Festival Juste pour rire 2016

Publié le 31 juillet 2016 | Temps de lecture : 3 minutes

Depuis mon reportage de 2012, je n’étais pas retourné au festival Juste pour rire. J’y suis allé il y a une semaine, pour la première fois depuis quatre ans.

Sauf quant à prévention d’un attentat par camion-bélier (comme ce fut le cas à Nice), le site était encore moins sécuritaire qu’en 2012.

Par ailleurs, ce festival présentait une programmation extérieure gratuite (du 16 au 30 juillet) et une programmation payante en salle qui se termine ce soir.


 
À l’angle des rues Clark et Sainte-Catherine, le terrain vacant avait été transformé en une aire de restauration. À cela s’ajoutaient des guichets alimentaires le long de la rue Sainte-Catherine jusqu’à la place des Arts.


 
Le boulevard de Maisonneuve était dédié aux jeux de société. Ceux-ci connurent une immense popularité.


 
Le jour, plusieurs manèges occupaient la place des Festivals.


 
Certains soirs, sur la scène Vidéotron, on présentait des spectacles gratuits d’humour. De plus, le long de la place des Festivals, on présenta notamment le spectacle Firebirds ! Expérience immersive (ci-dessus) de la troupe allemande Titanik.


 
Le 24 juillet dernier, en direction du métro pour rentrer chez moi, je croise Mme Essraa Daoui. Cette inconnue m’offre un billet gratuit pour un gala, ce soir-là à la salle Wilfrid-Pelletier.

J’hésite. Mais il faut faire vite; le spectacle débute dans quelques instants. J’accepte donc. Effectivement, nous avons juste le temps de prendre place — dans la première rangée, à gauche — que déjà le spectacle commence.

Sous le thème d’un affrontement politique entre la Gauche et la Droite, Guy Nantel (à l’extrême droite de la photo) et Guillaume Wagner (derrière lui, représentant la Gauche) nous feront passer une excellente soirée.

Ils seront aidés de huit autres humoristes, soit successivement Stéphane Fallu, Adid Alkhalidey, Didier Lambert, Eddy King, Richardson Zéphir, Laurent Paquin, Jean-François Mercier et Julien Tremblay.

À l’issue de la représentation, pour remercier Mme Daoui, je l’invite à prendre un café au restaurant Van Houtte situé près de la sortie de la salle.

Née au Québec, Mme Daoui est de descendance iranienne. Probablement au début de la trentaine, celle-ci est une femme sure d’elle-même, spontanée, voire extravertie.

Nous passons un bon moment (une heure peut-être) à parler notamment de politique, un sujet de discussion inusité entre deux personnes qui se rencontrent pour la première fois. Nous nous quittons à la fermeture du restaurant.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (photos 9 à 13) et M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (les autres photos)
  1re photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 7 mm
  2e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  3e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm
  4e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  5e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  6e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  7e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  8e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
  9e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 15 mm
10e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 14 mm
11e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 30 mm
12e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
13e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 40 mm
14e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 10 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel