Jardins de lumière 2018

Publié le 11 octobre 2018 | Temps de lecture : 3 minutes
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Jusqu’au 31 octobre 2018, le Jardin botanique de Montréal présente la 26e édition de son exposition annuelle de lanternes chinoises.

C’est à l’automne et à l’hiver derniers qu’ont été conçues les lanternes de l’exposition de cette année. Expédiés à Shanghai, les dessins techniques montréalais sont réalisés à la main par des artisans chinois.

En mai, les 900 lanternes quittent Shanghai par bateau jusqu’à Vancouver, puis voyagent par train jusqu’à Montréal.

Il faut plus d’un mois à une équipe de techniciens — menuisiers, plombiers, soudeurs, et électriciens — pour fabriquer les supports et installer le réseau électrique étanche qui alimente ces lanternes.

Mardi soir dernier, j’ai profité de la température très agréable pour visiter l’exposition.

Cette année, on procède par réservation; votre billet est vendu pour une journée et une heure d’entrée précise.

Le résultat est que l’affluence est mieux répartie et conséquemment, on ne se marche plus sur les pieds.

Ceci étant dit, voici les photos que j’en ai rapporté.

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Cet été, lors de la restauration du Jardin de Chine, on a créé un sentier qui relie directement celui-ci au Jardin des Premières-Nations.

En sortant du Jardin de Chine, ce sentier est décoré de lanternes chinoises conventionnelles.

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Mais dès que les visiteurs sortent du Jardin de Chine, ils accèdent au troisième volet de l’évènement Jardins de lumière.

Son premier volet est l’exposition de lanternes au Jardin de Chine (que nous venons de voir). Le deuxième consiste en un éclairage paysager nocturne du Jardin japonais.

Le troisième volet, situé dans le Jardin des Premières-Nations, possède sa propre signature.

Dans ce jardin, le feuillage et le sous-bois sont subtilement éclairés d’une constellation de taches lumineuses.

Précisons que la photo ci-dessus ne rend pas justice à l’atmosphère féérique des lieux. En somme, il faut y être pour l’apprécier pleinement.

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Cet effet est obtenu très simplement. Il aura suffi de disposer çà et là des boules à facettes (appelées boules disco) éclairées par un puissant faisceau lumineux.

Il suffisait d’y penser.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 Mark II, objectifs Voigtländer 25 mm F/0,95 (6e et 7e photos) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
  1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 19 mm
  2e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 12 mm
  3e  photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 14 mm
  4e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 12 mm
  5e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 19 mm
  6e  photo : 1/100 sec. — F/1,1 — ISO 400 — 25 mm
  7e  photo : 1/125 sec. — F/1,1 — ISO 320 — 25 mm
  8e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 16 mm
  9e  photo : 1/40 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 15 mm
10e  photo : 1/2 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 12 mm
11e  photo : 1/15 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 18 mm

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