Montréal en lumière 2023 (en infrarouge)

Publié le 20 février 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Prismaphonik sur l’esplanade de la Place des Arts
Vue du site d’ouest en est
Grande Roue vue de l’intérieur d’Iceberg

Après une première visite vendredi dernier, je suis retourné sur le site de Montréal en lumière le lendemain soir pour expérimenter la photo de nuit à l’infrarouge.

Pour que celle-ci se distingue d’une simple photo en couleur, il doit y avoir une souche de rayonnement infrarouge. Le jour, c’est simple; c’est le soleil.

Mais la nuit…

Dès le départ, j’ai dû renoncer à utiliser les trois filtres de l’infrarouge Rose bonbon car ils assombrissaient trop l’image.

Dans les photos ci-dessus, seul un filtre bleu Hoya C12 a été utilisé.

Dans la première de cette série, la colonnade de la Place des Arts est teintée rose. Ce qui prouve que même la nuit, certaines sources lumineuses émettent du rayonnement infrarouge (partiellement bloqué par le filtre d’Hoya).

Toutes ces photos manquent de netteté comme si le stabilisateur d’image de mon appareil n’avait pas fonctionné. En dépit de ce défaut, j’aime bien le résultat.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 infrarouge à spectre complet, objectif PanLeica 8-18mm + filtre bleu Hoya C12
1re photo : 1/40 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
2e  photo : 1/25 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
3e  photo : 1/50 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 11 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Montréal en lumière, édition de 2023

Publié le 18 février 2023 | Temps de lecture : 2 minutes
Entrée du site à l’ouest, sur Sainte-Catherine
Entrée de l’Ilot Balmoral
Optik (par Urban Conga)
Sentier de patin Banque Scotia
Iceberg (d’APPAREIL architecture)
Grande Roue Loto-Québec
Les cinq tubes illuminés de la Glisse vite Tim Horton
Prismaphonik (de William Simard, Anthony Gagnon Boisvert)
Projections lumineuses sur la Maison symphonique
Prismatica (de RAW Design)
Patinoire de l’esplanade Tranquille

Interrompu en 2021 en raison de la pandémie, le festival Montréal en lumière est de retour cet hiver jusqu’au 5 mars 2023 pour sa 24e édition.

En plus de son volet musical et son volet gastronomique — qui met en vedette cette année des chefs scandinaves — le festival inaugure le Sentier de patin qui, à la différence d’une patinoire rectangulaire ou carrée, est un circuit en boucle, surélevé et long de 300 mètres, qui sillonne la place des Festivals.

Ce sentier fait symétrie avec la patinoire de l’esplanade Tranquille, de forme plus traditionnelle, située à l’autre extrémité du site.

Pour terminer, rappelons qu’il suffit de cliquer sur une des images ci-dessus pour l’agrandir.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 25 mm F/1,2 (4e et 9e photos) et PanLeica 8-18 mm (les autres photos)
  1re photo : 1/160 sec. — F/3,4 — ISO 1600 — 12 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 17 mm
  3e  photo : 1/40 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/3,6 — ISO 4000 — 14 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/3,1 — ISO 2500 — 9 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/4,0 — ISO 6400 — 18 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/3,2 — ISO 6400 — 10 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm
10e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 25 mm
11e  photo : 1/60 sec. — F/3,7 — ISO 5000 — 15 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Souvenirs de la Nuit blanche 2020

Publié le 1 mars 2020 | Temps de lecture : 2 minutes

Hier soir, je suis allé au festival Montréal en lumière alors que se déroulait la Nuit blanche.

Ma motivation pour affronter le froid, c’était essentiellement d’aller au musée de Pointe-à-Caillière. Celui-ci est un des rares musées importants de Montréal qui n’est pas gratuit chaque premier vendredi du mois alors qu’il l’est au cours de la Nuit blanche.


À l’église du Gesù

Au rez-de-chaussée du Gesù, on pouvait assister à un spectacle d’humour. À l’étage, dans l’église, il y avait un spectacle d’orgue.

Dans l’attente de celui-ci se déroulait une cérémonie d’inspiration autochtone; les participants écrivaient leurs prénoms sur un bout de papier qu’une officiante lisait à voix haute avant de le bruler.


Sur la Place d’Armes

Dans le Vieux-Montréal, la rue Notre-Dame est parée cette année d’une signature lumineuse spécifique, différente de celle de la rue Saint-Antoine.

Les Incas… c’est le Pérou !

Finalement, au musée Pointe-à-Callière, j’ai vu l’exposition consacrée aux peuples qui habitaient le Pérou à l’époque précolombienne.

Je compte vous en reparler plus en détail dans les jours qui viennent.

Détails techniques des photos : Olympus OM-D e-m5 mark II, PanLeica 8-18 mm (1re photo) et M.Zuiko 25 mm F/1.2 (les autres photos)
1re photo : 1/50 sec. — F/3,5 — ISO 6400 — 14 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
3e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 2500 — 25 mm
5e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 1000 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival Montréal baroque 2018 : Jour 1

Publié le 22 juin 2018 | Temps de lecture : 2 minutes

Cette année, la seizième édition du Festival Montréal baroque met en vedette le compositeur anglais d’origine saxonne Georg-Friedrich Haendel.

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À la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, on présentait à 19h la moitié des pièces musicales qui composent son dernier grand oratorio, The Triumph of Time and Truth, composé deux ans avant sa mort.

La partie instrumentale a été confiée à l’orchestre allemand L’Arte del Mondo, complété de L’Ensemble Caprice de Montréal. Les parties chorales relevaient de l’Ensemble vocal Arts-Québec, tandis que quatre solistes complétaient le tout sous la direction de Matthias Maute.

Selon la mode anglaise (à l’époque comme de nos jours), le livret est très moralisateur, mais admirablement bien écrit.

Musicalement, ce n’est pas l’œuvre la plus mélodieuse du compositeur. Toutefois, j’ai bien apprécié l’air pastoral Dryads, Sylvans with fair Flora, abrégé hier soir.

Peut-être parce que j’étais assis dans les toutes premières rangées, j’avoue avoir trouvé excessive la puissance vocale des solistes et eu l’impression qu’on me criait après.

D’autant plus qu’une des deux sopranos (dont je tairai le nom) avait tendance à chanter systématiquement les aigus à gorge déployée.

Ceci étant dit, j’ai été heureux de faire connaissance avec cette œuvre que je ne connaissais pas.

Vincent Laurier, Dorothea Ventura, Marie-Laurence Primeau, Caroline Tremblay et Alexa Raine-Wright

À 21h, le quatuor Flûte alors (complété de la claveciniste Dorothea Ventura) présentait des transcriptions de la musique de Haendel.

La partie médiane du concert était consacrée à des transcriptions de sa Water Music qui n’avaient pas l’éclat de l’original orchestral.

Toutefois, la première et la troisième partie du concert étaient séduisantes, notamment les nombreuses pièces virtuoses qui m’ont littéralement enchanté.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 12 mm
2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 12 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition du Festival de musique baroque de cette année-là.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche du festival Montréal en lumière 2018

Publié le 8 mars 2018 | Temps de lecture : 4 minutes
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Du 22 février au 4 mars 2018 se tenait la 18e édition du festival Montréal en lumière.

Comme d’habitude, ce festival culminait par une Nuit blanche au cours de laquelle se déroulaient près de 150 activités, la plupart gratuites.

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Pour faciliter les déplacements des festivaliers, la Société de transport de Montréal offrait un titre de transport illimité au cout de 5$. Précisions qu’exceptionnellement, le métro était ouvert toute la nuit.

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De 22h à minuit, les artisans de l’émission humoristique La nuit est encore jeune produisaient une édition spéciale dans un salon de la Place des Arts, devant un public de très bonne humeur.

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À la sortie sud de la Place des Arts, les festivaliers devaient emprunter un viaduc qui enjambait la glissade en traineaux.

Ce goulot d’étranglement y réduisait considérablement la fluidité des déplacements. Il était donc préférable d’accéder au site par d’autres sorties (dont celle par la Place Desjardins).

Mais si j’avais suivi ce conseil, je n’aurais pas obtenu la première photo de cette série — prise précisément du haut du viaduc — que j’aime particulièrement.

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La Nuit blanche est une belle occasion de visiter gratuitement le musée d’Art contemporain de Montréal.

D’habitude, on y accède après une attente de quelques minutes. Pas cette année.

L’immense popularité de l’exposition Léonard Cohen : une brèche dans toute chose a fait en sorte qu’il fallait compter cette fois-ci sur une bonne trentaine de minutes d’attente.

Heureusement, la température plus douce que d’habitude rendait tout cela très supportable.

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Devant l’installation Cathédrale (2013) de Yann Pocreau, il est difficile de ne pas songer aux paroles de Léonard Cohen : ‘Il y a une brèche dans toute chose. C’est par elle que la lumière pénètre’.

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Sur la Place des Festivals, les passants étaient sollicités par diverses offres gourmandes, des jeux de société, et la Grande roue.

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Le musée McCord présentait simultanément trois expositions : deux expositions photographiques (qui m’ont laissé indifférent) et l’exposition Tohu-bohu au pays des contes, destinée aux enfants, que j’ai trouvée variée et très réussie.

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Puis je me suis rendu au Musée des Beaux-Arts de Montréal afin de documenter des photos accompagnant le deuxième texte du blogue au sujet de l’exposition consacrée à Napoléon (texte qui devait être publié le lendemain).

Ce soir-là, des bénévoles costumés accueillaient les visiteurs.

Disposant de tout le matériel qui leur était nécessaire, des dizaines de visiteurs s’affairaient au sous-sol à créer des couronnes de laurier dorées.

Papa, fiston et fillette (dans la poussette) assouplis

Après cette soirée bien remplie, c’était le temps du retour à la maison.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (5e, 6e, 9e et 10e photos), M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (1re et 2e photos), et M.Zuiko 25 mm F/1,2 (les autres photos).
 1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 12 mm
 2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 17 mm
 3e  photo : 1/125 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
 4e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
 5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 7 mm
 6e  photo : 1/25 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 13 mm
 7e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 400 — 25 mm
 8e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
 9e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 7 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 14 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1250 — 25 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm
13e photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 640 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche 2017

Publié le 6 mars 2017 | Temps de lecture : 1 minute

 

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C’est samedi dernier qu’avait lieu la Nuit blanche dans le cadre du festival Montréal en lumière.

Ce festival d’hiver — le plus important au monde — combine gastronomie, théâtre, cirque, danse, et art contemporain.

La nouveauté de sa 18e édition, c’était l’ajout d’un circuit de 3,6km (appelé Illuminart) le long duquel se répartissaient 25 installations lumineuses réalisées par des créateurs d’ici et d’ailleurs.

Si le volet gastronomique mettait en vedette la ville de Lyon, le festival célébrait également le cinquantième anniversaire de l’exposition universelle qui s’est tenue à Montréal en 1967.

Le diaporama ci-dessus présente quelques photos prises au cours de la Nuit blanche. Il comprend trois volets : l’esplanade du stade olympique, le site du festival, et le long du circuit d’Illuminart.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 25 mm F/1,2 et M.Zuiko 75 mm F/1,8.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les soirées Off-Igloo

Publié le 19 février 2017 | Temps de lecture : 2 minutes

Igloofest est un festival extérieur de musique électronique, qui se tient l’hiver depuis 2007 à Montréal.

Cette année, celui-ci avait lieu au Vieux-Port du 12 au 19 février 2017.

En raison du 375e anniversaire de Montréal, les organisateurs lui ont greffé cette année des activités gratuites à l’issue du festival proprement dit.

Cela comprenait, le jour, les Jeux Nordik (le lancer du sapin, les courses à obstacles, etc.) et le soir, les Soirées Off-Igloo dont la dernière se tenait hier.

Au premier plan, le Village Nordik

Devant le site, on pouvait visiter Le Village Nordik. Il s’agissait d’un circuit participatif créé par sept firmes montréalaises de design présentant chacune leur vision d’une habitation hivernale temporaire.

Entrée du festival

L’accès au site était protégé par des fouilles corporelles, les premières dignes de ce nom dans un festival montréalais.

Aperçu de la foule
Atmosphère conviviale du festival

Si la température clémente d’hier soir (+3°C) m’a convaincu d’y faire un tour, pour les autres festivaliers, cela n’a peu d’importance. Même à des températures de -30°C, le festival peut attirer jusqu’à 60 000 personnes.

Ponsolo b2b Ledisko à l’œuvre

Hier soir, les DJ en vedette étaient Hatchmatik, Le Matos, puis Ponsolo b2b Ledisko.

Cliquez pour un aperçu de la musique

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 25mm F/1,2
1re photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 500 — 25 mm
2e  photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
3e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 400 — 25 mm
4e  photo : 1/60 sec. — F/1,2 — ISO 1000 — 25 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival Juste pour rire 2016

Publié le 31 juillet 2016 | Temps de lecture : 3 minutes

Depuis mon reportage de 2012, je n’étais pas retourné au festival Juste pour rire. J’y suis allé il y a une semaine, pour la première fois depuis quatre ans.

Sauf quant à prévention d’un attentat par camion-bélier (comme ce fut le cas à Nice), le site était encore moins sécuritaire qu’en 2012.

Par ailleurs, ce festival présentait une programmation extérieure gratuite (du 16 au 30 juillet) et une programmation payante en salle qui se termine ce soir.


 
À l’angle des rues Clark et Sainte-Catherine, le terrain vacant avait été transformé en une aire de restauration. À cela s’ajoutaient des guichets alimentaires le long de la rue Sainte-Catherine jusqu’à la place des Arts.


 
Le boulevard de Maisonneuve était dédié aux jeux de société. Ceux-ci connurent une immense popularité.


 
Le jour, plusieurs manèges occupaient la place des Festivals.


 
Certains soirs, sur la scène Vidéotron, on présentait des spectacles gratuits d’humour. De plus, le long de la place des Festivals, on présenta notamment le spectacle Firebirds ! Expérience immersive (ci-dessus) de la troupe allemande Titanik.


 
Le 24 juillet dernier, en direction du métro pour rentrer chez moi, je croise Mme Essraa Daoui. Cette inconnue m’offre un billet gratuit pour un gala, ce soir-là à la salle Wilfrid-Pelletier.

J’hésite. Mais il faut faire vite; le spectacle débute dans quelques instants. J’accepte donc. Effectivement, nous avons juste le temps de prendre place — dans la première rangée, à gauche — que déjà le spectacle commence.

Sous le thème d’un affrontement politique entre la Gauche et la Droite, Guy Nantel (à l’extrême droite de la photo) et Guillaume Wagner (derrière lui, représentant la Gauche) nous feront passer une excellente soirée.

Ils seront aidés de huit autres humoristes, soit successivement Stéphane Fallu, Adid Alkhalidey, Didier Lambert, Eddy King, Richardson Zéphir, Laurent Paquin, Jean-François Mercier et Julien Tremblay.

À l’issue de la représentation, pour remercier Mme Daoui, je l’invite à prendre un café au restaurant Van Houtte situé près de la sortie de la salle.

Née au Québec, Mme Daoui est de descendance iranienne. Probablement au début de la trentaine, celle-ci est une femme sure d’elle-même, spontanée, voire extravertie.

Nous passons un bon moment (une heure peut-être) à parler notamment de politique, un sujet de discussion inusité entre deux personnes qui se rencontrent pour la première fois. Nous nous quittons à la fermeture du restaurant.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (photos 9 à 13) et M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (les autres photos)
  1re photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 7 mm
  2e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  3e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm
  4e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  5e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  6e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  7e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 14 mm
  8e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
  9e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 15 mm
10e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 14 mm
11e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 30 mm
12e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
13e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 40 mm
14e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 10 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Nuit blanche du festival Montréal en lumière 2016

Publié le 28 février 2016 | Temps de lecture : 5 minutes
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Depuis le 18 février et jusqu’au 5 mars 2016 se tient la 17e édition du festival Montréal en lumière. Il s’agit du plus important festival d’hiver de la métropole.

L’évènement le plus populaire est sa Nuit blanche.

Hier soir, jusqu’à trois heures du matin, les principaux musées de la ville étaient ouverts gratuitement. Plus de 200 activités — concerts, danse, expositions, jeux — se déroulaient dans divers endroits reliés par des circuits que reliaient gratuitement des autobus. Bref, une joie festive s’est emparée de la ville.

Sur la photo ci-dessus, on peut voir en bas à droite une glissade en traineau. À gauche, des comptoirs alimentaires. En haut, à droite, la plus petite des deux scènes extérieures (l’autre est sur la Place des Festivals). Et en haut à droite, la Grande roue dite de Chine puisque cette année, la ville chinoise de Shenzhen est à l’honneur.

À peine visible sur la photo, un festivalier survole la foule à vive allure en tyrolienne.

Dôme Hello Kongzi

Dans ce pavillon, les visiteurs sont invités à créer un spectacle d’ombres chinoises.

Le Monde Hello Kongzi

Sur des marches menant à la Place des Festivals, des dizaines de Kongzi (mascottes de la ville de Shenzhen) forment une installation.

Braséro

À plusieurs endroits sur le site du festival, des visiteurs font griller de la guimauve ou des saucisses enrobées de pâte frite au-dessus de braséros. D’autres festivaliers s’y réchauffent les mains.

Tire d’érable

Une fois durcie sur de la neige, on fait adhérer la tire sur un bâtonnet qu’on fait pivoter sur lui-même pour l’enrouler de cette friandise.

Surf hivernal
Sculpture sur glace
Totem de glace

Quelques divertissements.

Espace dédié au dessein

J’ai profité de la soirée pour jeter un coup d’œil dans différents musées. Le premier fut le musée d’Art contemporain (MAC). Au rez-de-chaussée, des crayons de cire et des pinceaux sont à la disposition des enfants.

Installation vidéo de Ragnar Kjartansson

À l’étage, plusieurs salles sont consacrées à une exposition temporaire de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson.

L’œil et l’esprit

L’artiste québécoise Geneviève Cadieux a choisi quelques pièces de la collection permanente du musée pour en créer un aperçu.

Acquisitions récentes du MAC
File d’attente au musée Redpath

Le musée Redpath est un musée d’histoire naturelle inconnu de la grande majorité des Montréalais. J’ai voulu m’y rendre hier soir non seulement parce qu’il était gratuit mais surtout parce j’étais curieux de voir ce qu’avaient l’air ses squelettes sous un éclairage nocturne.

J’ai renoncé à cette idée devant la soudaine popularité du musée devant lequel une file d’attente s’étirait sur 0,2 km.

Je me suis donc dirigé vers le musée McCord, situé tout près.

Buée à l’entrée du musée McCord

À demeurer trop longtemps au froid, qu’arrive-t-il au matériel photographique dès qu’on pénètre dans un lieu chaud et humide ? Il se couvre de buée.

Pour les professionnels, la photo ci-dessus est ratée. Moi j’aime bien.

Chemise brodée nêhithawak ou métisse (1875-1900)

Au rez-de-chaussée, le musée présente l’exposition Porter son identité — La collection Premiers peuples., créée à partir d’items de sa collection permanente.

En plus, le musée présente plusieurs expositions temporaires qui se déroulent concurremment.

Montréal dans l’œil de Vittorio

Vittorio Fiorucci est un des trois plus importants graphistes de l’histoire du Québec. Le musée lui consacre présentement une rétrospective majeure.

Le Cirque de monsieur Lapin

Le Cirque de monsieur Lapin est une exposition temporaire de jouets.

Montréal – Points de vue

À partir de sa collection permanente, le musée présente Montréal – Points de vue. On y présente des objets tirés du quotidien des Montréalais depuis la fondation de la ville.

Ici naquit Montréal

Dernier lieu visité, le musée d’archéologie et d’histoire de Montréal dont la collection permanente était accessible gratuitement lors de cette Nuit blanche.

Voilà donc quelques-unes des activités qui étaient au programme de cette Nuit blanche. Une partie d’entre elles se poursuivent encore jusqu’à la fin de Montréal en lumière, le 5 mars 2016.

Pour terminer, voici une courte vidéo qui done une idée de l’atmosphère qui régnait au cours de la Nuit blanche.
 

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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, hypergone M.Zuiko 8 mm F/1,8 (9e, 10e, 11e et 12e photos), objectifs PanLeica 25 mm F/1,4 (2e, 4e, 5e, 8e et 15e photos), M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (1re, 16e, 17e, 18e et 19e photos) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
 1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 14 mm
 2e  photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 500 — 25 mm
 3e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 16 mm
 4e  photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 2000 — 25 mm
 5e  photo : 1/100 sec. — F/1,4 — ISO 200 — 25 mm
 6e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 13 mm
 7e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 19 mm
 8e  photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 320 — 25 mm
 9e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 8 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
13e photo : 1/40 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 12 mm
14e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 16 mm
15e photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 1250 — 25 mm
16e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 7 mm
17e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 12 mm
18e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 7 mm
19e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 7 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les Zhuangs en vedette à La Magie des lanternes

Publié le 17 septembre 2015 | Temps de lecture : 3 minutes

Tous les jours jusqu’au 1er novembre 2015, le Jardin botanique de Montréal présente l’événement annuel Jardins de lumière. Ici, le pluriel à Jardins s’explique par le fait qu’il se déroule simultanément au Jardin japonais et au Jardin de Chine.

Au Jardin japonais, il s’agit d’un éclairage paysager qui met en valeur la beauté des lieux.

Au Jardin de Chine, l’événement porte un nom particulier, soit La Magie des lanternes, qui en est à sa 23e édition.

Le thème de cette année, c’est Les Zhuangs. Il s’agit d’un peuple de 17 millions de personnes.

Ils représentent 1,3% de la population chinoise, soit la plus importante minorité ethnique du pays (derrière les Hans qui forment 91,5% de la population).

Ils habitent le sud du pays, dans les provinces de Yunnan, Guangdong et Guizhou. Ils sont renommés, entre autres, pour leur pêche nocturne au cormoran.

Comme c’est le cas depuis des années, les pièces lumineuses ont été conçues à Montréal mais exécutées en Shanghai. Seul le système d’éclairage breveté — totalement à l’épreuve de l’eau et le plus sécuritaire au monde — est fabriqué au Québec.

Voici donc quelques photos que j’en ai rapportées.

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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, hypergone M.Zuiko 8 mm F/1,8 (les 1re et 2e photos), objectifs Voigtländer 17,5 mm F/0,95 (la 3e photo), M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (la 5e photo), PanLeica 42,5 mm F/1,2 (les 9e, 10e et 11e photos), PanLeica 25 mm F/1,4 (la 12e photo), et M.Zuiko 75 mm (les autres photos)
  1re photo : 1/80 sec. — F/1,8 — ISO 1250 — 8 mm
  2e photo  : 1/60 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 8 mm
  3e photo  : 1/160 sec. — F/? — ISO 200 — 17,5 mm
  4e photo  : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 800 — 75 mm
  5e photo  : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 19 mm
  6e photo  : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 75 mm
  7e photo  : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 250 — 75 mm
  8e photo  : 1/160 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 75 mm
  9e photo  : 1/100 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 42,5 mm
10e photo  : 1/100 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 42,5 mm
11e photo  : 1/100 sec. — F/1,8 — ISO 500 — 42,5 mm
12e photo  : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 320 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel