Le Festival de jazz de Montréal — le 7 juillet 2016

Le 8 juillet 2016

Hier, j’ai fait relâche. Mes reportages photographiques sautent donc du 5 au 7 juillet.

Je suis arrivé sur le site vers 19h30.

Rafael Zaldivar et Mélissa Lavergne

Isabelle Young, ici au centre de la photo, était l’invitée-surprise du spectacle de Rafael Zaldivar et Mélissa Lavergne au Club jazz du Casino de Montréal.

Soliste de Debauche

Pendant ce temps, à la Place Heineken, le groupe Debauche jouait de la musique d’inspiration slave.

Lulu

Pour terminer le triplet de spectacles offerts de 19h à 20h, la chanteuse québécoise Lulu excellait dans un spectacle en hommage à Janis Joplin.

Une sonorisation excessive m’a empêché de la photographier de plus près, ce qui n’a pas empêché la chanteuse de réunir une foule très enthousiaste sur le parterre de la scène Bell.

À 20h, les festivaliers étaient confiés à un autre triplet. Soit…

Helsinki-Cotonou Ensemble
Noël Saïzonou de l’Helsinki-Cotonou Ensemble

…celui du groupe suédois Helsinki-Cotonou Ensemble.

À Montréal, cet ensemble était formé de six musiciens suédois extrêmement compétents et du chanteur francophone, originaire du Bénin, Noël Saïzonou. Leur musique est un mélange harmonieux de jazz moderne virtuose et de rythmes africains.

Noël Saïzonou, chanteur principal, percussionniste et saxophoniste, est bourré de talents.

Si la photo ci-dessus le montre bien sage, en réalité il bouge beaucoup et adore faire des pitreries sur scène. Des pitreries qui, à y regarder de près, servent à souligner la structure musicale des pièces entendues (que je soupçonne être de sa composition).

Ce spectacle fut un des meilleurs au sein d’une riche moisson, ce soir.

Dunes

Pendant ce temps, Dunes se produisait sur la scène Hyundai et…

Alisha Brilla

…l’Ontarienne Alisha Brilla et ses quatre musiciens séduisaient l’assistance réunie devant la scène RioTinto.

À 21h, autre triplet.

Big Bad Voodoo Daddy

À la place des Festivals, Big Bad Voodoo Daddy reproduisait avec brio l’atmosphère new-yorkaise du célèbre Cotton Club des années 1920. De tous les grands spectacles de cette année, ce fut un des meilleurs.

Papagroove

Pendant ce temps, le collectif montréalais Papagroove mariait avec bonheur le funk, le rock et le soul épicé de jazz au Club jazz du Casino de Montréal…

Porn Flakes
Lulu

…tandis que les Porn Flakes, toujours aussi bons, rendaient hommage à la musique rock anglaise des années 1960. Leur invitée-surprise fut l’électrisante Lulu.

À 22h, Dunes et Alisha Brilla offraient une reprise de leurs spectacles présentés deux heures plus tôt.

Blue Moon Marquee

J’ai donc brièvement assisté à celui du groupe hip-hop albertain Blue Moon Marquee et je suis renté chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
  1re photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 115 mm
  2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 150 mm
  3e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
  4e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
  5e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 150 mm
  6e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 40 mm
  7e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 125 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 40 mm
  9e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 97 mm
10e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 79 mm
11e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 150 mm
12e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 45 mm


Cliquez sur 2016, 2015, ou 2012 pour consulter les reportages photographiques de l’édition du Festival de jazz de cette année-là.

Avez-vous aimé ce texte ?

Prière de choisir un nombre d’étoiles.

Moyenne : 0 / 5. Nombre de votes : 0

Soyez la première personne à voter.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

>