Fiat 500
C’est de nouveau dans le quartier montréalais de la Petite Italie que se déroulait principalement cette 3e journée du Festival Montréal Baroque 2019.
Parmi les activités gratuites offertes en marge du festival, le marché Jean-Talon accueillait à 11h une improvisation sur Les Quatres saisons de Vivaldi transposées pour deux violons et une harpe (Davide Monti, David Greenberg et Maria-Christina Cleary).
Je n’ai pas assisté à ce concert, mais ceux qui y étaient en sont revenus enthousiastes.
Amore e Guerra I
Davide Monti, David Greenberg, Molly Quinn, Jolle Greenleaf, Maria-Christina Cleary et Michel Anger
À 14h, le premier concert payant fut le premier volet d’Amore e Guerra.
Dans une bâtisse industrielle du quartier de Mile-End, les six concertistes exécutèrent avec brio des madrigaux et des œuvres vocales italiennes de Dario Castello, d’Hieronymus Kapsberger, de Claudio Monteverdi, de Martino Pesenti et de Salomone Rossi.
Molly Quinn
Davide Monti et David Greenberg
Davide Monti
Jolle Greenleaf
Amore e Guerra II
Les concertistes
Sous la direction d’Andrew McAnerney, à 17h les Tenet Vocal Artists, le Studio de musique ancienne de Montréal, le duo italien ArParla, le Consort des Voix humaines, David Greenberg et Antoine Mallette-Chenier unissaient leurs forces pour exécuter des madrigaux de Monteverdi à l’église Notre-Dame-de-la-Défense.
Gene Stenger, Nils Brown et Anicet Castel
Jolle Greenleaf
Famille mélomane
Au cours du concert, ces quelques taches de lumière qui illuminaient cette famille de mélomanes ont attiré mon attention.
Banchetto Musicale
Au parc Dante
Au menu du Banquet musical
Immédiatement à l’ouest de l’église se trouve le parc Dante. C’est là quel les festivaliers eurent l’occasion (pour un léger supplément) de gouter les pâtes de la cheffe Elena Faita.
Signe des temps, les bols étaient en matière recyclable.
Nils Brown
Au cours du repas, Nils Brown (du Tenet Vocal Artists) charmait l’assistance de sa splendide voix de ténor.
Rien du tout
Catherine St-Arnaud et Josquin Beauchemin
À 20h, retour au quartier de Mile-End pour une fantaisie de Marie-Nathalie Lacoursière basée sur des airs français d’André Campra, de Nicolas Racot de Grandval, de Jean-Baptiste Lully, de Jean-Philippe Rameau et… de Luc Plamondon.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectifs PanLeica 8-18 mm (2e photo), M.Zuiko 25 mm F/1,2 (1re, 4e, 7e, 12e et 13e photos) et M.Zuiko 75 mm F/1,8 (les autres photos)
1re photo : 1/400 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 25 mm
2e photo : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 4000 — 17 mm
3e photo : 1/200 sec. — F/1,8 — ISO 2500 — 75 mm
4e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
5e photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 2000 — 75 mm
6e photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 5000 — 75 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
8e photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 1600 — 75 mm
9e photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 1000 — 75 mm
10e photo : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 2500 — 75 mm
11e photo : 1/5000 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 75 mm
12e photo : 1/6400 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
13e photo : 1/8000 sec. — F/1,2 — ISO 160 — 25 mm
14e photo : 1/200 sec. — F/1,8 — ISO 640 — 75 mm
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