Deux orchidées du jour

Publié le 2 mars 2016 | Temps de lecture : 1 minute
Rhyncholaelia glauca
Phragmipedium ‘Eric Young’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
2e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 320 — 95 mm


Pour consulter les textes de ce blogue consacrés aux fleurs, veuillez cliquer sur ceci

Un commentaire

| Botanique, Fleurs, Nature | Mots-clés : , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Le Laparus doris

Publié le 2 mars 2016 | Temps de lecture : 3 minutes
Face dorsale du papillon
De face

Appelé également Héliconius doris, le Laparus doris habite la lisière des forêts, de l’Amérique centrale au bassin amazonien.

L’envergure de ses ailes est de 7 à 8 cm.

Comme tous les papillons de la sous-famille des héliconius, ses ailes antérieures sont allongées.

Elles sont noires, décorées de deux séries parallèles de taches blanches. Celles-ci sont identiques sur la face dorsale et ventrale des ailes.

Le bord externe des ailes postérieures est décoré d’une série de points blancs.

De dessus
De côté

En plus de la forme des taches blanches, une autre caractéristique du Laparus doris, c’est cette zone colorée qui irradie vers le bord externe des ailes postérieures. Moins marquée sur la face ventrale des ailes, cette zone y suit les veines de l’aile.

Cette zone peut être rouge vif (comme ci-dessus), orangée, vert d’eau, bleu poudre, ou tellement foncée qu’elle est à peine visible.

Spécimen de couleur bleu poudre, vu de dos
Spécimen de couleur bleu poudre, vu de biais
Spécimen de couleur bleu poudre, vu de côté

Une même ponte peut donner naissance à des papillons de couleurs différentes. Un peu comme des parents peuvent donner naissance à des enfants dont les yeux sont de couleurs différentes. Sauf qu’ici, ce n’est pas l’effet de gènes récessifs, comme c’est le cas chez les humains.

Spécimen de couleur vert d’eau
Spécimen de couleur orange

Parce qu’il ne se nourrit pas seulement de nectar, mais également de pollen, ce papillon peut vivre beaucoup plus longtemps que la moyenne des papillons, soit jusqu’à neuf mois.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (2e et 4e photos), M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 (5e, 6e, 7e et 8e photos) et M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14 (1re 3e et 9e photos)
1re photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 400 — 210 mm
2e  photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 1600 — 60 mm
3e  photo : 1/320 sec. — F/7,1 — ISO 2500 — 210 mm
4e  photo : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 800 — 60 mm
5e  photo : 1/200 sec. — F/5,6 — ISO 500 — 75 mm
6e  photo : 1/320 sec. — F/6,3 — ISO 250 — 150 mm
7e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 150 mm
8e  photo : 1/500 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 150 mm
9e  photo : 1/320 sec. — F/4,0 — ISO 400 — 210 mm


Pour consulter les textes de ce blogue consacrés aux papillons, veuillez cliquer sur ceci

2 commentaires

| Entomologie, Nature | Mots-clés : , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel