Belle et chaude journée de clôture du festival.
Giedré
Aujourd’hui j’ai invité mon frère François à assister au spectacle de Giedré sur la scène de la zone Molson. Nous sommes arrivés vingt minutes à l’avance : il ne restait déjà plus que quatre sièges libres.
Le répertoire fantaisiste de cette chanteuse française m’a beaucoup plu la veille et j’avais le gout de partager ce plaisir avec mon frère. Il s’agit donc d’un cadeau qui ne m’a rien couté.
À 20h, nous avons effectué le circuit des trois spectacles concurrents, soit…
H’Sao
…le mariage musical du groupe montréalais d’origine tchadienne H’Sao sur la scène Hydro-Québec…
Rosie Valland
…celui de la ténébreuse Rosie Valland (ici superbement mise en valeur par les éclairagistes de la scène Loto-Québec)…
Gabriel Joseph
…pour terminer par le dernier des trois finalistes dans la catégorie Auteur-compositeur du concours Étoile montante Ford.
Puis nous nous sommes quittés, mon frère et moi, lui pour aller manger.
Jean-Louis Cormier, ses musiciens et ses chanteurs
David Goudreault
De 21h à 22h, j’ai alloué les quarante-cinq premières minutes au grand spectacle que Jean-Louis Cormier avait concocté pour les festivaliers.
Parmi ses invités, le poète, romancier et slameur québécois David Goudreault.
Sarahmée
Le dernier quart d’heure fut consacré à la Sénégalaise Sarahmée, au répertoire original, à la croisée du rap et du R&B.
À 22h, nouveau duo de spectacles.
Mehdi Cayenne
D’abord celui du Franco-Ontarien Mehdi Cayenne. Celui-ci possède la particularité d’être la seule vedette des FrancoFolies à avoir apporté à Montréal son propre décor de scène.
Laurence Nerbonne
Pendant ce temps, l’ex-soliste d’Hôtel Morphée, Laurence Nerbonne, présentait son répertoire solo plaisant sur la scène Loto-Québec.
La Smala
Puis, un peu après 23h, j’ai quitté le site du festival en croquant sur le vif les rappeurs belges de La Smala sur la scène La Presse+…
Les Goules
…et le groupe punk québécois Les Goules sur la scène Ford.
En résumé, cette 28e édition des FrancoFolies de Montréal — le plus important festival de musique francophone au monde — fut comme à son habitude; un moyen de découvrir de nouveaux talents et une belle occasion de réentendre des vedettes déjà consacrées que les organisateurs de l’évènement (et leurs commanditaires) ont choisi de nous présenter gratuitement.
On n’est pas obligé de tout aimer. Voilà pourquoi le festival fait alterner sur six scènes des propositions contrastées en nous laissant libres d’y trouver notre plaisir.
Merci donc aux organisateurs de l’événement et aux bénévoles qui rendent un tel festival possible.
Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 150 mm
2e photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
3e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 125 mm
4e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 150 mm
5e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 40 mm
6e photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 150 mm
7e photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 150 mm
8e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 40 mm
9e photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 150 mm
10e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 2000 — 40 mm
11e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 40 mm
Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.
Merci et félicitations pour votre sobre mais éclairante présentation des FrancoFolies. Je suis franchement impressionné par cet événement que je ne connaissais que très peu.
Étant amateur de musique classique plutôt que de musique pop, j’essaie de ne pas jouer au critique musical. Ce qui ne m’empêche pas d’avoir mes coups de cœur (moins nombreux cette année que l’an dernier).
Mes brefs comptes-rendus sont donc essentiellement des reportages photographiques.
Pour des appréciations plus crédibles — autant sur la programmation payante en salle que gratuite à l’extérieur — il y a notamment La Presse.