Mes vœux de Saint-Valentin en temps de pandémie

Publié le 14 février 2021 | Temps de lecture : 2 minutes

S’il y a une chose que la pandémie au Covid-19 devrait nous avoir apprise, c’est l’importance des néoQuébécois et des travailleurs étrangers.

Sans ces travailleurs mexicains qui, chaque saison des récoltes, viennent au Québec accomplir les tâches agricoles les plus épuisantes à cueillir ce que la machinerie lourde est incapable de faire, nous aurions manqué de certains aliments frais.

Un grand nombre de nos vieillards seraient morts par manque de soins sans ces immigrants ‘illégaux’ qui n’ont trouvé d’emplois que dans les zones rouges de nos établissements de santé à effectuer des tâches que plus personne n’était en mesure d’accomplir.

Combien de restaurants ont survécu aux confinements grâce à des gens issus de l’immigration qui ont accepté d’être sur la route à livrer des repas plutôt que de rester chez eux à subsister grâce à l’aide gouvernementale ?

Tous ces gens nous ont rendu service et ont sauvé des vies.

En temps normal, personne ne parle d’eux. Ils représentent ces mains invisibles qui aident à tisser les liens de solidarité sur lesquels repose notre cohésion sociale.

Aujourd’hui, c’est à eux que je dis : Bonne Saint-Valentin et merci…

Complément de lecture : Bonne Saint-Valentin

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Écrit par Jean-Pierre Martel