange de leur maison, de leur grange, de leur terrain, de leur terre à bois, et de leurs animaux.

Cette spoliation est un scandale qui a été d’autant plus facilement oublié qu’il n’a été marqué d’aucun incident violent.


 
D’autre part, à l’époque où Paul Desmarais était propriétaire de Sagard — le luxueux domaine forestier de 76 km² qu’il possédait dans Charlevoix — si Québec et Ottawa avaient décidé de l’acheter pour une bouchée de pain en vue d’en faire un parc, qu’aurait fait le milliardaire ?

À la manière des expropriés de Forillon, se serait-il laissé expulser de chez lui, escorté par des agents de la Sécurité du Québec, pendant qu’on mettait le feu à son château ?

Il aurait plutôt fait appel aux avocats les plus compétents du pays et se serait battu jusqu’en Cour suprême, si nécessaire, pour conserver la propriété de son bien.

En effet, le recours aux tribunaux et l’utilisation de la ‘procédurite’ pour retarder et faire obstacle à la volonté de l’État contituent le privilège de celui qui en a les moyens.

Par contre, la désobéissance civile, c’est la résistance du pauvre.

En profitant d’un fait divers insignifiant pour tenter de jeter le discrédit sur toute désobéissance civile, la CAQ est le successeur idéologique du duplessisme.

Références :
50 ans de Forillon: encore de tristes souvenirs pour les expropriés
Grève de l’amiante
QS s’oppose à une autre motion condamnant la désobéissance civile

4 commentaires

| 2018-202X (années Legault), Politique québécoise | Mots-clés : , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Les résultats de l’élection législative en Géorgie

Publié le 27 octobre 2024 | Temps de lecture : 7 minutes


 
Introduction

C’est hier qu’avaient lieu les élections législatives en Géorgie, un pays de Transcaucasie peuplé d’environ cinq-millions de personnes (en rose sur la carte ci-dessus).

Parmi la multitude des formations politiques en lice, c’est le parti au pouvoir (Rêve Géorgien) qui a obtenu le plus de votes, soit 54,1 %.

Cette victoire est d’autant plus remarquable que les quatre principaux partis d’opposition n’ont recueilli qu’un total de 37,6 % des votes. Et ce, alors que Rêve Géorgien est au pouvoir depuis plus d’une décennie.

Les lecteurs de ce blogue qui ont lu le troisième volet de la série consacrée à l’histoire récente de la Géorgie ne seront pas surpris de voir à quel point l’usure du pouvoir semble si peu avoir affecté la popularité de ce parti.

Nous y reviendrons.

La couverture médiatique en Occident

Comme c’est habituellement le cas lorsqu’une consultation populaire ne donne pas le résultat espéré par l’Occident, cette victoire a été rapportée négativement.

De Londres, The Guardian titre « L’opposition pro-européenne de Géorgie en appelle à protester contre les résultats électoraux ‘truqués’ ».

Faisant fi des guillemets qui nuancent la manchette du Guardian, CNN affirme : « L’opposition pro-européenne de Géorgie crie au scandale pendant que le parti au pouvoir soutient avoir gagné l’élection ».

La manchette de la BBC est presque identique; « L’opposition pro-européenne de Géorgie dénonce des élections volées alors que le parti au pouvoir revendique la victoire ».

Chez nous, Le Devoir parle d’un scrutin émaillé d’actes de violence.

Radio-Canada titre : « Après la victoire du parti au pouvoir, la Géorgie s’éloigne de l’UE ». Toutefois, l’article coiffé de ce titre relativement neutre reprend essentiellement les accusations des autres médias occidentaux.

Tout cela est basé sur les allégations trumpiennes des partis d’opposition.

Qu’en est-il véritablement ?

Le scrutin a effectivement été émaillé d’actes de violence.

De plus, des observateurs occidentaux ont raison d’affirmer vaguement qu’il y a eu des ‘inégalités entre les candidats, des pressions et des tensions’.

L’inégalité entre les candidats signifie que ceux dont la caisse électorale est mieux garnie ont davantage été enclins à acheter des votes.

Un peu comme Elon Musk organise aux États-Unis une loterie quotidienne d’un million de dollars en faveur de ceux qui s’engagent à voter pour Donald Trump.

Quant aux pressions, elles concernent les rappels aux fonctionnaires de voter du ‘bon bord’ (ce qui ne veut pas dire que, dans l’isoloir, ils cèdent à ces menaces).

Les mœurs politiques en Géorgie sont plus ‘viriles’ que les nôtres. C’est ainsi qu’il arrive que les députés en viennent aux coups lorsque les esprits s’échauffent au parlement.

Lors de l’élection législative précédente, après la réélection de Rêve Géorgien, un incident a été passé sous silence par nos médias.

Le 7 novembre 2020, le directeur de la Commission électorale d’un arrondissement de la capitale géorgienne a été assassiné après avoir refusé un pot-de-vin de 50 000 $US offert par deux militants de l’opposition pour qu’il prétende faussement que les élections législatives avaient été truquées.

En Géorgie, 50 000 $US représentent une somme considérable que seuls des organismes financés de l’Étranger peuvent se permettre.

Il faut donc prendre garde de la vision en blanc et noir de la propagande occidentale.

Les bousculades provoquées cette année par des agitateurs ne doivent pas nous impressionner. Ils ont pour but d’entacher la légitimité d’une élection perdue d’avance et de permettre aux partis d’opposition de faire en Géorgie ce que Trump fait depuis sa défaite électorale de 2020.

Les raisons de la victoire de Rêve Géorgien

Dans son émission de ce matin sur CNN, le chroniqueur Fareed Zakaria soutenait que, de nos jours, les partis politiques américains ne s’opposent plus en fonction de leurs politiques d’intégration raciale ou de la répartition de la richesse.

L’électorat se divise maintenant en fonction de fractures sociales et de divisions culturelles.

Du côté démocrate, on aura davantage de diplômés d’études post-secondaires, des personnes urbanisées, des partisans de la laïcité, des femmes, et des électeurs de ‘gauche’.

Du côté républicain se retrouvent davantage de personnes moins instruites, de personnes provenant de milieux ruraux, de fervents croyants, des hommes et des électeurs de ‘droite’.

La même chose se rencontre en Géorgie.

Dans la capitale et, dans une moindre mesure, dans les villes de province, les jeunes branchées épousent avec enthousiasme la défense des minorités de genre et les causes à la mode en Occident.

Toutefois, la moitié du peuple géorgien vit sur de petites exploitations agricoles où sont partagées des valeurs traditionnelles, soit celles soutenues par le clergé orthodoxe.

Pour ces personnes, un sermon dominical rappelant l’importance des valeurs chrétiennes a plus d’influence que n’importe quel message posté sur un média social américain.

Or justement, la campagne électorale du parti au pouvoir s’est axée sur la défense des ‘valeurs géorgiennes’ : le travail, la foi, la famille (traditionnelle) et la condamnation des mœurs occidentaux, jugés décadents.

Divisés entre eux par leurs politiques économiques et sociales, les partis d’opposition n’ont pas su faire valoir autre chose que leur accusation simpliste contre le Rêve Géorgien d’être à la solde de Moscou.

Ce qui est extrêmement réducteur aux yeux des Géorgiens eux-mêmes qui, comme leurs dirigeants, voient en Ukraine ce qui arrive quand un pays limitrophe de la Russie choisit de devenir son ennemi militaire.

Bref, aussi anti-russes soient-ils (depuis la guerre russo-géorgienne de 2008, qui a duré neuf jours), les Géorgiens ont choisi la prudence plutôt que la témérité d’une jeunesse branchée qui s’empressera de fuir à l’Étranger si la guerre devait éclater dans leur pays.

Références :
Après la victoire du parti au pouvoir, la Géorgie s’éloigne de l’UE
Elon Musk’s daily $1 million giveaway to registered voters could be illegal, experts say
En Géorgie, une bagarre au Parlement pendant la discussion sur les « agents de l’étranger »
Georgia’s pro-EU opposition calls for protest over ‘rigged’ election result
Georgia’s pro-EU opposition cries foul as ruling party claims election victory
Georgia’s pro-EU opposition says vote stolen as ruling party claims victory
Two Detained on Bribing, Threatening Late District Election Commission Head

Parus depuis :
Preliminary Report of the International Election Observation Mission (2024-10-27)
Findings of the OSCE/ODIHR over parliamentary elections were overall positive – Irakli Kobakhidze (2024-11-01)

Pour consulter en ordre chronologique tous les textes de cette série consacrée à l’histoire récente de la Géorgie, veuillez cliquer sur ceci.

4 commentaires

| Géopolitique, Géopolitique géorgienne | Mots-clés : , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


De 2000 à 2020 : principal partenaire commercial

Publié le 26 octobre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Cliquez sur la photo pour l’agrandir

En vingt ans, le commerce international s’est recentré sur l’Asie.

Au début du millénaire, les États-Unis étaient le principal partenaire commercial de la majorité des pays du monde.

De nos jour, c’est la Chine.

Laissez un commentaire »

| Économie, Géopolitique | Mots-clés : , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Quelques fleurs de juillet 2024 – III

Publié le 25 octobre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Lis asiatique ‘Scarlett’
Souci des jardins
Mauve des bois
Nid de guêpes dans un poirier

 
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/250 sec. — F/13,0 — ISO 1600 — 135 mm
2e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/6400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 150 — 90 mm

Laissez un commentaire »

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Northvolt : le hold-up financier de la Goldman Sachs

Publié le 24 octobre 2024 | Temps de lecture : 4 minutes

De tous les projets de Northvolt à travers le monde, l’usine québécoise de Northvolt est celui qui bénéficie du meilleur financement.

Non seulement le Québec a entièrement financé l’achat du terrain de 240 millions de dollars sur lequel cette usine sera bâtie, mais Investissement Québec et la Caisse de dépôt et placement du Québec ont déjà investi 710 millions$ dans le projet.

Jusqu’ici, Nothvolt a défriché son terrain à Bécancour, mais l’usine n’est pas sortie de terre. Si bien que les caisses de la succursale québécoise de Northvolt sont pleines.

Pendant ce temps, la maison-mère suédoise se bat pour sa survie; elle manque de liquidités. Or dès qu’une compagnie a les caisses vides, c’est la faillite.

Le gouvernement Legault se fait rassurant en soulignant l’indépendance financière de la filiale québécoise (pleine aux as) de la maison-mère (qui lutte pour sa survie).

Cette indépendance est bien relative (nous y reviendrons).

Sous la pression de ses créanciers, Northvolt a réduit ses dépenses en coupant 1 600 postes à son usine suédoise. Ce qui représente le quart de ses effectifs mondiaux. De plus, elle a remis à plus tard tous ses projets actuels (dont celui du Québec, différé de 18 mois).

Elle a contacté tous ses investisseurs actuels (privés et publics) pour leur demander de contribuer à un financement d’urgence.

Avec 19,2 % des parts, la banque d’investissements Goldman Sachs est le deuxième plus important actionnaire de la maison-mère de Northvolt (un peu derrière Volkswagen, avec 21,0 % des parts).

Cette banque offre d’injecter la plus grande part des 300 millions $US nécessaires pour assurer la survie de Northvolt jusqu’au premier trimestre de 2015. Et ce, à deux conditions.

Premièrement, elle exige que le gouvernement du Québec renonce à ses garanties financières en cas de faillite de Northvolt. En somme, elle veut que le Québec n’ait pas priorité sur elle en cas de liquidation des actifs de la compagnie.

Et deuxièmement, elle exige que les succursales de Northvolt qui ont de l’argent de trop (ce qui vise spécifiquement la succursale québécoise) transfèrent leurs surplus à la maison-mère.

Voyons en détail ces deux exigences.

Le sauvetage d’urgence de la maison-mère n’assure pas la survie de Northvolt à long terme. En d’autres mots, même si le Québec renonce à ses garanties, il n’est pas plus avancé puisque Northvolt pourrait faire faillite quand même si l’ambitieuse campagne de financement projetée l’an prochain est un échec.

Quant au transfert des surplus, ce qui en décide, ce ne sont pas les actionnaires; c’est le Conseil d’administration (CA) de la filiale québécoise.

S’il décide d’investir des centaines de millions de dollars dans le capital-actions de la maison-mère, les actionnaires furieux pourront toujours limoger les membres du CA lors de l’assemblée annuelle des actionnaires. Mais il sera déjà trop tard.

Si la banque américaine réussit son coup, le Québec se retrouvera avec des garanties qui concerneront les avoirs d’une coquille vide que sera devenue la filiale québécoise de Northvolt.

Références :
Déboires de Northvolt : quels seront les impacts à Bécancour?
Northvolt : Une faveur pour sauver les meubles ?
Québec céderait ses garanties financières pour sauver Northvolt

Complément de lecture : Le bras dans le tordeur Northvolt

Un commentaire

| 2018-202X (années Legault), Économie, Politique québécoise | Mots-clés : , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Quelques fleurs de juillet 2024 – II

Publié le 23 octobre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Lis asiatique ‘Affiity’
Coquelicot
Iris japonais ‘Geisha Obi’
Iris ‘Rose Queen’

 
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/400 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 106 mm
2e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/2500 sec. — F/11,0 — ISO 150 — 75 mm

2 commentaires

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Quelques fleurs en juillet 2024

Publié le 22 octobre 2024 | Temps de lecture : 1 minute
Scabieuse du Caucase ‘Perfecta Alba’
Lis ‘Erin Kate’
Astilbe
Lis asiatique ‘Sun Ray’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/4000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 135 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 64 mm
4e  photo : 1/320 sec. — F/11,0 — ISO 150 — 40 mm

Un commentaire

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel