À propos de l’auteur


 
Né à Joliette, j’ai passé la plus grande partie de ma vie à Montréal.

Mes centres d’intérêt comprennent :
— les sciences biologiques et la santé,
— l’informatique (dont la programmation en dBASE),
— la photo numérique et le cinéma,
— la musique,
— les voyages,
— la typographie et la composition de textes.

Je me suis procuré mon premier ordinateur en 1984 (un clone d’Apple-II, doté d’une mémoire vive de 64,000 octets). Mon site web est né en 1999 et mon blogue, dix ans plus tard.

De nos jours, mes ordinateurs sont deux portables ; un HP Pavillion-DV8 plein de bogues sous Windows 7 et un MacBook Pro 17″ qui, apparemment, ne plante jamais.

P.S. — Contrairement à l’époque où la photo ci-dessus a été prise, je n’aime pas les chats (auxquels je suis allergique).

60 commentaires à À propos de l’auteur

  1. Erlin dit :

    Même si vous n’aimez pas les chats, je vous apprécie bien quand même. 🙂

    Un blog bien intéressant !

    Cordialement,

    Éric o.L.

  2. Marc CHAUVEAU dit :

    Je ne suis pas blogueur, mais j’aime le votre.
    Merci pour cette recherche de renseignements précieux.
    Je suis photographe numérique amateur.
    Je suis photographe d’une association de quartier (en FRANCE),
    cette association s’appelle: LA FOIRE AUX CHATS.

  3. Pierre Pinsonnault dit :

    La Phrase secrète de Détente de Sympatico.ca est, ce 26 mars 2012, d’un dénommé Jean-Pierre Martel.

    La phrase porte sur l’absurdité du monde. J’ai l’habitude de chercher sur Internet (Wikipedia par exemple) pour en savoir plus sur les auteurs des Phrases secrètes (noms de philosophes, écrivains, politiciens, etc, décédés pour le plupart). C’est très enrichissant.

    Plusieurs personnes portent le nom de Jean-Pierre Martel dont un décédé le 4 juillet 2011. La phrase ne serait donc pas vous.

    C’est donc par hasard que je suis «tombé» sur votre blogue. Je crois qu’«on» aimerait en connaître plus à votre propos car la teneur de votre texte sur les droits de scolarité m’a impressionné par la diversité et le sérieux des éléments dont vous tenez compte pour étayer de façon claire et brève votre pensée à ce sujet (ce en quoi j’ai péché trop longtemps, dois-je révéler).

    Il en est de même des données que vous avez été en mesure de trouver à propos du magasinage à Paris.

    Modeste juriste retraité, c’est un réflexe important chez moi de considérer le plus possible tous les faits importants d’un sujet quelconque, faits qui sont par ailleurs la «colonne vertébrale du Droit» (se plaît-on à invoquer quand cela fait notre affaire évidemment !).

    C’est donc avec bonheur que j’ai lu les deux textes précités qui sont pourtant très différents quant à leur nature. Je vais transmettre votre adresse à une personne qui a étudié en philosophie pour me conforter à ce sujet. Cela en vaut la peine. Évidemment il aura fort à faire pour me faire changer la très bonne opinion énoncée ci-haut à propos de vos textes.

    Sincèrement et bonne journée.

    • Puisque vous voulez en savoir davantage sur le Jean-Pierre Martel de ce blogue, je vais (comme une effeuilleuse) vous en dévoiler un peu plus…

      Je me considère comme un communicateur, médiocre à l’oral, bien meilleur à l’écrit.

      Ce blogue reflète ce que je suis. J’y parle des sujets qui m’intéressent en espérant que d’autres s’y intéresseront également. Et comme je suis curieux, ce blogue aborde une grande variété de sujets disparates.

      Dans tous les cas, j’essaie de contribuer à une meilleure compréhension du monde dans lequel nous vivons.

      Au niveau des idées, je suis plutôt anticonformiste. Il suffit qu’une idée soit généralement admise pour qu’elle m’apparaisse suspecte. Après mûre réflection, j’en viens habituellement à la conclusion que tout le monde a bien raison. Mais parfois j’en arrive à la conclusion opposée et dans ce cas, je me fais un malin plaisir d’afficher mon manque de rectitude politique.

      Si j’exclus les textes sur la salubrité des restaurants de Montréal (pour lesquels je n’ai pas grand mérite), les billets qui se retrouvent dans la Liste des articles les plus consultés sont, la plupart du temps, également parmi mes préférés.

      Bref, il me fait plaisir de vous souhaiter la bienvenue sur ce blogue et j’espère que vous vous plairez à le consulter.

      • denise fontaine dit :

        Par l’entremise d’un abonné du journal Le Devoir, je viens de découvrir votre blogue.

        Intéressantes, les données sur les années de pouvoir du Parti québécois au cours des dernières décennies dans le texte relatif au déclin de l’économie québécoise.

        Toutefois, j’aimerais savoir d’où tirez-vous vos sources? Denise

      • Jean-Pierre Martel dit :

        Comme vous pouvez le voir en parcourant le blogue, je donne toujours mes références (électroniques ou imprimées).

        Dans ce cas-ci, ce n’est pas le cas parce que les données ont été colligées à la dure en adressant une multitude de requêtes sur les sites de l’Institut de la statistique du Québec et de Desjardins, études économiques.

        Il s’agit donc ici d’un authentique travail de recherche, plutôt qu’un simple texte journalistique.

  4. sandy39 dit :

    Jean-Pierre, vous me donnez envie de rajouter quelque chose.

    Vous êtes meilleur à l’écrit qu’à l’oral. Mais, c’est tellement plus simple de l’écrire que de le dire. Parce qu’il y a moins de frontières à l’Ecrit qu’à l’Oral ! Parce que l’Ecriture est le meilleur reflet de nous-mêmes, tout simplement…

    C’est tout, je ne vous embête pas plus longtemps. Et bonne journée !

  5. Francois Martel dit :

    Aimez-vous les chiens d’abord ..?

  6. Jacques Ouellette dit :

    Et moi, j’aime les deux…!

  7. Manny Martins dit :

    Félicitations Jean-Pierre,

    Moi, autant à écrit et qu’à l’oral je me considère nul. Je viens de tomber sur votre blog et je le trouve formidable.. bravo!!

    Quant aux animaux je les aime tous, même si j’ai ne aucun les sapiens sapiens j’ai des doutes…depuis que ont inventé les religions pour frauder leurs congénères.

    Je suis au Québec depuis de 45 ans et mon gars est né aussitôt. Bravo encore.

  8. Marc dit :

    Joli blogue.
    Très intéressant.

  9. Alain Dumas dit :

    Bonjour Jean-Pierre,

    Nous avons fait connaissance cet après-midi aux papillons en liberté. Quel blog que vous avez!

    Je vous donne le lien des mes photos de chauves-souris : Recherche sur les Chauve-Souris

    Au plaisir de se revoir!

    Alain Dumas

    http://www.pbase.com/graphad

    • Il s’agit d’une découverte mutuelle de nos blogue/site web respectifs. Le vôtre est une véritable encyclopédie visuelle. J’ai retournerai très certainement pour identifier le sujet de mes photos, puisque tout y est tellement bien ordonné (ce qui facilite la consultation).

      Je ne rappelle plus depuis combien d’années je n’utilise plus de flash. Mais en regardant certaines de vos photos, cela m’a donné le goût d’essayer. Dans l’éventualité où cela donnerait de bons résultats, je vous en remercie à l’avance.

      • Alain Dumas dit :

        Merci Jean-Pierre, c’est vraiment mutuel, je suis tellement absorbé par votre blog, il m’ouvre de nouveaux horizons. Excellent travail! Merci pour le commentaire, grandement apprécié!

  10. Bobby dit :

    Please excuse my American/English. My Sister in law is from France and when she speaks French it almost sounds like she’s singing.

    Just want to thank you for sharing your visit to Cuba, maybe one day my country will get enough wisdom to allow us all to travel freely. Your images are vibrant with the life in that old city which is semi-frozen in time. Please keep posting.

    PS, love your socks in your photo!

    • — Just want to thank you for sharing your visit to Cuba, maybe one day my country will get enough wisdom to allow us all to travel freely.

      — If your Country can make business with Russia and with China, I’m sure that soon, it will do the same with Cuba. During a show in La Havana, the master of ceremonies asked (in English) to people where they came from. When a group of people told that they were from USA, he said (with a smile) : “Ah! Welcome to our beloved enemies” and everybody start laughing. That was very friendly.

      — Your images are vibrant with the life in that old city which is semi-frozen in time. Please keep posting.

      — Thanks. For documentary and street photography, Cuba is small paradise.

      — PS, love your socks in your photo!

      — LOL !

  11. Henry dit :

    Bonjour,
    Je suis interne en Médecine et je suis tombé par hasard sur vos articles de la santé. Les explications sont justes, pertinantes et précises. C’est une chose rare sur internet donc je tiens à vous féliciter.
    Cordialement,
    Henry

    • Merci pour votre commentaire.

      Je fais de mon mieux pour me documenter auprès des sources les plus fiables et pour expliquer l’essentiel de manière évidente.

      Parmi tous les sujets d’intérêt public, j’essaie de me limiter à ceux pour lesquels l’information disponible sur l’Internet est rare ou douteuse.

      Ceci étant dit, si jamais vous aimeriez écrire un article susceptible d’intéresser mes lecteurs, vous êtes le bienvenue… 😉

  12. Alexandre dit :

    M. Martel,

    Je suis très impressionné par votre blogue et votre activité sociale. Votre univers et intérêts sont très vastes.

    Bien à vous,

    Alexandre
    Russe, je voudrais bien parler le français comme vous!

    • En premier lieu, votre français est certainement meilleur que mon russe.

      Je vous remercie pour votre appréciation et je souhaite être en mesure d’écrite d’autres textes qui vous plairont.

      добро пожаловать !

  13. Pierre Pinsonnault dit :

    Tout à fait d’accord Alexandre.

    Pour preuve, j’ai fourni à une dame d’origine cubaine qui travaille à la pharmacie du village l’adresse du blogue de M. Martel pour lui permettre de mieux connaître et voir la Havane au moyen de textes, photos et vidéos tous aussi pertinents les uns que les autres, le tout sans partisannerie politique d’aucune sorte.

    Sincèrement,

    Pierre Pinsonnault
    P.S. Un secret en passant: j’ai découvert que M. Martel a à peu près mon âge ! Même pour un homme dans la force de l’âge, il a certes beaucoup plus de jugement que la moyenne des ours et, ce qui n’est pas rien, l’art de nous en faire bénéficier.

  14. sandy39 dit :

    Comment se fait-il que Pierre soit aussi bien renseigné ?

    Qu’entend-il par “la force de l’âge” ? Mûr ? Ou encore à point ?

    Faut pas chercher plus loin, je m’en doutais bien ! Pour Moi, c’est comme dans la Vie Réelle (pourquoi y en-a-t’il une Irréelle, dans notre Vie ?), les plus âgés attirent toujours davantage et ceux-ci en ont encore bien d’autres à nous montrer…

    Alors, au fil des jours, il faut me garder une petite place chez Vous afin que je puisse y ajouter un brin de jeunesse, afin que je puisse, de jour en jour, vous dévoilez quelques couleurs de mon âme.

    Alors, joignons nos couleurs pour un même feu d’artifice ainsi nous serons Acteurs, dans ce si beau voyage, pour vivre au bord des Etoiles !

  15. Bernard Forest dit :

    Seriez-vous le Jean-Pierre Martel qui, naïvement, a critiqué ma lettre au Devoir ?

  16. Lloyd née Freitag dit :

    Bonjour à tous, je vous remercie de me compter désormais parmi ceux qui apprécient le blogue de Jean-Pierre Martel.

  17. Kamal karazivan dit :

    Bravo Jean-Pierre Martel. Perspicace et profond. Votre vision et analyse de la guerre en Syrie dépasse de loin les éditoriaux de nos médias incluant malheureusement Le Devoir. Il est rafraîchissant de découvrir une pensée juste, humaniste expliquée en toute simplicité.

    • Jean-Pierre Martel dit :

      À l’origine de ces textes, mon but était simplement d’obtenir une réponde à la question ‘Pourquoi ?’.

      Une multitude de pays s’affrontent directement ou indirectement en Syrie. Et comme chacun d’entre eux tente de justifier son intervention — motivée souvent par des objectifs inavouables — ce conflit se double d’une guerre de propagande.

      Après avoir compris que tous les pays impliqués dans ce conflit mènent un double jeu — c’est-à-dire disent une chose et en font une autre — il suffisait de les juger exclusivement à partir de ce qu’il font. Alors tout devenait plus simple.

      Mais il s’agit d’une simplicité relative; la grande majorité des sujets complexes ne peuvent pas se résumer brièvement.

      En comparaison avec les médias traditionnels, l’avantage d’un blogue comme celui-ci — ou le Huffington Post auquel vous participez de temps en temps — c’est que nous ne sommes pas limités par l’espace.

      Donc vous et moi, nous nous adressons à ceux qui veulent approfondir le sujet.

      Ceci étant dit, j’apprécie notre commentaire et je souhaite que vous trouviez sur ce blogue plusieurs textes qui seront à la hauteur de vos attentes.

  18. Andre Lefort dit :

    J’aimerais en savoir plus sur votre famille Martel. Qui étaient vos parents et grand parents ?

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Mes grands-parents paternels étaient Élzéar Martel et Anna Lepage.

      Sur une photo datée d’octobre 1917, ils portent respectivement les numéros 14 et 11.

      Sur cette photo du clan Martel, Anna Lepage est ce petit bout de femme, pleine d’audace, qui ose se placer au centre de l’image, les mains sur les hanches.

      Mon grand-père tient le menton de ma tante Ida Martel afin de l’immobiliser (les temps d’exposition photographique étant très long à l’époque).

      Né en septembre 1918 (soit un an plus tard), mon père est Jean-Paul Martel, le premier des deux fils de mon grand-père.

      C’est lui qui succéda à son père à la tête de la confiserie Elzéar Martel ltée. Le changement de propriétaire l’obligea à refaire le papier à correspondance, l’identification du magasin et le lettrage des camions de livraison.

      Et puisque mon père caressait l’espoir secret que je lui succède à mon tour, il a appelé son commerce ‘J.P. Martel’ afin que je n’ai pas, moi Jean-Pierre, à refaire tout cela si j’avais à lui succéder…

      Pour ce qui est de tous les enfants d’Elzéar Martel et d’Anna Lepage, j’ai eu l’occasion de leur rendre hommage dans un texte paru en 1997.

      • Andre Lefort dit :

        Je vous remercie beaucoup pour cette information Jean-Pierre.

        Les familles Martel, Paquet et Charland sont dans ma ligneé…

  19. Patricia Vézina dit :

    Est-ce bien le Jean-Pierre avec qui je travaillais à la
    pharmacie Desautel.

  20. André dit :

    Bonsoir M.Martel
    J’ai répondu à votre commentaire à mon texte contre F.Pelletier Je m’excuse pour la méprise.
    Dis-moi où était l’école des Sœurs de la Providence que vous avez, comme moi, fréquentée?

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Cette école était située dans ma ville natale, à Joliette.

      C’était l’école Baby, du nom du premier maire de cette municipalité. Depuis, l’édifice est devenu l’Hôtel de Ville.

      J’y ai fait mes études primaires, de la première à la cinquième année.

      Parmi les religieuses qui m’ont enseigné, je me rappelle de sœur Priscillien (en 1re), sœur Donat-Marie (en 2e), sœur Louis-Adolphe (en 3e), et sœur Pierre-de-Bethsaïde (en 5e).

      Pour terminer, ne vous en faites pas pour l’imbroglio. Je n’en ai pas été offensé.

      À la prochaine…

  21. André dit :

    Intéressant, mais j’ai plus envie de vous demander pourquoi vous avez tombé dans le panneau du Devoir en répondant à leur question qui veut nous empêcher de commenter comme à l’habitude.
    Bizarre.

    • Jean-Pierre Martel dit :

      À l’époque où Le Devoir n’était publié que sur papier, on répondait à ses articles, chroniques et éditoriaux uniquement dans le Courrier des lecteurs. Seuls quelques élus avaient le privilège d’y voir leurs commentaires publiés.

      La version électronique de ce quotidien a permis une plus grande liberté d’expression.

      Or le prestige du Devoir ne repose plus que sur une poignée de journalistes puisque la majorité des textes qu’on y lit sont des reproductions de dépêches écrites par des agences de presse.

      Sans vous donner de noms, permettez-moi de dire que certains artisans de ce quotidien sont des êtres remarquables alors que d’autres font dur.

      Je soupçonne que certains parmi ces derniers sont exaspérés de voir le gouffre qui se creuse entre ce qu’ils écrivent et les répliques de quelques lecteurs qui leur sont nettement supérieurs intellectuellement.

      Le site web du Devoir n’est pas un média social. Si ce quotidien veut interdire les débats, c’est son droit. Ceux qui ressentent le besoin de s’exprimer peuvent le faire ailleurs, comme sur ce blogue…

      Tout n’est donc pas perdu, M. Joyal.

      • André dit :

        Merci pour votre réponse M.Martel.
        Mais ce matin je vois que vous et M. Cyril Dionne vous persistez à «collaborer». Je trouve vraiment dommage, c’est donner raison à la direction.

        Je ne comprends pas comment Mathieu Lacoste a fait pour collaborer (à sa façon) car moi je n’obtiens pas la fenêtre me permettant de répéter ce que j’ai écrit hier.

      • Jean-Pierre Martel dit :

        Je comprends votre réaction.

        J’écris lentement. Conséquemment, j’ai toujours été frustré lorsque Le Devoir refusait de publier un de mes commentaires. Tout le temps à écrire ce commentaire, c’était une partie de ma vie perdue.

        Depuis que j’ai créé mon propre blogue, j’ai d’autres moyens d’atteindre un certain auditoire. Donc si je ne peux pas écrire dans Le Devoir, j’aurai plus de temps à consacrer à mes autres activités.

        Dans votre cas, vous devez comprendre que si Le Devoir vous prive du moyen de vous exprimer dans ses pages, il se tire dans le pied puisqu’il se prive de vos lumières…

        Je suis donc désolé, moins pour vous que pour ce quotidien. Mais que voulez-vous ? La sagesse est l’art d’accepter ce qu’on ne peut pas changer.

  22. André dit :

    Vous écrivez: « Donc si je ne peux pas écrire dans Le Devoir, j’aurai plus de temps à consacrer à mes autres activités.»

    Bon sang, parfois vous étiez 2 mois sans vous manifester… Ce ne semble pas vous manquer tant que ça.

    Ces derniers temps, 3 personnes dont j’ignorais l’existence m’ont écrit pour m’annoncer la fin de leur abonnement. La dernière, ce matin, a même mis en Cc le courriel de ce «cher RMD». S’il savait : le monsieur, il ne serait pas content hahahhha

    Chose certaine, je n’aurai pas à passer une heure ou deux/jour à lire les commentaires comme ce fut le cas pour défendre la loi 21 (que vous n’appuyez que mollement…). Pour FP et E.C. c’est simple, je ne lisais que le titre et je passais immédiatement aux commentaires…

    • Jean-Pierre Martel dit :

      À part le chroniqueur Konrad Yakabuski que je ne lis jamais parce les faits qu’il rapporte sont parfois faux, je n’ai pas le choix de lire les textes des personnes avec lesquelles je ne suis pas d’accord.

      Pas n’importe quelle opinion, mais toutes celles qui sont rationnelles. Afin d’en tenir compte dans mes répliques et dans la rédaction des textes publiés sur ce blogue.

      C’est ce qui me permet de trouver des arguments capables d’ébranler les convictions des gens qui ne sont pas de mon avis.

      D’autre part, tous les commentaires publiés dans Le Devoir sont lus par des conseillers politiques. Tant à Québec qu’à Ottawa.

      Lorsqu’une personne, comme moi, hostile à la Charte de la laïcité du PQ se rallie (mollement) à la loi 21 de la CAQ parce qu’elle juge plus important le respect des choix de société de la nation québécoise que le respect du droit constitutionnel de porter des breloques religieuses — un droit qualifié de ‘caprice constitutionnel’ (l’expression est de moi) — cela envoie un message à Ottawa; financez en sous-main la contestation juridique de la loi 21 par des organismes anglo-canadiens et vous risquez de rallier à cette loi une partie des Québécois qui auraient toutes les raisons de s’y opposer.

  23. Nepton, Philippe dit :

    Bonjour Jean-Pierre, je suis bien content de te retrouver et de te lire.
    Tu es toujours bien divertissant.
    Je suis Philippe Nepton.
    Ça fait longtemps.
    Donne-moi des nouvelles.
    J’aimerais bien entrer en contact avec ton frère, Claude.

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Bonsoir M. Nepton,

      J’ai transmis votre message à mon frère (qui l’a bien reçu). Il devrait bientôt communiquer avec vous si ce n’est pas déjà fait.

      Ceci étant dit, monsieur Nepton, bienvenue sur ce blogue.

  24. André dit :

    Bon sang! Où prenez-vous le temps pour avoir autant de loisirs? J’imagine que depuis peu, l’item voyage prend moins d’importance. C’est mon cas entéka.

    Mon 1er ordi en 1983: un Vic-20 et ses… deux Ko. En 1986 ce fut le Macintosh 512K.

    • Jean-Pierre Martel dit :

      On n’a qu’une seule vie à vivre. Voilà pourquoi il faut la vivre de manière intéressante, quitte à avoir d’autant plus de regrets le jour où il faudra la quitter…

      D’autre part, le syndicat que j’ai dirigé pendant une décennie fut le premier des trois syndicats au sein de notre profession à s’informatiser en avril 1984 (donc après vous). C’était même avant notre Ordre professionnel.

      Nous avions acheté un puissant Golden-II (clone d’un ordinateur Apple-II), doté d’une mémoire vive de soixante-quatre-mille octets. Évidemment, c’était beaucoup trop. Mais rien n’est trop beau pour la classe ouvrière…

      Les logiciels et les données se trouvaient sur des disquettes amovibles. Il n’avait donc pas de disque rigide. D’ailleurs, entre nous, pourquoi devrait-on avoir besoin d’un disque rigide ?

      Bref, nous étions à la fine pointe du progrès.

  25. Daniel LESUEUR dit :

    Bonjour.
    Sans doute serez-vous surpris de recevoir un mail de France.
    Il se trouve que mon ami canadien vit à Joliette où vous avez vu le jour. Je suis donc allé voir votre “portrait” et j’ai vu qu’en dehors des préoccupations que vous développez sur le blog (j’en fais autant sur le mien) vous êtes, comme moi, un passionné de musique et de cinéma (voir mon histoire sur
    Wikipédia).
    Donc j’ai pensé que vous seriez peut-être intéressé à lire mon prochain livre avant sa parution à Noël : j’y développe en plus de 500 pages le déclin de la société française des cent dernières années ; mon point de vue et mon analyse sont argumentés par des extraits de mille chansons françaises.
    Je ne peux pas joindre de documents à ce mail alors n’hésitez pas à me contacter directement.
    Bien cordialement

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Je viens de terminer la lecture de votre biographie professionnelle sur Wikipédia et j’avoue être essoufflé simplement à lire ce que vous avez accompli jusqu’ici.
      Je suis donc honoré de vous accueillir sur ce blogue et j’espère que vous y trouverez des textes qui vous plairont.

  26. sandy39 dit :

    Mais Moi, je n’ai pas d’ami canadien ! J’en suis, toujours, étonnée, d’ailleurs ! pour ne pas dire surprise…

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Tous les lecteurs canadiens de ce blogue sont vos amis, voyons sandy39, qu’est-ce que vous racontez, là ?

      Quand vous passez des semaines sans publier de commentaires, qu’est-ce qui est pris à gérer les angoisses de tous ces gens qui me demandent : Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Pourquoi n’écrit-elle plus ?

      C’est moi qui doit répondre à tous ces courriels. Et comme récompense pour mes efforts, voilà que vous vous plaignez de ne pas avoir d’ami canadien.

      Oh vraiment sandy39, ouvrez-vous les yeux : nous vous aimons tous, voyons…

  27. sandy39 dit :

    AMIS LECTEURS…

    Je ne m’attendais pas à tout ça ! Et, je ne sais même pas par où commencer !

    Au départ, je voulais, juste, commenter, une phrase de Daniel : “Vous allez être surpris de recevoir un mail de France.”. Elle me gênait un peu, cette phrase.

    Je voulais vexer personne et, je vous ai mis en colère. Ce n’était pas mon intention. Veuillez m’excuser !

    Je voulais, juste, vous demander, J.Pierre, si, vraiment, lorsque l’on tient un blogue, il arrive que l’on soit étonné… sur la provenance de certains mails…

    En aucun cas, ce n’était pour me plaindre ! J’ai tout loupé !

    C’est un truc de dingue, vous avez tout pris en direct…(il y avait de quoi !) Vous me grondez ! Vous avez raison de me remettre d’aplomb !

    Elle est, toujours, là, la puissance des mots… Et, pendant tout ce temps, vous êtes restés dans votre silence, ne sachant que répondre… Vous avez perdu du temps pour Moi… et, Moi, j’en ai eu moins pour écrire : ce n’était pas des semaines, c’était des mois ! Même, sans temps ou avec moins de temps pour écrire, ça manque un peu ou tout le temps… et, c’est, parfois, terrible pour le Moral.

    Non, mais, sans rire, J.Pierre, j’ai fait vibrer tout le Canada, pendant toutes ces années !?

    Enfin, j’avais, peut-être, besoin d’entendre certains mots. Je vous ai manqué, alors ? Alors, Merci de m’aimer, encore !

  28. André Asselin dit :

    Le hasard, dit-on, fait bien les choses, mais il est tout de même étonnant que celui-ci puisse nous fait revenir accidentellement en arrière, d’aussi loin que de plus de 65 ans.

    Ici, c’est le cas, puisque nous avons fait notre primaire tous deux, à la même époque, tous deux à l’école Baby, et je me souviens très bien de ce petit blondinet de Jean-Pierre Martel, qui était dans ma classe.

    Eh puis, déjà, par la suite, tous ceux qui étaient nos collègues de classe, au primaire, se sont évanouis dans les dédales du temps qui passe, et que tout un chacun, perd la trace de l’un, et de l’autre, et que la vie nous emmène un peu partout sur cette petite planète. Telle est la vie, et tels sont les impondérables inattendus que celle-ci nous fait vivre.

    Alors, bonne continuation, Jean-Pierre, et bravo pour ce fort intéressant blogue.

    D’un ancien collègue de classe au primaire…

    André Asselin, qui vivait sur la rue Baby, à un jet de pierres du parc Lajoie, celui-là même qui portait bien son nom.

    • Jean-Pierre Martel dit :

      Je me rappelle très bien d’être allé chez vous sur la rue Baby, effectivement tout près du parc Lajoie.

      À moins que je me trompe, vous étiez mon meilleur ami dans les dernières années du primaire, enseignés notamment par sœur Pierre-de-Bethsaïde. Celle-ci se caractérisait par sa dévotion très spéciale à saint Joseph.

      Moi qui n’ai pas la mémoire des noms, le seul autre camarade dont je me rappelle portait le nom de famille ‘St-Hubert’.

      Que cela soit exact ou non, je suis très heureux que nos chemins se soient croisés de nouveau. Que faites-vous de bon ? Si vous êtes retraité, quel métier ou profession avez-vous exercé au cours de votre vie active.

  29. André Asselin dit :

    Si je me souviens bien, à l’époque nous avions une « 1re année A », et une « 1re année B », et comme mon nom commence par un « A », et le tien par un « M », nous n’étions vraisemblablement pas dans la même classe, du moins au tout début, puisque ma première enseignante se nommait sœur Précicilienne, et la suivante, en 2e année, sœur Donat-Marie… enfin selon ma mémoire.
    Quant au nom ; « St-Hubert », je ne me souviens pas qu’un élève ait eu ce nom de famille, et le seul Hubert que je dont je me souviens était, au secondaire, et se nommait ; Hubert Piuze.

    Aussi, comme je ne fais partie d’aucun réseau social, ni d’une quelconque organisation, et que ce blogue, fait partie, en quelque sorte du domaine public, je préférerais ne pas afficher publiquement ma vie privée et de parler de la partie ; « Si vous êtes retraité, quels métier ou profession avez-vous exercés au cours de votre vie active. »… que dans le cadre plus privé qu’un courriel peut offrir.

    Aussi, si « tu » veux bien, nous nous parlerons, sans les formalités qu’exigent l’utilisation du, « vous », puisque, nous avons étudié au primaire au même endroit, et que mon courriel fait davantage office de ma vie privée.

    Alors, j’attends si tu le veux bien, tes coordonnées, puisque tu possèdes déjà mon adresse courriel.

    Bon dimanche, encore sous le gris automnal.

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