Jardins de lumière 2022 – un aperçu de jour

29 septembre 2022
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D’ici peu, j’aurai l’occasion de publier un reportage photographique de l’édition 2022 de ‘Jardins de lumière’, qui se tient actuellement au Jardin botanique de Montréal.

Conçues pour être admirées de nuit, ces installations ont quand même un certain charme de jour.

Compléments de lecture :
Jardins de lumière 2022 : au Jardin des Premières-Nations
Jardins de lumière 2022 : au Jardin japonais
Jardins de lumière 2022 : au Jardin de Chine

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu FS KB20 + filtre bleu 80C d’Hoya — 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Acheter des lunettes à verres progressifs sur l’internet

2 juillet 2022

Introduction

Après avoir utilisé les mêmes lunettes pendant neuf ans, j’ai passé dernièrement un examen de la vue et acheté deux nouvelles paires de lunettes chez le même opticien d’ordonnance.

La première m’a couté 811 $ (603 €) et la seconde, 354 $ (263 €).

Le mois suivant, j’ai cherché à me procurer une troisième paire sur l’internet, histoire de vérifier si on peut se fier à ces lunettes-là.

Très tôt, je me suis rendu compte que les offres de lunettes à verres progressifs étaient souvent trompeuses; leurs lunettes à bas prix sont en réalité des montures à bas prix. Dès qu’on y ajoute les verres proprement dits, un revêtement antireflet et ainsi de suite, les prix se mettent à grimper.

Ce n’est pas le cas de Zenni Optical. Leurs lunettes sont très économiques. Mais sont-elles de qualité ?

Après avoir acheté auprès de cette entreprise, une paire de lunettes à verres progressifs (ci-dessus) au prix de 154,80 $ (soit 115 €) et après avoir été incapable de trouver une différence avec celles achetées en boutique, j’ai décidé de m’offrir une quatrième paire en notant cette fois les étapes à franchir afin de vous les expliquer.

Deux prérequis

Avant de passer une commande de lunettes à verres progressifs, vous avez besoin de deux choses.

Premièrement, d’une ordonnance d’un optométriste.

Et deuxièmement, vous devez connaitre votre distance interpupillaire. Celle-ci est l’écart (en millimètres) entre les centres de vos yeux. Pour la mesurer, on se place devant un miroir et, à l’aide d’une règle, on mesure cet écart.

Les étapes

Accédez au site web canadien de Zenni Optical.

En haut de la page d’accueil, à la droite du nom ‘ZENNI’, choisissez de voir le catalogue des montures pour homme (Men), pour femme (Women) ou pour enfant (Kids) et, dans le menu déroulant, cliquez sur Progressives pour voir les montures à verres progressifs.

À la page qui apparait, cliquez sur ‘Shop Progressive Frames’.

Une fois que vous avez choisi une monture qui vous intéresse, cliquez sur son image. Ce qui vous donne accès à plus de détails à son sujet.

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Au haut de la page, à gauche, vous pouvez choisir de voir la monture de face, de côté ou de biais. À droite, le bouton ‘Try On’ vous montrera cette monture telle que portée par différents modèles. Il est à noter que ce sont ici des images de synthèse, c’est-à-dire des images où la photo de la monture et celle de chaque modèle ont été combinés électroniquement.

Au bas de cette même page, vous avez les dimensions de la monture. À gauche, ‘PD Range’ vous précise, dans ce cas-ci, que cette monture est indiquée pour les personnes dont la distance interpupillaire est comprise entre 56 et 73 mm. De plus, on vous confirme qu’elle peut servir à monter des verres progressifs.

À droite, ‘Lens Width’ est la largeur de chaque verre. ‘Bridge’ est la largeur du pont qui relie les deux verres.

Si vous souhaitez que vos yeux soient au centre de vos lunettes (ce qui est plus esthétique), votre distance interpupillaire doit être très près de la somme de ces deux valeurs (ici, 50 mm + 20 mm, soit 70 mm).

Quant à ‘Lens Height’, c’est la hauteur de chaque verre. Lorsque la hauteur est suffisante, la personne qui porte les lunettes n’a pas besoin de hausser le menton pour passer de la vision éloignée à la vision rapprochée.

Pour terminer, ‘Frame Weight’ est le poids de la monture (donc sans les verres correcteurs).

Si tout vous convient, cliquez sur le bouton ‘Select Lenses’.


 
À la page suivante, cliquez sur ‘Prescription’.


 
À celle d’après, vous vous présentez comme un nouveau client ou un client déjà connu, mais disposant d’une nouvelle ordonnance (bouton du haut), ou comme un client dont l’ordonnance est déjà enregistrée chez Zenni (bouton du bas).

Dans le cas d’un nouveau client, cliquez sur ‘New Customer’.


 
À l’écran suivant, vous aurez à choisir entre ‘Single Vision’ (pour des lunettes à grossissement uniforme), ‘Progressives’ (pour des lunettes à verres progressifs) et ‘Bifocals’ (pour des lunettes à double foyer). Optez pour ‘Progressives’.


 
À l’écran suivant, cliquez sur la flèche pointant vers le bas afin d’ouvrir la liste déroulante qui vous permettra de préciser votre distance interpupillaire.


 
Dès que vous l’aurez précisée, l’écran s’agrandira automatiquement vers le bas afin de vous permettre d’entrer les données de l’ordonnance de votre optométriste.

Au bas, entrez l’année de votre naissance à ‘Birth Year’ et cliquez sur le bouton ‘Submit’.


 
De retour à la paire de lunettes que vous désirez, choisissez entre des verres progressifs :
• incolores,
• très subtilement jaunâtres qui bloquent la lumière bleue des écrans électroniques,
• teintés contre le soleil, ou
• incolores, mais qui s’assombrissent au soleil.


 
Si vous avez choisi des verres incolores, cette page vous offre le choix de verres qui protègent contre les ultraviolets ou des verres d’usage général.


 
Cette page vous suggère de payer un supplément pour des verres plus minces et plus légers. Je suggère de choisir ce qui est recommandé.


 
À cette page, vous pouvez payer un supplément :
• pour un revêtement antireflet,
• pour un revêtement qui laisse moins d’emprise à la pluie,
• pour un revêtement où les marques de doigts sont moins visibles, et
• pour un revêtement anticondensation.


 
Cliquez sur ‘Checkout’ pour passer à la caisse. À moins de vouloir un clip solaire ou de vouloir que votre nom soit gravé sur les branches de la lunette.


 
L’avant-dernière page est pour le paiement. Dans ce cas-ci, Zenni offrait un rabais de 20 %. Ce qui fait que cette quatrième paire de lunettes à verres progressifs m’a couté 123,43 $ (soit 92 €). Un peu lourde, mais pas chère.


 
La dernière page est la confirmation de la commande.

Normalement, les lunettes sont livrées deux semaines plus tard.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La magie des vapeurs

19 juin 2022
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Âgé de 21 ans et originaire de République dominicaine (ou de Madrid, selon les sources), Jaxell Frias s’est fait connaitre en 2019 en participant au télé-crochet ‘Romania Got Talent’.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La sculpture ‘Révolutions’ en infrarouge rose bonbon

25 mai 2022
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En 2016, j’ai eu l’occasion de vous présenter Révolutions du sculpteur montréalais Michel de Broin. Cette sculpture s’inspire des escaliers extérieurs en colimaçon, typiques de la ville.

Depuis un an, je me doute que cette sculpture serait mieux rendue en infrarouge rose bonbon. Au fil des mois, j’en ai pris quelques photos, jamais tout à fait à mon gout.

Ce matin, sur mon trajet vers le parc Westmount (dont je vous reparlerai), la météo était idéale. Et j’ai pu enfin prendre une photo qui me plait.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8 + filtre vert jaunâtre B+W 061 + filtre bleu B+W KB20 + filtre bleu 80C de Calumet — 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm

Pour consulter tous les textes de ce blogue consacrés à l’infrarouge couleur, veuillez cliquer sur ceci.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Pu capab’

16 février 2022

C’était il y a un demi-siècle.

Âgé de 23 ans, Pierre-Yves Angers réalisait en 1972 Le malheureux magnifique — en ciment blanc sur une structure d’acier — dans le cadre d’un concours organisé par les étudiants du cégep du Vieux-Montréal (où il étudiait).

Depuis 1991, cette sculpture fait partie de la collection municipale d’art public. Elle se trouve à l’intersection des rues Saint-Denis et Sherbrooke.

Le sculpteur a dédié cette œuvre «…à ceux qui regardent à l’intérieur d’eux-mêmes et franchissent ainsi les frontières du visible.»

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif Voigtländer 17,5mm F/1,2 + filtre Hoya à densité neutre ND8 — 1/640 sec. — F/? — ISO 200 — 17,5 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le ballet Giselle au Bachkortostan

6 février 2022
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À l’éclatement de l’Union soviétique, plusieurs de ses entités constituantes ont choisi de devenir des républiques indépendantes alors que d’autres ont préféré être membres de la nouvelle Fédération de Russie.

C’est le cas de la République de Bachkirie (ou Bachkortostan), peuplée de quatre-millions d’habitants, dont 1,1 million dans sa capitale, Oufa.

On y trouve une troupe de ballet constituée essentiellement de talents locaux.

Ce qu’on y présente est d’une étonnante qualité. Si vous êtes ballettomane, je vous invite à regarder cette production de Giselle d’Adolphe Adam sur la chorégraphie originelle de Jean Coralli, Jules Perrot et Marius Petipa.

Les danseurs sont compétents sans posséder le charisme de ce spectacle de finissants d’une école de danse portugaise, présenté sur ce blogue l’an dernier.

La chorégraphie portugaise avait résolu de manière relativement satisfaisante le délicat problème de la scène de séduction au premier acte, où l’insistance d’Albrecht peut heurter des sensibilités contemporaines.

Sur ce point précis, la chorégraphie bachkire est plus conventionnelle.

Ceci étant dit, ses décors, ses costumes et ses éclairages en font une production très séduisante qui rivalise avec celles de troupes plus prestigieuses.

Les interprètes principaux en sont :
• Irina Sapozhnikova (Giselle)
• Kanat Nadyrbek (Albrecht)
• Razilya Murzakova (Myrtha) et
• Sergueï Bikbulatov (Hilarion).

Chef d’orchestre : Marat Akhmet-Zaripov.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Stupéfaction

3 février 2022


 
Sur la rue Sherbrooke, en face de l’université McGill, on trouve la sculpture La Leçon, du Jérômien Cédric Loth.

Créée en 2012, cette sculpture représente un étudiant penché sur son ordinateur. Il est tellement captivé par ce qu’il y lit, qu’il ne remarque pas, à côté de lui, cet écureuil qui lui vole son hamburger.

Mais que lit-il donc ? Une très mauvaise nouvelle…


Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif Lumix-Leica 42,5mm F/1,2
1re photo : 1/125 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 6400 — 42,5 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
4e  photo : 1/30 sec. — F/9,0 — ISO 6400 — 42,5 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La statue au sommet du Capitole américain

11 janvier 2022
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Sous la protection de la Vierge ?

Les images des émeutiers à l’assaut du Capitole américain le 6 janvier 2021 ont familiarisé l’image de cet édifice néoclassique.

De loin, ce qui est intrigant, c’est la statue surdimensionnée qui surmonte le dôme de ce parlement.

Les bras entrouverts de ce personnage féminin et ses vêtements amples rappellent les représentations traditionnelles de la Vierge Marie.

Au risque de poser la question qui fâche, peut-on imaginer que l’Amérique si protestante ait senti le besoin de placer l’édifice de son parlement sous la protection de la Vierge ?

Un hommage à la liberté

Haute de 5,9 mètres, cette statue en bronze a été conçue par Thomas Crawford, un sculpteur américain travaillant en Italie.

Elle représente La Liberté triomphant dans la guerre et la paix.

On y voit une allégorie tenant une épée de la main droite, et les lauriers de la victoire (de même qu’un bouclier) de la main gauche. Le tout rappelle les statues antiques de Minerve ou d’Athéna.

Sur sa tunique légère est jeté à l’épaule gauche un lourd drapé de style autochtone.

En accord avec son symbolisme, l’allégorie devait originellement être coiffée d’un bonnet phrygien : ce couvre-chef mou, dont l’apex est replié sur lui-même, était porté par les esclaves romains affranchis.

Cette allusion à l’émancipation des Noirs suscita la colère du responsable de la décoration du Capitole, à la fois sénateur, secrétaire américain à la Défense, et… propriétaire d’esclaves.

Puisque le sculpteur était décédé avant l’achèvement de son œuvre, on modifia le modèle.

Dans la version définitive, la coiffe de l’allégorie est surmontée d’une tête d’aigle ébouriffée de plumes qui partent dans toutes les directions, mais surtout vers l’arrière.

De nos jours, cette statue est surnommée ‘Statue de la Liberté’.

La confusion avec la statue du même nom à New York est évitée par le fait qu’en anglais, celle de New York est appelée ‘Statue of Liberty’ alors que celle du Capitole est appelée ‘Statue of Freedom’.

En anglais, Liberty et Freedom sont des synonymes.

Références :
Bonnet phrygien
Philip Reid and the Statue of Freedom
Statue de la Liberté (Washington, D.C.)

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le fromage de Jean-Paul Riopelle

2 décembre 2021
Vent traversier (1952)
Autriche III (1954)
Œuvres récentes

Né à Montréal, Jean-Paul Riopelle est un des plus grands peintres du XXe siècle.

Le Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM) possède quelques-unes de ses œuvres marquantes.

Il avait l’occasion d’acquérir d’un seul coup près de 75 toiles exceptionnelles que divers collectionneurs — dont principalement Michael Audain — étaient prêts à lui donner à la condition que le musée construise une nouvelle aile destinée de les recevoir.

À l’époque où Nathalie Bondil dirigeait le MBAM, le musée projetait donc d’ajouter un étage supplémentaire à un bâtiment ancien situé immédiatement à l’ouest de son pavillon principal.

Entièrement recouverte de verre, cette aile devait donner accès à une vue impressionnante sur le mont Royal.

Il était prévu que les travaux commenceraient cette année pour se terminer deux ans plus tard, lors du centième anniversaire de naissance du peintre et du 75e anniversaire de la publication du manifeste Refus global.

Mais voilà qu’à la suite de la bisbille au MBAM, après avoir congédié Mme Blondil, les nouveaux dirigeants du musée ont invoqué la perte de revenus occasionnée par la pandémie pour annoncer, en novembre 2020, non pas le report de la construction, mais l’annulation pure et simple du projet.

Pourtant, le gouvernement Legault était prêt à financer le tout à hauteur de dix-millions de dollars, soit la moitié du cout de construction de la nouvelle aile.

Âgé de 84 ans, le principal donateur, Michael Audain, est pressé par le temps. Dès l’annulation du projet, il avait été très clair auprès des journalistes de La Presse quant à ses intentions :

Nous allons chercher dans les prochains mois un endroit approprié pour nous assurer que l’œuvre de Jean-Paul Riopelle soit adéquatement portée à la connaissance d’un large public d’ici et de l’étranger.

Comme ce fromage que le corbeau laisse tomber en annonçant l’annulation du projet, le Musée national des beaux-arts du Québec, en fin renard, s’est empressé de le saisir et héritera donc du travail diplomatique effectué par Mme Blondil auprès des collectionneurs privés.

Plus tôt aujourd’hui, le premier ministre François Legault annonçait que c’est à Québec que l’on construira un écrin pour recevoir ce ‘fromage’ d’une valeur de cent-millions de dollars.

Références :
Dons de 100 millions en œuvres de Riopelle
Le MBAM écarte la construction de l’aile Riopelle

Paru depuis :
Le 100e anniversaire de Riopelle en cinq saisons (sur le refus du MBAM de célébrer cet évènement)

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le télé-crochet ‘Révolution’

22 novembre 2021
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Ouvert aux danseurs de tout âge et de tout style, ‘Révolution’ est un concours de danse télévisée.

Vu pour la première fois en 2018-2019, ce concept né au Québec a depuis été exporté dans quelques pays, dont la Chine (sous le nom occidentalisé de Dance Smash, ci-dessous).

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Chez nous, il en est donc à sa troisième année.

Sa particularité est que les danseurs (en nombre d’un à dix) s’exécutent sur une scène circulaire de onze mètres de diamètre entourée de 128 caméras Sony RXO 4K UHD. Ces dernières sont destinées à capter à 360° l’instant le plus spectaculaire de leur performance.

Ce sont les artistes qui choisissent au préalable le moment destiné à être capté et qui, généralement, est le ‘clou’ de leur numéro de danse.

Le jury se compose de quatre experts provenant de différentes disciplines : Lydia Bouchard (classique), le duo Les Twins (hip-hop) et Jean-Marc Généreux (danse sociale professionnelle).

L’évaluation des juges est basée à moitié sur la performance des exécutants tandis que l’autre moitié porte sur le ‘moment révolution’.

Composé de 11 épisodes de 90 minutes, ce télé-crochet est proposé le dimanche soir aux heures de grande écoute sur TVA.

Le gagnant (solo ou groupe) empoche une récompense de 100 000 $ alors que les meilleurs talents partent ensuite en tournée à travers le Québec.

On peut revoir quelques-uns des numéros en cliquant sur ceci.

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Écrit par Jean-Pierre Martel