Richard Paré à l’orgue de l’oratoire Saint-Joseph

12 novembre 2018
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Dimanche dernier, le claveciniste et organiste Richard Paré donnait un concert à l’orgue de l’oratoire Saint-Joseph.

Au programme :
• Dialogue en ut, de Louis Marchand (1669-1732)
• Prélude et fugue en mi mineur, de Nicholas Bruhns (1665-1697)
• Partita sur le choral Was Gott tut das ist Wolghetan, de Johann Pachelbel (1653-1706)
• Prélude, fugue et chacone en do majeur, BuxWV 137 de Dietrich Buxtehude (1653-1707)
• Concerto en sol majeur, BWV 592 de J.S. Bach
• les transcriptions de deux chorals par J.S. Bach
• Prélude et fugue en sol majeur, BWV 532 de J.S. Bach.

Axé sur des compositeurs du XVIIe siècle (et sur Bach, puisqu’il le faut dans le cadre d’un festival qui lui est dédié), ce concert fut très intéressant.

Ce fut, entre autres, une occasion de faire connaissance avec Louis Marchand, dont le Dialogue en ut m’a plu.

Mort à 31 ans, Nicholas Bruhns occupe une place importante parmi les organistes qui ont précédé Bach.

La troisième œuvre à l’affiche permit à Richard Paré de mettre en valeur l’orgue de l’oratoire, jouant chacune des nombreuses variations de la partita de Pachelbel comme si elle était jouée par un instrument complètement différent. À mon avis, ce fut le ‘clou’ de ce programme.

J’ai peu d’affinité pour Buxtehude.

C’est dans l’interprétation de Bach que le souci de transparence du claveciniste fut le plus évident à l’orgue.

Merci donc au Festival Bach de Montréal d’offrir gratuitement aux mélomanes un concert d’une telle qualité.

Détails techniques des photos : Olympus OM-D e-m5 Mark II, objectif M.Zuiko 12mm F/2,0
1re photo : 1/5000 sec. — F/2,0 — ISO 200 — 12 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/2,0 — ISO 1600 — 12 mm
3e  photo : 1/80 sec. — F/2,0 — ISO 2500 — 12 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel