Le papillon Petit monarque

Publié le 5 avril 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Face dorsale
Face ventrale des ailes du papillon mâle
Face ventrale des ailes du papillon femelle
Mâle butinant
Mâle en majesté

Le Petit monarque (ou Danaus chrysippus) doit son nom à sa ressemblance avec le Monarque, dont il est un cousin.

Alors que l’envergure du Monarque est de 8,9 à 10,2 cm, celle du Petit monarque est de 7 à 8 cm.

Comme son cousin, celui-ci possède un thorax noir tacheté de blanc.

Ses ailes antérieures orange ont l’apex noir traversé d’une bande blanche oblique irrégulière.

Ses ailes postérieures sont du même orange, bordées d’un mince ruban de taches blanches sur fond noir. En plus des trois taches noires irrégulières qui décorent les ailes postérieures des femelles, le mâle en possède une quatrième, plus grosse et en relief, qui dégage une odeur destinée à attirer les femelles.

Le Petit monarque se nourrit de nectar. Sa chenille se nourrit principalement d’asclépiade, une plante toxique à laquelle le Petit monarque est résistant. En s’en nourrissant, la chenille du Petit monarque devient elle-même toxique, une propriété dont hérite le papillon.

On trouve ce papillon du pourtour de la Méditerranée à l’Afrique tropicale, et de l’Afrique jusqu’en Australie. Il aime les milieux ouverts et les climats arides de basse à moyenne altitude.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14 (5e photo) et M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/125 sec. — F/6,3 — ISO 400 — 60 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/6,3 — ISO 1000 — 60 mm
3e  photo : 1/125 sec. — F/7,1 — ISO 1250 — 60 mm
4e  photo : 1/125 sec. — F/7,1 — ISO 800 — 60 mm
5e  photo : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 640 — 210 mm


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Le Papillon de verre

Publié le 3 avril 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
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Le Papillon de verre (ou Greta oto) est le plus petit papillon présenté dans le cadre de l’événement annuel Papillons en liberté au Jardin botanique de Montréal.

Depuis plusieurs années, j’espère toujours voir ce papillon les ailes déployées. En vain.

Je me suis donc résigné à publier les meilleures photos que j’ai de lui. Je vous invite à cliquer sur celle-ci afin d’accéder à sa version à haute résolution et apprécier les extraordinaires reflets des ailes lorsqu’elles réfléchissent la lumière.

D’une envergure de 5,6 à 6,1 cm, le Papillon de verre habite les forêts humides du centre de l’Amérique, du Mexique au Panama.

Il tire son nom du fait qu’entre leurs veines, les ailes sont transparentes. Leurs bordures opaques sont brunes, parfois teintées de rouge ou d’orange

Adulte, le papillon se nourrit du nectar de Lanata, de Composées et de Boraginacées. Toutefois c’est sur les feuilles de Jasmin de nuit (ou Cestrum nocturnum) — une plante toxique très répandue — qu’il pond ses œufs.

Ses chenilles s’en nourrissent et en accumulent les toxines. Cela les rend elles-mêmes toxiques, leur permettant ainsi d’échapper à leurs prédateurs.

Détails techniques : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (2e photo) et M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14 (les autres photos)
1re photo : 1/320 sec. — F/6,3 — ISO 250 — 140 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 1600 — 60 mm
3e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 1000 — 210 mm
4e  photo : 1/250 sec. — F/7,1 — ISO 200 — 210 mm


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Papillons en liberté 2015

Publié le 2 avril 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Une abondance de papillons
Photographier simplement avec son téléphone multifonctionnel…
…ou avec des appareils impressionnants
Des papillons tout autour de soi…
…ou qui viennent faire connaissance

Depuis le 19 février et ce, jusqu’au 26 avril 2015 (sauf les lundis), le Jardin botanique de Montréal présente la 17e édition de l’événement annuel « Papillons en liberté ».

C’est dans la grande serre d’exposition — la plus à l’ouest — que cet événement a lieu. Au total, 20 000 papillons auront été relâchés pendant ces deux mois, au grand plaisir des enfants comme des adultes.

Au cours des prochaines semaines, je vous présenterai quelques-unes des photos que j’en aurai rapportées.

Détails techniques : Appareils Panasonic GH1 (2e photo) et Olympus OM-D e-m5 (les autres photos), objectifs Voigtländer 50 mm F/1,1 (2e photo), M.Zuiko 40-150 mm R (4e photo) et M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 60 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 100 — 50 mm
3e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 60 mm
4e  photo : 1/1000 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm
5e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 320 — 60 mm


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Quelques autres penjings

Publié le 16 septembre 2014 | Temps de lecture : 2 minutes
Micocoulier de Chine, 50 ans (don de Wu Yee Sun)
Orme de Chine, 35 ans (don de Wu Yee Sun)
Grenadier, 80 ans (don du Gouvernement de Chine)
Orme de Chine, 60 ans (don de Wu Yee Sun)
Osmanthe, 15 ans (créé au Jardin botanique de Montréal)
Sagérétia, 85 ans (don de Wu Yee Sun)
Orme de Chine, 60 ans (don du Gouvernement de Chine)

En été, le Jardin de Chine offre le cadre idéal pour mettre en valeur quelques-uns parmi les centaines de penjings que possède le Jardin botanique de Montréal.

Même si on peut admirer des arbres nains chinois à longueur d’année dans la serre climatisée qui leur est consacrée, ils n’y bénéficient pas du décor pittoresque et de l’espace dont ils disposent au Jardin de Chine.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Voigtländer 25mm F/0,95 + filtre Hoya à densité neutre ND8
1re photo : 1/1600 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
2e  photo : 1/320 sec. — F/2,0 — ISO 200 — 25 mm
3e  photo : 1/1000 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
4e  photo : 1/800 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
5e  photo : 1/1000 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
6e  photo : 1/200 sec. — F/2,0 — ISO 200 — 25 mm
7e  photo : 1/500 sec. — F/2,0 — ISO 200 — 25 mm


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Quelques penjings

Publié le 14 septembre 2014 | Temps de lecture : 2 minutes
Orme de Chine, 80 ans (don de la ville de Shanghai)
Érable trident, 45 ans (don de Stanley M. Chinn)
Murraya paniculé, 215 ans (don de la Société de bonsaï et de penjing de Montréal)
Gardénia Cape Jasmin, 25 ans (créé au Jardin botanique de Montréal)
Orme de Chine, 110 ans (don de Wu See-Sun)
Pin sylvestre, 10 ans (don de Cheng Xiao Hua)
Orme de Chine, 50 ans (don de la ville de Shanghai)

Si les Égyptiens furent les premiers à cultiver des arbres en pot, les Chinois furent les premiers à les cultiver pour des raisons esthétiques et ce, dès la dynastie des Han (-206 à 220).

Le mot utilisé par les Chinois est « penjing » : ses deux syllabes signifient respectivement « coupe ou plateau » et « paysage ». Il signifie la représentation d’un paysage dans une coupe.

Cela est évident lorsqu’on associe à l’arbre miniature une pièce d’eau, des roches ou des figurines. Cela l’est moins lorsque cet arbre est seul dans son pot, comme c’est le cas du bonsaï.

Autre distinction, la forme torturée du bonsaï est obtenue en contraignant les branches à suivre les lignes sinueuses imposées par des fils de métal qui courent autour de celles-ci. En principe, la forme du penjing ne serait déterminée que par la taille des branches.

Dans les faits, cette distinction entre les penjings et les bonsaïs tend à s’estomper au fur et à mesure que la recherche du résultat incite les éleveurs d’aujourd’hui à utiliser les mêmes techniques.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs Lumix 12-35 mm F/2,8 (les deux premières photos) et Voigtländer 25 mm F/0,95 + filtre Hoya à densité neutre ND8 (les autres photos)
1re photo : 1/400 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 26 mm
2e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 23 mm
3e  photo : 1/1250 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
4e  photo : 1/1600 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
5e  photo : 1/3200 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm
6e  photo : 1/400 sec. — F/2,0 — ISO 200 — 25 mm
7e  photo : 1/640 sec. — F/0,95 — ISO 200 — 25 mm


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Quatre autres bonsaïs

Publié le 28 août 2014 | Temps de lecture : 1 minute
Érable trident (105 ans)
Azalée satsuki (55 ans)
Faux-cyprès d’Hinoki (40 ans)
Érable trident (100 ans)

Depuis quelques années, le Jardin botanique de Montréal a considérablement accru sa collection de bonsaïs. À son décès, survenu en 2010, l’américain George LeBolt lui a légué une centaine de bonsaïs, dont celui de la troisième photo.

Les deux érables centenaires ci-dessus (première et dernière photos) ont été offerts respectivement par Reiko Hagiya et Hiroshi Mitsuzuka, tous eux de la Société nippone du bonsaï.

La deuxième photo monte un bonsaï offert par la ville d’Hiroshima (à laquelle Montréal est jumelée depuis 1998).

Détails techniques : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm
3e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm
4e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm


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Infrarouges au Jardin japonais

Publié le 26 août 2014 | Temps de lecture : 2 minutes
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Le Jardin botanique de Montréal est en fait une collection de jardins extérieurs, en plus de des serres qui attirent des millions de visiteurs.

Si le Jardin japonais a souffert longtemps de la comparaison avec son voisin, le Jardin de Chine, ce n’est plus vrai aujourd’hui. Comme à plusieurs autres endroits sur le site du Jardin botanique, il offre un dépaysement total, loin des bruits de la ville, pourtant si proche…

Détails techniques : Appareil Panasonic GH1 modifié pour faire de la photographie infrarouge, objectif Lumix 14-42mm II
1re photo : 1/400 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 15 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 14 mm
3e  photo : 1/160 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 42 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 17 mm
5e  photo : 1/50 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 17 mm
6e  photo : 1/500 sec. — F/7,1 — ISO 100 — 27 mm

À lire également :
La photographie infrarouge
Test comparatif : infrarouge à 720nm vs à contraste élevé
Le Jardin botanique de Vienne, en infrarouge
Les infrarouges de La Havane

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Quatre kimonos et un éventail

Publié le 25 août 2014 | Temps de lecture : 1 minute
Kimono brodé
Détail du premier kimono
Deuxième kimono
Kimono blanc
Kimono teint
Détail du quatrième kimono
Éventail doré

Lorsque je visitais le Jardin botanique de Montréal, j’avais l’habitude d’éviter son Jardin japonais, que je trouvais un peu trop zen à mon goût. Pour être franc, je le trouvais ennuyant.

Mais grâce au mécénat d’entreprises japonaises et à la contribution du Consulat du Japon à Montréal, ce jardin commence à rivaliser sérieusement avec le somptueux Jardin de Chine…

Détails techniques : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 17 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 20 mm
3e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 21 mm
4e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 19 mm
5e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 22 mm
6e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 40 mm
7e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 26 mm

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L’Hecalé

Publié le 12 mars 2014 | Temps de lecture : 3 minutes
Face dorsale de l’Hecalé
L’Hecalé butinant
De près
De côté

L’Hécalé ou Heliconius hecale est un papillon d’Amérique latine. Son envergure varie entre 8,5 et 10 cm.

Sur sa face dorsale, la partie centrale des ailes est orange, alors que le reste est noir tacheté de blanc. Ces motifs et couleurs correspondent à ceux retrouvés également sur leur face ventrale.

Pour marcher, ce papillon n’utilise que ses deux paires de pattes postérieures : les pattes d’en avant, plus courtes, ne servent qu’à s’agripper.

Ses longues antennes rigides se terminent généralement par leur extrémité plus volumineuse et plus pâle.

Ce papillon vit plusieurs mois. Il doit cette longévité supérieure à la moyenne du fait qu’il se nourrit non seulement du nectar sucré des fleurs (comme le font les autres papillons), mais également de leur pollen, riche en protéines, comme le font les abeilles.

On le rencontre l’Hecalé dans tous les types d’habitats; forêts, prairies et montagnes (jusqu’à 1 700m d’altitude).

L’Hecalé, de biais
Tithorea tarricina, toxique, de biais

Il échappe à ses prédateurs grâce à sa ressemblance avec le Tithorea tarricina, un papillon dont la toxicité est liée au fait que ses chenilles grandissent en se nourrissant d’Apocynaceae.

Entre autres, on distingue ce dernier par ses antennes tombantes, ses yeux plus petits, ses pattes encore plus longues, ses taches blanches plus arrondies, et le bord externe de ses ailes supérieures; ce bord est très légèrement concave (c’est à dire en creux) dans le cas du Tithorea tarricina et convexe (c’est à dire bombé) dans le cas de l’Hécalé.

Face dorsale de l’Hecalé discomaculatus
Hecalé discomaculatus, de biais
Face ventrale des ailes de l’Hecalé discomaculatus
Hecalé discomaculatus en majesté

L’Hecalé se décline en une trentaine de sous-espèces légèrement différentes, dont l’Heliconius hecale discomaculatus (ci-dessus).

Détails techniques : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 40-150 mm R (2e et 3e photos), M.Zuiko 60 mm F/2,8 (6e et 10e photos) et M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14 (les autres photos)
 1re photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 320 — 210 mm
 2e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 500 — 150 mm
 3e  photo : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 500 — 150 mm
 4e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 400 — 210 mm
 5e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 210 mm
 6e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 4000 — 60 mm
 7e  photo : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 150 mm
 8e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 160 mm
 9e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 180 mm
10e  photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 640 — 60 mm


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Le papillon Dryadula phaétusa

Publié le 4 mars 2014 | Temps de lecture : 1 minute
Face dorsale du Dryadula phaétusa
Détail de la face dorsale
Dryadula phaétusa butinant
Face ventrale du papillon
Yeux du papillon

Possédant une envergure de 8 à 9 cm, le Dryadula phaétusa est un papillon dont la face dorsale est tigrée horizontalement de bandes alternant entre l’orange et le noir.

C’est également le cas de la face ventrale des ailes supérieures : la face ventrale des ailes inférieures sont toutefois décorées de trois larges bandes brunes, espacées de lisières d’écailles orange, corail et blanches.

Ce papillon vit en Amérique, du sud des États-Unis au Brésil.

Détails techniques : Appareil Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14 (1re et 4e photos) et M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 250 — 210 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 60 mm
3e  photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 320 — 60 mm
4e  photo : 1/250 sec. — F/6,3 — ISO 800 — 210 mm
5e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 60 mm


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