Festival de Jazz de Montréal, le 5 juillet 2012

6 juillet 2012
Gypsophilia
Lady Lynn and Her Magnificient Seven
Carl Tremblay (et son bassiste, Mario Couture)
Coyote Bill
Chet Doxas Quartet

À mon arrivée sur le site du festival vers 20h45, ce qui m’a frappé c’est qu’il y avait encore plus de monde que d’habitude. Devant la petite scène Radio-Canada, j’ai dû accéder à la foule par un côté opposé pour réussir à m’y faufiler afin de photographier Gypsophilia (d’Halifax), tellement étaient nombreux leurs admirateurs.

Pendant ce temps, Lady Linn and Her Magnificent Seven, de Belgique, terminait un spectacle qui sera repris deux heures plus tard sur même scène (Rio Tinto Alcan) devant une assistance toute aussi nombreuse.

À 21h, les festivaliers avaient le choix entre deux spectacles concurrents : les Hongrois Besh o druM (que j’ai vus avant-hier) et le bluesman Carl Tremblay, de la ville de Québec. Ce dernier est un chanteur d’expérience qui connait tous les trucs pour séduire son public qui, hier soir, lui était déjà acquis; à deux reprises dans son spectacle, M. Tremblay ira chanter en se promenant longuement parmi l’assistance.

Comme c’est souvent le cas, en nommant ses musiciens, ceux-ci sont invités à faire un solo improvisé qui les met en valeur. Cela nous a permis de découvrir Mario Couture, un des meilleurs bassistes que j’aie entendu de toute ma vie.

À 22h, en plus de la reprise de Lady Linn and Her Magnificent Seven, les festivaliers pouvaient entendre les Québécois de Coyote Bill, sur la scène Bell, présenter leur nouveau CD, alors que Chet Doxas Quartet, de Montréal, présentait, entre autres, le contenu de son plus récent opus.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 640 — 74 mm
2e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 40 mm
3e photo  : 1/200 sec. — F/5,0 — ISO 500 — 96 mm
4e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 250 — 49 mm
5e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm

Laissez un commentaire »

| Culture, Musique | Mots-clés : , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel