Alors que sévissent des pénuries de main-d’œuvre partout en Occident, beaucoup d’entrepreneurs peinent à trouver le personnel dont ils ont besoin pour faire fonctionner leur entreprise. D’où l’idée d’y automatiser les opérations.
Casa Pizzas se veut le chef de file de la distribution automatique de pizzas. À l’heure actuelle, la compagnie possède deux franchisés au Québec, dont un à l’aire de restauration située au sous-sol de la place Montréal Trust.
Les pizzas sont préparées d’avance et livrées réfrigérées au franchisé. Ce dernier n’a qu’à les cuire, si besoin.
À la place Montréal Trust, le menu comprend un choix de deux pizzas (au peppéroni ou au poulet mariné) sur les quatre que Casa Pizzas offrira éventuellement. Rien d’autre.
On peut commander sa pizza froide (à cuire à la maison) ou chaude (à consommer aux tables de l’aire de restauration). C’est le même prix.
Dans le premier cas, la clientèle obtient sa pizza en trente secondes, alors que si elle la veut chaude, cela prendra quatre minutes.
Le tout est un tantinet impersonnel. Mais que voulez-vous ? On n’arrête pas le progrès…
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 25mm F/1,2
1re photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 250 — 25 mm
2e photo : 1/80 sec. — F/1,2 — ISO 200 — 25 mm
Curieux que l’on n’offre pas la «basic» soit la plus simple et que favorisent les véritables connaisseurs dont je suis : fromage, sauce tomate et basilic.
Les gars, si vous saviez, comme je n’aime pas ces ordinateurs qui délivrent à manger… tout comme les distributeurs de pain ou de fromage qui se sont installés dans nos villages, aussi.
A faire concurrence aux autres commerces comme le Camping où, en saison et, en période de vacances scolaires, tu peux commander une pizza tout comme aux camions installés, certains soirs, sur les places des villages…
André a certainement raison : la plus simple, la meilleure.
Sauf qu’il y a un truc qui coïnce : la pâte avec levure chimique, ce n’est pas bon à la Santé et, pour la farine, il ne faut pas que du blé !
Il faut que je vous raconte les soucis de santé de mon homme car il ne lui faut pas de levure, ni bière, pas trop de canons (verres) de rouge et, surtout pas de vin blanc, ni du JURA, ni d’ailleurs !
Ce qu’il y a de bien sur ce Blogue : c’est qu’il y a, toujours, un sujet sur lequel je peux ancrer mes griffes remplies de témoignages…
Bon, parlons sérieux ! Les levures ne font pas bon ménage avec le Candida Albicans. Vous nous en parlerez, J.Pierre, si vous voulez nous donnez des précisions, surtout des explications.
C’est une Naturopathe qui a fait faire les prises de sang (pas toujours remboursées par la Sécurité Sociale) afin de réaliser les meilleures recherches.
Il s’est donc avéré que mon homme avait un taux trop haut de Candida Albicans dans l’intestin. Ce qui le rendrait poreux et, ce qui engendrerait des problèmes de tendinite et de cartilage au niveau de l’épaule.
Ce serait donc le pourquoi de la durée si longue de son arrêt de travail : 16 mois !
Il a donc repris au 1er Septembre, après avoir consulté 3 chirurgiens dont leurs avis divergeaient et, dont le dernier ne voulait pas l’opérer !
Ce que j’aurais aimé savoir, J.Pierre, si le Candida Albicans était lié au sucre, au gluten, au blé, au lait…
Et, je voudrais vous demander si le Candida Albicans était lié, aussi, à l’acide urique parce que juste avant Noël 2021, mon homme avait eu les pieds, les orteils rouges et gonflés… peut-être un problème en a engendré un autre ?…
En attendant de vos nouvelles, passez de Bonnes Fêtes sans faire d’excès !
Si, comme je le présume, votre mari fait de la goutte, voici quelques conseils.
• Toujours conserver ses extrémités (doigts et orteils) au chaud. Donc, pas de marche nu-pied (même à l’intérieur, sauf sur le plancher chaud au sortir d’une douche) ni de marche en chaussettes ou en sandales. Ne chausser que des souliers où les orteils sont au chaud.
• Pas d’alcool.
• Régime alimentaire parcimonieux en viande (particulièrement en abats).
• Pas d’exhausteur de saveur (de type Bovril™) contenant du guanylate disodique ou de l’inosinate de sodium. Donc, il faut lire les étiquettes.
• Si votre mari ne fait pas d’hypertension, il pourrait saler ses aliments un peu plus que d’habitude (sans excès) afin d’être incité à boire davantage.
À part les orteils et les pieds enflés, le reste de ses symptômes ne sont pas reliés à la goutte.
Jusqu’ici, j’ai toujours résisté à la tentation de ‘jouer’ au professionnel de la Santé sur ce blogue. Je me limiterai donc aux conseils alimentaires ci-dessus.
Ben tu vois, on ne nous l’avait jamais dit qu’il fallait tenir ses orteils au chaud.
Au départ, le Médecin Généraliste pensait à un corps étranger dans le pied : prescription d’antibiotiques qu’il n’a jamais pris et radio.
Il avait même consulté une femme podologue à MOUTHE, dans le DOUBS -pas dans le Jura comme ils disent à la télé, le coin le plus froid de France ! Non mais, il y a pire !-très gentille qui pensait à des engelures puisqu’il avait eu froid sur un chantier ! Elle lui avait fait commander, sur Internet, des pansements « kinesiology tape ». Il trouvait que ça lui faisait du bien.
Régime alimentaire : on sait. On n’a fait que s’adapter depuis que j’ai eu mal au bide…
Ce problème aux pieds n’est pas revenu mais il a enchaîné avec une tendinite au bras montée à l’épaule. Le kiné lui avait remis pas mal de choses (cervicales…) et un autre pour la méthode Johns mais sur la fin du kiné, c’était comme « pisser dans un violon », enfin ça stagnait.
Merci J.Pierre ! Mais, pourrais-je continuer un peu sur l’alimentation ? Vu que l’on part d’une pizza…