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Pivoine herbacée hybride ‘Golden Angel’
Mélèze laricin
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Le Daguerréotype Achromat 64mm F/2,9 Art Lens (quel nom !) est la version moderne d’un objectif mis au point en 1839 par l’opticien Charles Chevalier pour le compte de l’inventeur Louis-Jacques-Mandé Daguerre.
Tout comme l’original, cet objectif manque de netteté.
Mais ce défaut est une qualité qui est recherchée par ceux qui apprécient le halo romantique qui redonne de la splendeur aux vedettes d’antan dont les charmes se sont évanouis sous les assauts du temps.
Iris des marais
En photographie, l’équivalent de l’iris occulaire s’appelle le diaphragme. Le daguerréotype en est dépourvu.
Pour réduire la quantité de lumière qui atteint le capteur de l’appareil photographique, on glisse une plaque trouée dans une fente située sur le dessus de l’objectif.
L’ouverture de cette plaque peut être circulaire ou emprunter une forme de fantaisie.
Dans le cas de toutes les photos publiées aujourd’hui, cette ouverture était en forme d’étoile.
Le résultat est que les taches de lumière en arrière-plan empruntent la forme de cette étoile, comme on peut le voir nettement dans cette dernière photo, prise devant un plan d’eau scintillant au soleil.
Compléments de lecture :
Le Daguerreotype Achromat 64mm F/2,9 Art Lens
L’histoire de la Fleur de Lys
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif Daguerréotype Achromat 64mm F/2,9 Art Lens
1re photo : 1/640 sec. — F/4,5 — ISO 200 — ? mm
2e photo : 1/3200 sec. — F/4,5 — ISO 200 — ? mm
3e photo : 1/500 sec. — F/4,5 — ISO 200 — ? mm
4e photo : 1/640 sec. — F/4,5 — ISO 200 — ? mm
5e photo : 1/2000 sec. — F/4,5 — ISO 200 — ? mm