Festival international de jazz de Montréal : le 4 juillet 2015

Publié le 6 juillet 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Jungle by Night

À mon arrivée sur le site à 20h52, je vois brièvement le groupe de neuf musiciens Jungle by Night, d’Amsterdam. Je les reverrai deux heures plus tard à la reprise de leur spectacle.

Ils ont près de vingt ans, en moyenne. Ils débordent d’énergie et leurs cuivres donnent de l’impact à l’afrorythme qui constitue de fond de leur répertoire.

The Reverend Peytons’s Big Damn Band

À 21h, le trio The Reverend Peytons’s Big Damn Band présente son Country-blues qui puise ses racines dans le hillbilly.

Reverend Peytons est à la guitare en acier, sa femme à la planche à laver et son cousin, à la batterie (dont une partie est en plastique).

The SoulJazz Orchestra

La Place des festivals étant pleine de gens venus entendre Adam Cohen, je décide que j’irai voir la reprise à 23h et entretemps, d’entendre plutôt The SoulJazz Orchestra au Club jazz du Casino de Montréal.

La formation polyvalente d’Ottawa joue du jazz, de funk, de l’afrorythme, du latin et du soul. Bref, de tout.

Ginkgoa

À 22h, je vois la première moitié du spectacle electro-swing du groupe parisien Ginkgoa sur la scène Rio Tinto Alcan, de même qu’une partie du concert de Jungle by Night sur le scène Bell (vu en premier).

L’autoportrait d’Adam Cohen, dos à la foule
Adam Cohen

Tel que je l’espérais, en me présentant une quinzaine de minutes avant le début de la reprise du concert d’Adam Cohen, je suis en mesure de me faufiler jusqu’aux premiers rangs.

J’assiste donc à la totalité du spectacle du sympathique auteur-compositeur montréalais.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 95 mm
2e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 250 — 95 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 120 mm
4e  photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 64 mm
5e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 142 mm
6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 120 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival international de jazz de Montréal : le 3 juillet 2015

Publié le 4 juillet 2015 | Temps de lecture : 3 minutes

Ce soir, il y a encore plus de monde sur le site du festival qu’hier; des enfants accompagnés de leurs parents, des amoureux qui s’embrassent, des amis occupés à se pendre en photos à l’aide de leurs téléphones multi-fonctionels, des dizaines de milliers de festivaliers qui se déplacent d’une scène à l’autre l’air détendu, en discutant le sourire aux lèvres ou d’autres qui attendent leur tour pour acheter quelque chose à manger sur le pouce.

Elizabeth Shepherd

À mon arrivée sur le site, un peu après 20h, l’Ontarienne Elizabeth Shepherd est vedette sur la scène Rio Tinto Alcan…

Heavy Soundz

…tandis que sur la scène Bell, le groupe Heavy Soundz présente des extraits de leur prochain album (qui sortira cet automne). Celui-ci marie avec bonheur le hip-hop et la musique d’Amérique Latine.

Une heure plus tard, les festivaliers sont sollicités par trois concerts simultanés.

Le Club jazz du Casino de Montréal présente Melanie Durrant (que j’ai entendue la veille)…

Florence K

…alors que la Place des festivals accueille l’excellente pianiste et chanteuse Florence K, de même que ses invités…

Dawn Tyler Watson & Ben Racine Band

…et que le Dawn Tyler Watson & Ben Racine Band présente son répertoire sur la scène Radio-Canada Sony.

À 22h, au lieu de mon habitude de papillonner d’une scène à l’autre, je décide d’écouter en entier le spectacle d’Emmanuel Jal (dont j’ai eu un aperçu la veille).

Emmanuel Jal

Rappelons que celui-ci était enfant-soldat dans la Seconde guerre civile soudanaise. À l’âge de onze ans, il réussit à se libérer de cet enfer alors qu’il est pris en charge par la travailleuse humanitaire britannique Emma McCune.

Ce répit sera de courte durée puisque cette dernière décèdera d’un accident de voiture quelques mois plus tard.

Abandonné dans les basfonds des villes du Kenya, Emmanuel Jal découvre le hip-hop et décide d’utiliser ce médium où la parole est souveraine pour exprimer tout ce qu’il a à raconter.

Emmanuel Jal

Aujourd’hui âgé de 35 ans, il est devenu un activiste pour la paix et le contrôle des armes, de même que contre l’utilisation des enfants-soldats.

Ses reproches à l’égard de ceux parmi les praticiens du hip-hop qui prêchent la culture de gang, la violence et la drogue lui valent en retour des accusations d’être devenu un chanteur conformiste.

Le climat du concert que présente Emmanuel Jal varie de la tragédie (liée au récit de sa propre histoire) à la plus totale joie de vivre.

En raison de son exubérance sur scène — il n’arrête de danser qu’au moment de présenter ses chansons — c’est un artiste particulièrement difficile à photographier.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 46 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 62 mm
3e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 150 mm
4e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 85 mm
5e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 90 mm
6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 150 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival international de jazz de Montréal : le 2 juillet 2015

Publié le 3 juillet 2015 | Temps de lecture : 2 minutes

Après une succession de jours pluvieux, cette soirée dégagée donne le goût à beaucoup plus de festivaliers d’envahir le site. J’y arrive vers 20h30.

Marie-Christine

Sur la scène Rio Tinto Alcan, la chanteuse montréalaise Marie-Christine, d’origine haïtienne, s’avère être une excellente interprète. Son répertoire fait une large place au funk.

Face-T

Pendant ce temps, sur la scène Bell, Face-T présente un mélange de hip-hop, de rap et de reggae.

À 21h, les festivaliers sont sollicités par trois spectacles concurrents…

Raoul Malo, des Mavericks

…The Mavericks, de Floride, sur la scène TD…

Mélanie Durrant

…la Torontoise Mélanie Durrant, sur la scène du Club jazz du Casino de Montréal…

Philip Sayce

…et Philip Sayce sur la scène Radio-Canada Sony.

Gallois de naissance, Torontois d’adoption mais faisant maintenant carrière aux États-Unis, ce guitariste exceptionnel étonne par sa virtuosité.

Emmanuel Jal

À 22h, j’assiste de nouveau au tour de chant de Marie-Cristine. Je la quitte vers la fin, le temps d’avoir un aperçu du concert d’Emmanuel Jal sur la scène Bell.

Ex-enfant-soldat dans la Seconde guerre civile soudanaise, il est adopté à onze ans par la travailleuse humanitaire britannique Emma McCune (qui décèdera d’un accident de voiture quelques mois plus tard).

Abandonné dans les basfonds des villes du Kenya, Emmanuel Jal découvre le hip-hop et décide d’utiliser ce médium où la parole est souveraine pour exprimer tout ce qu’il a à raconter.

Je compte entendre plus longuement le concert qu’il donnera plus tard aujourd’hui.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/160 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 73 mm
2e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 55 mm
3e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 150 mm
4e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 55 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 48 mm
6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 150 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival international de jazz de Montréal : le 1er juillet 2015

Publié le 2 juillet 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Bet.e, du duo Bet.e & Stef

Sur la scène Rio Tinto Alcan, le duo montréalais Bet.e & Stef présentait son doux répertoire de bossa-nova et de samba teinté de jazz.

Novalima

Au même moment, le quatuor péruvien Novalima faisait danser la foule avec un mélange percutant de rythmes afro-péruviens et latino-américains.

À 21h, trois concerts simultanés…

Paul Deslauriers Band & Friends

…sur la scène Radio-Canada Sony, Paul Deslauriers Band & Friends jouait un blues puissant à saveur de rock…

L’Orchestre national de jazz de Montréal

…l’Orchestre national de jazz de Montréal — formé de 17 musiciens permanents — occupait la scène TD avec un jazz teinté de musique atonale…

Troker

…alors que le jazz expérimental et énergique du collectif mexicain Troker régnait sur la scène du Club jazz du Casino de Montréal.

Puisque le reste de la soirée se caractérisait essentiellement par le retour sur scène des mêmes artistes, je suis rentré chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 45 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 40 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 43 mm


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Festival international de jazz de Montréal : le 30 juin 2015

Publié le 1 juillet 2015 | Temps de lecture : 2 minutes
Sonny Knight & The Lakers

Arrivé sur le site du festival à 20h40, je vois la fin du concert de Sonny Knight & The Lakers sur la scène Rio Tinto Alcan…

Wesli

…et du Montréalais d’origine haïtienne Wesli qui, sur la scène Bell, présente un spectacle aux rythmes syncopés et aux percussions énergiques.

Jordan Officer

À 21h00, sur la scène Radio-Canada Sony, le bluesman montréalais Jordan Officer présente son spectacle de l’an dernier, qui avait fait salle comble.

The Barr Brothers

Débutant à 21h30 sur la scène TD, le quartette montréalais The Barr Brothers présente un spectacle de folk plutôt planant au sein d’un dispositif scénique ambitieux.

Illa J

En raison du fait que le spectacle des Barr Brothers se poursuit jusqu’à 23h, il n’y a qu’un spectacle qui débute à 22h et c’est celui de l’Américain Illa J. N’étant pas amateur de hip-hop, je quitte le site quinze minutes plus tard pour rentrer chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 45 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 40 mm
3e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 40 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 43 mm


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Festival international de jazz de Montréal : le 29 juin 2015

Publié le 30 juin 2015 | Temps de lecture : 3 minutes

Le 29 juin, je croyais finir de travailler à 21h, mais c’était plutôt à 19h (les heures d’ouverture de l’établissement ayant changé).

Je décide donc de passer chez moi chercher mon appareil photo et d’aller faire un tour au Festival de jazz (où je ne suis pas allé depuis longtemps).

Ce festival étant celui qui dispose du meilleur budget de fonctionnement, ce qui me frappe en arrivant, ce sont ses fonds de scène qui sont beaucoup mieux décorés que ceux des FrancoFolies.

Just Wôan

À mon arrivée vers 20h55, Just Wôan termine son concert sur la scène Bell.

Guy Bélanger et ses musiciens

À deux pas, sur la scène Radio-Canada Sony, l’harmoniciste Guy Bélanger commence le sien, accompagné de musiciens de différentes régions du Québec.

M. Bélanger est le récipiendaire 2014 du Maple Blues Award, décerné au meilleur harmoniciste du Canada.

Des trois concerts concurrents de 21h à 22h, c’est celui-ci qui aura ma préférence.

Youngblood Brass Band

Le deuxième de ces concerts est celui, bruyant, du Youngblood Brass Band sur la scène TD.

Nomadic Massive

Nomadic Massive complète ce trio au Club Jazz du Casino de Montréal, situé au peu à l’écart du site proprement dit du festival.

Franky Selector

À 22h, le Montréalais Franky Selector est à l’affiche sur la scène Bell…

Alex Pangman
Alex Pangman, de nouveau

…alors que sur la scène Rio Tinto Alcan, l’Ontarienne Alex Pangman présente des chansons des années 1920-1930.

Je ne sais pas si la chanteuse a amené avec elle son propre éclairagiste ou c’est celui prêté d’office par le festival, mais son travail de cet artisan est remarquable.

Andréa Blaze

Pendant ce temps, au restaurant Balmoral de la Maison du festival, Andréa Blaze présente son tour de chant.

À 23h, Guy Bélanger et Youngblood Brass Band remontent sur scène. Ayant déjà vu leurs performances respectives, je rentre chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 125 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
3e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 40 mm
4e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 46 mm
5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 40 mm
6e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 150 mm
7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 150 mm
8e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 150 mm


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Festival de Jazz de Montréal, le 4 juillet 2012

Publié le 5 juillet 2012 | Temps de lecture : 2 minutes
Souad Massi
Johnny Sansone
The Narcicyst
Besh o droM
Luca Ciarla Quartet

Après le travail, rien de mieux que de faire le plein d’énergie au Festival de jazz. Or ça tombe bien, cette soirée est sous le signe de la virtuosité.

À mon arrivée, la Place des festivals est noire de gens venus pour entendre la chanteuse algérienne Souad Massi. Mon impression est que nous aurions beaucoup à gagner si les dirigeants du Festival offraient à leurs artistes invités la possibilité d’afficher une traduction de leurs textes sur les écrans géants de chaque côté de la scène. Conséquemment, si le public non-arabophone avait tendance à décrocher durant les ballades de la chanteuse, celle-ci n’avait aucun mal à susciter l’enthousiasme de l’assistance durant les pièces vigoureuses et alertes de son répertoire, appuyée par ses musiciens (dont un remarquable percussionniste).

À la toute fin, il ne me restait que quelques instants pour aller voir ce que Johnny Sansone proposait à son public à l’autre bout du festival, soit ce qui m’a semblé être du beau gros blues comme je l’aime.

Dès la fin de ce spectacle, à quelques pas de là, le rappeur iranien The Narcicyst présentait ses textes engagés. Pendant ce temps, le collectif hongrois Besh o droM — ce qui signifie « Trace la route » — étourdissait son auditoire par une musique virtuose où la clarinette électronique d’un des musiciens magyars joue un rôle central.

Pour terminer, le violoniste virtuose et compositeur italien Luca Ciarla défendait le jazz sur la scène Radio-Canada.

Puis, il s’est mis à pleuvoir. Mais c’est le temps frais qui a eu raison de mon assiduité au festival; je suis donc rentré chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/160 sec. — F/5,2 — ISO 6400 — 111 mm
2e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 1250 — 150 mm
3e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 58 mm
4e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 1000 — 40 mm
5e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 62 mm


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Festival de Jazz de Montréal, le 3 juillet 2012

Publié le 4 juillet 2012 | Temps de lecture : 2 minutes
Trio Emie R. Roussel
Wesli
Sidi Touré et ses musiciens
Oumar Konaté, guitariste de Sidi Touré
Mike Gaudreau and The Boppin’ Blues Band
Escort
Danakil

À mon arrivée, vers 20h10, trois spectacles courtisaient les festivaliers.

Sur la scène Radio-Canada, la pianiste et compositrice québécoise Emie R. Roussel présentait le matériel de son prochain CD.

À la scène Bell, le québécois d’adoption Wesli — révélation Radio-Canada 2009 pour la musique du monde — jouait une musique reggae teintée d’afrobeat.

Mais je me suis surtout intéressé au chanteur et guitariste malien Sidi Touré sur la scène Rio Tinto Alcan. Le rythme obsédant de ses chansons est basé sur la répétition de minuscules cellules musicales pendant plusieurs minutes, ce qui en souligne le caractère dansant.

À 21h, Mike Gaudreau (du Vermont) and The Boppin’ Blues Band défendait le blues face à la vague disco d’Escort. Présenté comme la sensation de l’heure en provenance de Brooklyn, Escort m’a laissé sur ma faim, probablement en raison de la pauvreté mélodique de son matériel.

À 22h, sur la scène Bell, le groupe parisien Danakil présentait ses compositions contestataires sur un rythme reggae.

Puis je suis rentré au début d’une légère pluie.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 40 mm
2e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 400 — 62 mm
3e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 40 mm
4e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 3200 — 150 mm
5e photo  : 1/200 sec. — F/4,9 — ISO 2500 — 92 mm
6e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 400 — 40 mm
7e photo  : 1/160 sec. — F/4,8 — ISO 1600 — 82 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 2 juillet 2012

Publié le 3 juillet 2012 | Temps de lecture : 2 minutes
Le Trio Jérôme Beaulieu
The SoulJazz Orchestra
The Pitbull of Blues Band
Liane Carroll
Le Trio Sylvain Ransy
François & the Altas Mountain

Je me suis rendu au Festival de Jazz hier soir. À mon arrivée sur le site, il restait une dizaine de minutes à la représentation du Trio Jérôme Beaulieu.

Le public du Festival de jazz de Montréal a ceci de particulier : quand c’est bon, il vous le fait savoir. Par ses applaudissements enthousiastes à la fin d’une pièce instrumentale, par la clameur admirative qui s’élève de la foule après un solo brillant ou à l’issue d’une cellule mélodique surprenante, même les nuls en jazz (dont je fais partie) savent que ce qu’ils viennent d’entendre était réussi.

À l’issue de ce spectacle, j’avais l’impression d’avoir entendu des grands classiques du jazz dont l’assistance avait apprécié l’interprétation. Mais c’est en écoutant leur premier CD, intitué « L’homme sur la lune », que j’ai réalisé que les œuvres mélodieuses que j’avais entendues étaient de nouvelles compositions de ce trio.

À 21h, la Place des festivals présentait The SoulJazz Orchestra d’Ontario. Pendant ce temps, sur la scène Loto-Québec, The Pitbull of Blues Band (des États-Unis) présentait un spectacle mi-blues, mi-rock comme c’est habituellement le cas à cet endroit.

À 22h, les festivaliers avaient le choix entre la chanteuse britannique Liane Carroll, le Trio Sylvain Ransy et le groupe français François & the Altas Mountain.

J’ai choisi d’assister au spectacle de ces derniers. Ceux-ci prennent un plaisir évident à jouer leur musique ensoleillée, souvent dansante à la suite d’une longue introduction plutôt planante, dominée par la guitare et les synthétiseurs, le tout entrecoupé de présentations drôles et sans prétention.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 320 — 53 mm
2e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 100 — 49 mm
3e photo  : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 1000 — 78 mm
4e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 150 mm
5e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 250 — 49 mm
6e photo  : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 400 — 78 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 29 juin 2012

Publié le 30 juin 2012 | Temps de lecture : 2 minutes
Curumin
Patrizio
Vincent Gagnon et ses musiciens
Corey Harris & The Rasta Blues Experience
Mr. Ho’s Orchestrotica

Avant-hier, j’avais voulu voir le spectacle d’ouverture du montréalais Rufus Wainwright. Mais voulant faire une sieste afin d’être en forme, je m’étais réveillé le spectacle terminé (oui, je sais, c’est pas fort comme excuse mais que voulez-vous…).

Je me suis donc repris hier soir, en revenant du travail.

À 22h, le Festival présentait trois spectacles simultanés : Curumin (du Brésil), Patrizio (un chanteur de charme italien) et Vincent Gagnon (du Québec).

À 23h, on avait le choix entre deux spectacles présentés à 21h, en reprise deux heures plus tard, soit Corey Harris & The Rasta Blues Experience et Mr. Ho’s Orchestrotica, tous deux des États-Unis.

Mais concrètement, quelle atmosphère règne au Festival de jazz de Montréal cette année ? Jugez-en par vous-mêmes en regardant cette courte vidéo…

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12 mm F/2,0 (pour la vidéo) et M.Zuiko 40-150 mm R (pour les photos)
1re photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 2000 — 62 mm
2e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 5000 — 150 mm
3e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 250 — 40 mm
4e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 640 — 62 mm
5e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 1600 — 40 mm


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