Une promenade à l’ile Notre-Dame

Publié le 18 août 2021 | Temps de lecture : 4 minutes

L’ile Notre-Dame est une ile artificielle créée pour recevoir la grande majorité des pavillons nationaux construits à l’occasion d’Expo67.

Depuis, la grande majorité d’entre eux ont été détruits, cédant leur place soit à un bassin olympique en vue des Jeux olympiques d’été de 1976, à un circuit automobile de Formule 1 depuis 1978, ou à des espaces verts pour les Floralies internationales de 1980.

En voici quelques images.
 

 
Long de 2,2 km et large de 110 mètres, le Bassin olympique est un legs des Jeux olympiques d’été de 1976. De nos jours, il accueille des groupes sportifs d’aviron, de canoë-kayak et des compétitions de bateaux-dragons.
 

 
Autrefois placée devant le siège social montréalais de l’Ambulance Saint-Jean (à l’intersection des rues de Maisonneuve et Saint-Denis), cette croix de Malte (ou croix de Saint-Jean) a été déplacée sur l’ile Notre-Dame après la démolition de l’édifice qu’elle décorait.
 

 
Œuvre d’Henri-Georges Adam, Obélisque oblique est un des dons que la France a faits à la ville de Montréal pour la consoler de ne pas avoir pu emprunter la tour Eiffel à l’occasion d’Expo67.
 

 
L’Arc est une œuvre en béton armé créée en 2009 par Michel de Broin. Il se veut un hommage à l’ex-président chilien Salvador Allende.
 

 
L’ancien pavillon de la France à l’Expo67 a été transformé en casino en 1993. C’est le plus important établissement du genre au Canada.
 

 
Cette copie de la fontaine Wallace est un don de la ville de Paris.

À l’occasion de la guerre franco-prussienne de 1870, de nombreux aqueducs parisiens avaient été détruits. Richard Wallace, un philanthrope américain, fit créer par le sculpteur Charles-Auguste Lebourg une série de fontaines identiques qui furent alors les seules sources d’eau potable dans plusieurs quartiers de Paris.
 

 
Conçue pour décorer La Ronde (le parc d’attractions de l’Expo67), Iris est une œuvre en feuilles aluminium courbées du sculpteur québécois Raoul Hunter. Elle se trouve de nos jours près du Casino.
 



 
Créé par l’architecte paysagiste Andrew-J. Khulmann à l’occasion des Floralies internationales de Montréal, le jardin du Canada représentait originellement les divers paysages naturels du pays : un pré, une tourbière, un jardin nordique, un jardin alpin et un jardin de lichens.

Modifié partiellement depuis, il demeure un endroit très plaisant par temps chauds.
 

 
Le lac de l’ile Notre-Dame fait 720 mètres de long par 170 mètres de large. À son extrémité sud, le huitième de ce plan d’eau a été aménagé en sable fin. Cette partie est connue sous le nom de plage Jean-Doré, en l’honneur du maire qui a dirigé la ville de 1986 à 1994.

Dotée d’un grand stationnement, cette plage immensément populaire offre des services de location de canoés et de pédalos.

Détails techniques : Panasonic GX1 infrarouge à spectre complet, objectif Lumix 14-45mm + filtre vert jaunâtre Лomo ж3-2* + filtre bleu B+W KB20 + filtre bleu 80A d’Omega
  1re photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 33 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/9,0 — ISO 400 — 14 mm
  3e  photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 160 — 14 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 14 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 14 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 1250 — 14 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 320 — 14 mm
  8e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 320 — 14 mm
  9e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 500 — 14 mm
10e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 500 — 14 mm
11e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 30 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Encore d’autres hémérocalles d’aout 2021

Publié le 17 août 2021 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Bertand Farr’
Hémérocalle ‘Pardon Me’
Hémérocalle ‘Blood Flow’
Hémérocalle ‘Rose-F. Kennedy’
Hémérocalle ‘Mt Vermon’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
5e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 67 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les multiplicateurs de focale en botanique

Publié le 17 août 2021 | Temps de lecture : 2 minutes

Un multiplicateur de focale est un dispositif qui augmente la puissance d’un objectif au prix d’une perte de luminosité.

À titre d’exemple, le M.Zuiko MC-20 double la puissance de l’objectif M.Zuiko 40-150 mm Pro mais réduit de moitié sa luminosité maximale (la faisant passer de F/2,8 à F/5,6).

À longueur focale et à ouverture maximales, le flou d’arrière-plan est de qualité comparable, qu’on utilise un multiplicateur de focale ou non.

Dans le cas précis des arbres fleuris — comme les magnolias — l’avantage d’un multiplicateur de focale est de permettre de photographier cette fleur qui, autrement, serait trop haute pour s’en approcher.

Depuis mars 2016, je possède le M.Zuiko MC-14. Après m’être procuré en février dernier un multiplicateur de focale plus puissant (le M.Zuiko MC-20), j’ai rapidement découvert l’inconvénient majeur de ces dispositifs; ils limitent l’angle de photographie des fleurs situées à hauteur d’humain.

Concrètement, dans le cas des hémérocalles, le multiplicateur de focale oblige le photographe à s’en éloigner. Ce qui fait que la fleur doit presque toujours être photographiée à l’horizontale ou presque… si on veut utiliser la distance focale maximale (celle qui donne le flou d’arrière-plan le plus séduisant).

Or il arrive qu’en raison de la position du soleil, une fleur soit au mieux lorsqu’elle est vue en plongée. Avec un multiplicateur de focale puissant, à moins de grimper dans un escabeau, on doit réduire la distance focale. Ce qui banalise le fondu d’arrière-plan.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Afghanistan : l’échec américain

Publié le 16 août 2021 | Temps de lecture : 4 minutes

Deux siècles de colonisation n’ont réussi à faire de nous des Anglais. De la même manière, deux décennies d’occupation militaire américaine n’ont pas suffi à faire de l’Afghanistan un pays différent de ce qu’il a toujours été; très attaché à ses traditions, hyperreligieux, et où la poésie occupe une place centrale dans la vie culturelle.

Avec n’importe laquelle des trois grandes religions monothéistes, plus une société est religieuse, plus elle est machiste et misogyne.

Afin d’éviter un soulèvement populaire contre leur occupation du pays, les Américains y ont toléré le port généralisé de la burka, les mariages arrangés, et les crimes d’honneur. Toujours impunis.

Chaque année depuis deux décennies, une vingtaine de jeunes Afghanes s’immolent par le feu, désespérées d’être forcées d’épouser un mari dont elles ne veulent pas.

C’est cet aspect de l’Afghanistan que les médias occidentaux nous cachent depuis vingt ans.

Ils ont préféré mettre en évidence une poignée d’écoles clandestines pour fillettes, écoles peu fréquentées qui doivent leur existence à du financement étranger et qui disparaitront bientôt comme des châteaux de sable à la marée.

Après les attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis se devaient de répliquer à la déclaration de guerre implicite d’Al-Qaïda.

Mais plutôt que d’installer un nouveau gouvernement en Afghanistan, puis de quitter le pays — comme ils l’ont fait en Italie et au Japon après la Deuxième Guerre mondiale — ils ont choisi l’occupation militaire comme en Allemagne.

Le but était d’empêcher le retour des camps d’entrainement d’Al-Qaïda. Comme si l’Afghanistan était le seul endroit au monde où on pouvait entrainer des terroristes. Depuis ce temps, Al-Qaïda entraine plutôt ses guerriers ailleurs, notamment au Pakistan, au Yémen et en Somalie.

Pour empêcher le retour au pouvoir des Talibans, ils ont financé la constitution d’une armée nationale forte officiellement de 300 000 hommes, équipés du meilleur matériel. Une armée qui a pris la poudre d’escampette quand 75 000 Talibans ont lancé leur dernière offensive pour reconquérir le pays en quelques jours.

Les premiers motivés par l’argent. Les seconds par la foi, par la promesse d’une récompense céleste et par patriotisme.

La leçon de cette occupation militaire est simple; un peuple qui n’est pas prêt à défendre la Démocratie de son propre sang ne la mérite pas.

Mais pas plus qu’au Vietnam, les Américains ne retiendront cette leçon parce que, comme tous les peuples Anglo-Saxons, ils sont incapables de résister à la tentation d’imposer leurs valeurs morales à ceux qui ne les partagent pas.

En vingt ans, cette occupation militaire a couté 2 000 000 000 000$ (deux-mille-milliards de dollars). Inutilement.

On peut penser que si cet argent avait été dépensé pour améliorer le sort du peuple américain, il n’y aurait pas aujourd’hui :
• deux-millions de familles américaines menacées d’éviction, parce que trop endettées,
• des dizaines de millions d’adolescents américains qui renoncent à des études supérieures parce qu’ils n’en ont pas les moyens, et
• plus de neuf-millions d’Américains qui ont perdu leur couverture médicale en perdant leur emploi alors que sévit la pire pandémie depuis un siècle.

Plus qu’un échec militaire, la guerre en Afghanistan est un échec moral.

Paru depuis :
Lives lost, poverty, an arms race, rights destroyed … the continuing cost of 9/11 (2021-09-12)

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le défilé de la Fierté gaie de 2021

Publié le 15 août 2021 | Temps de lecture : 2 minutes




 
J’avais reçu l’invitation des gens du Parti Québécois de me joindre à eux à l’occasion du défilé de la Fierté.

Au départ, on devait se rencontrer à l’intersection de l’avenue du Parc et de l’avenue des Pins.

Mais un peu comme le lièvre de la fable, j’ai décidé de partir plus tôt, d’aller photographier le mont Royal en le traversant d’ouest en est, puis d’en sortir à l’avenue du Parc et descendre cette avenue jusqu’au lieu de rencontre prévu.

Tout cela s’est avéré plus long que prévu. Si bien que je n’ai jamais trouvé mes amis du PQ.

Plutôt qu’un défilé le long du boulevard René-Lévesque, celui de cette année était une descente de l’avenue du Parc à partir du monument à George-Étienne Cartier (1re photo) jusqu’au centre-ville.

Plutôt que de regarder défiler des chars allégoriques, la foule de cette année, disparate et joyeuse, était participante à l’évènement.

Bref, ce fut une journée agréable.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif PanLeica 8-18mm
1re photo : 1/1250 sec. — F/3,6 — ISO 200 — 14 mm
2e  photo : 1/1000 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 18 mm
3e  photo : 1/500 sec. — F/4,6 — ISO 200 — 22 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le centre-ville de Montréal, de loin

Publié le 14 août 2021 | Temps de lecture : 1 minute
Aperçu du village
Boulevard René-Lévesque
Autoroute Ville-Marie
Autoroute Ville-Marie
Vue du port
Aperçu général

Détails techniques : Panasonic GX1 infrarouge à spectre complet, objectif Lumix 14-45mm + filtre vert jaunâtre Лomo ж3-2* + filtre bleu B+W KB20 + filtre bleu 80A d’Omega
1re photo : 1/80 sec. — F/8,0 — ISO 320 — 34 mm
2e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 160 — 18 mm
3e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 640 — 14 mm
4e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 16 mm
5e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 14 mm
6e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 250 — 14 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Une personne sur 159 atteinte par le variant Delta en Angleterre

Publié le 14 août 2021 | Temps de lecture : 5 minutes

Introduction

La semaine dernière, le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) publiait la version définitive d’une étude au sujet du variant Delta réalisée à Cape Cod.

Cette étude a fait sensation parce qu’elle révélait que vacciné ou non, on est autant la cible du variant Delta. De plus, l’étude suggérait que l’immunité grégaire était impossible à atteindre avec ce variant.

Mais cette étude possède deux défauts.

Le premier est que les chercheurs n’ont pas expliqué comment ils ont trouvé les 469 cas sur lesquels l’étude est basée. Le second est qu’aucun de ses résultats n’est statistiquement significatif pour la simple et bonne raison que l’étude n’a pas fait l’objet d’une analyse statistique.

Ces lacunes sont compensées par une étude anglaise réalisée par l’Imperial College de Londres. Il est à noter, dans celle-ci, le vaccin le plus utilisé fut celui d’AstraZeneca (non homologué aux États-Unis).

Résultats de l’étude de Londres

REACT-1 (ou REal-time Assessment of Community Transmission of coronavirus) est une série d’études prospectives réalisées par l’Imperial College.

Chaque mois, 150 000 Anglais de plus de cinq ans sont invités à participer à l’étude. Ceux-ci sont choisis aléatoirement.

Chacun d’eux reçoit à domicile un nécessaire destiné à prélever un peu de salive et à retourner l’échantillon dans les plus brefs délais aux autorités sanitaires.

Entre le 24 juin et le 12 juillet 2021, 98 233 prélèvements furent retournés, dont 527 s’avérèrent positifs (au variant Delta dans tous les cas). Soit une prévalence pondérée — c’est-à-dire un taux d’infection parmi la population générale — de 0,63 %.

En d’autres mots, un Anglais sur 159 est actuellement atteint par le Covid-19.

Selon l’âge, le taux d’infection fut de :
• 1,02 % chez les 5 à 12 ans,
• 1,56 % chez les 13 à 17 ans,
• 1,56 % chez les 18 à 24 ans,
• 0,72 % chez les 25 à 34 ans,
• 0,61 % chez les 35 à 44 ans,
• 0,46 % chez les 45 à 54 ans,
• 0,31 % chez les 55 à 64 ans.
• 0,25 % chez les 65 à 74 ans, et
• 0,17 % chez les 75 ans et plus.

À part les 5 à 12 ans (pour lesquels aucun vaccin n’est homologué), cette contamination au Covid-19 est inversement proportionnelle aux taux de vaccination.

Chez les jeunes de 5 à 12 ans — en gros, l’âge des élèves du primaire — la prévalence pondérée était presque le double de la population en général, soit 1,02 %.

De tous les groupes d’âge, le taux de contamination le plus élevé fut trouvé chez les 13 à 24 ans.

La moitié des personnes infectées avaient entre 5 et 24 ans alors que ce groupe d’âge ne représente que le quart de la population anglaise.

Selon les auteurs :

« En période de rapide propagation de l’infection, toute intervention qui cible les jeunes aurait un impact [positif] disproportionné dans le ralentissement de la pandémie.»

La proportion des personnes atteintes par le Covid-19 était trois fois moins importante chez ceux qui étaient vaccinés en comparaison avec ceux qui ne l’étaient pas (0,40 % vs 1,21 %).

Cela protection du vaccin n’est pas de 100 %. Si tel était le cas, tous les prélèvements réalisés chez des vaccinés auraient été négatifs. Et au contraire, si le vaccin était inefficace, on aurait trouvé la même proportion de prélèvements positifs chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.


 
En tenant compte cela, on a calculé qu’au cours des trois semaines de l’étude anglaise, 44 % des cas concernaient des personnes complètement vaccinées. Ce qui correspond à une sous-représentation des vaccinés puisque le taux de vaccination complète dans ce pays est de 59,2 % (au 12 aout 2021).

Cette protection diffère selon la sévérité de l’infection. Heureusement, elle est de plus de 90 % contre les effets graves de la pandémie. Cette protection diminue à 59 % lorsqu’on inclut les cas légers. Et elle tombe à 49 % lorsqu’on considère tous les cas, y compris les asymptomatiques.

Discussion

Au début de la pandémie, lorsqu’on disait qu’un vaccin était efficace à moins de 100 %, mais qu’il ne causait aucun mort ni aucune hospitalisation, cela signifiait que ce vaccin, lorsqu’il échouait, ne causait que des symptômes légers ou pas de symptômes du tout.

Depuis l’apparition du variant Delta, dans certains États américains, toutes les personnes qui décèdent du Covid-19 et toutes celles qui sont aux soins intensifs sont des non-vaccinés.

Sur les milliards de doses administrées à travers le monde, on a trouvé des cas extrêmement rares de personnes complètement vaccinées qui décédèrent quand même du Covid-19.

Mais l’étude de Cape Cod, de même que celle de l’Imperial College de Londres, démontrent qu’avec le variant Delta, les vaccins actuels protègent moins contre une contamination légère ou anodine du Covid-19.

Quant à savoir si les vaccinés qui attrapent ce variant peuvent le transmettre aux autres, il est raisonnable de le présumer même si ces deux études n’en apportent pas la preuve formelle.

Références :
Covid-19 Coronavirus Pandemic
Le variant Delta ou l’accélération de la vague
REACT-1 round 13 final report: exponential growth, high prevalence of SARS-CoV-2 and vaccine effectiveness associated with Delta variant in England during May to July 2021
Share of people vaccinated against COVID-19
The REACT 1 programme

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Écrit par Jean-Pierre Martel


D’autres hémérocalles d’aout 2021

Publié le 11 août 2021 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Little Wine Cup’
Hémérocalle ‘Search for Scarlet’
Cliquez sur l’image pour l’agrandir
Hémérocalle ‘So Lovely’
Hémérocalle ‘Pink Charm’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 120 mm
3e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/3200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
5e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 75 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Aperçu de la partie sud de l’ile Sainte-Hélène

Publié le 9 août 2021 | Temps de lecture : 4 minutes

Longue de 2,8 km et large de 600 mètres, l’ile Sainte-Hélène est située au sud-est de l’ile de Montréal.

Samuel de Champlain la nomma ainsi par amour pour son épouse Hélène (née Boullé).

Pendant un siècle et demi, elle fut la propriété de la famille Le Moyne.

Porte du fort de l’ile

Après l’échec de la conquête du Canada par les États-Unis en 1812, l’Angleterre acheta l’ile six ans plus tard afin d’y construire un fort destiné à mieux protéger le pays contre notre belliqueux voisin.

Transformée en parc public en 1874, elle n’était alors accessible que par traversier. En 1930, la construction du pont Jacques-Cartier facilita la fréquentation de l’ile par les piétons et les automobilistes.

De nos jours, on y vient en famille principalement pour s’amuser à La Ronde, son parc d’attractions, au nord du pont.

De l’autre côté du pont, on trouve également de nombreuses installations dignes d’intérêt.

Phare de l’ile Sainte-Hélène

Un premier phare, construit en 1907, fut remplacé par celui-ci quatre ans plus tard. Son appareillage lui fut retiré lorsqu’il devint inutile avec l’ouverture de la voie maritime du Saint-Laurent.
 


 
En se rendant à la tour de Lévis par le nord, il est plaisant de prendre quelques instants pour s’arrêter à ce plan d’eau alimenté par une cascade.

Tour de Lévis

Construite dans les années 1930, la tour de Lévis sert habituellement de belvédère. Elle est actuellement fermée pour rénovation.

Cimetière militaire anglais

C’est ici qu’entre 1828 et 1878, on ensevelit les corps des soldats décédés au fort de l’ile Sainte-Hélène. En 1915, on exhuma les sépultures à Montréal. Mais on conserva ce monument commémoratif.

Restaurant Hélène-de-Champlain

Construit de 1938 à 1953 sur les plans de l’architecte Émile Daoust, ce restaurant luxueux est fermé depuis 2010.

Dôme géodésique

Symbole d’Expo67, l’ancien pavillon des États-Unis — conçu par l’architecte Richard Buckminster-Fuller — est le plus important dôme géodésique au monde. Il est considéré comme un des chefs-d’œuvre mondiaux de l’architecture du XXe siècle.

Grand bassin du complexe aquatique

Le complexe aquatique de l’ile comprend trois bassins. D’une superficie de 3 557 m², le plus grand des trois est à pente progressive. Son fond est muni d’un tapis de caoutchouc rembourré pour le confort et la sécurité des enfants.

Trois disques (ou l’Homme), de Calder (1967)

Alexandre Calder créa Trois disques pour décorer le site de l’Expo67. Haute de 21,3 mètres. c’est une des plus grandes sculptures du XXe siècle.

Elle fut le don à l’Expo67 de l’International Nickel Compagny of Canada. Celle-ci convainquit Calder de la réaliser dans un alliage brut d’acier et de nickel (et non en fer peint, comme il en avait l’habitude).

Lac des Cygnes

Près de la pointe sud de l’ile, on trouve à l’état sauvage le lac des Cygnes. Circulaire, son diamètre est d’environ 134 mètres.

Détails techniques : Panasonic GX1 infrarouge à spectre complet, objectifs M.Zuiko 12 mm F/2,0 (8e et 9e photos) ou Lumix 20mm F/1,7 (11e photo) ou Lumix 14-45 mm (les autres photos) + filtre vert jaunâtre Лomo ж3-2* + filtre bleu B+W KB20 + filtre bleu 80A d’Omega
  1re photo :1/60 sec. — F/8,0 — ISO 640 — 14 mm
  2e  photo : 1/100 sec. — F/8,0 — ISO 640 — 45 mm
  3e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 500 — 14 mm
  4e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 1250 — 16 mm
  5e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 320 — 14 mm
  6e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 21 mm
  7e  photo : 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 320 — 18 mm
  8e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 160 — 12 mm
  9e  photo : 1/200 sec. — F/5,6 — ISO 160 — 12 mm
10e  photo : 1/80 sec. — F/5,6 — ISO 160 — 31 mm
11e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 160 — 20 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Des hémérocalles d’aout 2021

Publié le 8 août 2021 | Temps de lecture : 1 minute
Hémérocalle ‘Vampire Bat’
Hémérocalle ‘Howdy’
Cliquez sur l’image pour l’agrandir
Hémérocalle ‘Last Picture Show’
Hémérocalle ‘Mid Winter Fire’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
3e  photo : 1/1000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
4e  photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
5e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 125 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel