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Depuis le 18 février et jusqu’au 5 mars 2016 se tient la 17e édition du festival Montréal en lumière. Il s’agit du plus important festival d’hiver de la métropole.
L’évènement le plus populaire est sa Nuit blanche.
Hier soir, jusqu’à trois heures du matin, les principaux musées de la ville étaient ouverts gratuitement. Plus de 200 activités — concerts, danse, expositions, jeux — se déroulaient dans divers endroits reliés par des circuits que reliaient gratuitement des autobus. Bref, une joie festive s’est emparée de la ville.
Sur la photo ci-dessus, on peut voir en bas à droite une glissade en traineau. À gauche, des comptoirs alimentaires. En haut, à droite, la plus petite des deux scènes extérieures (l’autre est sur la Place des Festivals). Et en haut à droite, la Grande roue dite de Chine puisque cette année, la ville chinoise de Shenzhen est à l’honneur.
À peine visible sur la photo, un festivalier survole la foule à vive allure en tyrolienne.
Dôme Hello Kongzi
Dans ce pavillon, les visiteurs sont invités à créer un spectacle d’ombres chinoises.
Le Monde Hello Kongzi
Sur des marches menant à la Place des Festivals, des dizaines de Kongzi (mascottes de la ville de Shenzhen) forment une installation.
Braséro
À plusieurs endroits sur le site du festival, des visiteurs font griller de la guimauve ou des saucisses enrobées de pâte frite au-dessus de braséros. D’autres festivaliers s’y réchauffent les mains.
Tire d’érable
Une fois durcie sur de la neige, on fait adhérer la tire sur un bâtonnet qu’on fait pivoter sur lui-même pour l’enrouler de cette friandise.
Surf hivernal
Sculpture sur glace
Totem de glace
Quelques divertissements.
Espace dédié au dessein
J’ai profité de la soirée pour jeter un coup d’œil dans différents musées. Le premier fut le musée d’Art contemporain (MAC). Au rez-de-chaussée, des crayons de cire et des pinceaux sont à la disposition des enfants.
Installation vidéo de Ragnar Kjartansson
À l’étage, plusieurs salles sont consacrées à une exposition temporaire de l’artiste islandais Ragnar Kjartansson.
L’œil et l’esprit
L’artiste québécoise Geneviève Cadieux a choisi quelques pièces de la collection permanente du musée pour en créer un aperçu.
Acquisitions récentes du MAC
File d’attente au musée Redpath
Le musée Redpath est un musée d’histoire naturelle inconnu de la grande majorité des Montréalais. J’ai voulu m’y rendre hier soir non seulement parce qu’il était gratuit mais surtout parce j’étais curieux de voir ce qu’avaient l’air ses squelettes sous un éclairage nocturne.
J’ai renoncé à cette idée devant la soudaine popularité du musée devant lequel une file d’attente s’étirait sur 0,2 km.
Je me suis donc dirigé vers le musée McCord, situé tout près.
Buée à l’entrée du musée McCord
À demeurer trop longtemps au froid, qu’arrive-t-il au matériel photographique dès qu’on pénètre dans un lieu chaud et humide ? Il se couvre de buée.
Pour les professionnels, la photo ci-dessus est ratée. Moi j’aime bien.
Chemise brodée nêhithawak ou métisse (1875-1900)
Au rez-de-chaussée, le musée présente l’exposition Porter son identité — La collection Premiers peuples., créée à partir d’items de sa collection permanente.
En plus, le musée présente plusieurs expositions temporaires qui se déroulent concurremment.
Montréal dans l’œil de Vittorio
Vittorio Fiorucci est un des trois plus importants graphistes de l’histoire du Québec. Le musée lui consacre présentement une rétrospective majeure.
Le Cirque de monsieur Lapin
Le Cirque de monsieur Lapin est une exposition temporaire de jouets.
Montréal – Points de vue
À partir de sa collection permanente, le musée présente Montréal – Points de vue. On y présente des objets tirés du quotidien des Montréalais depuis la fondation de la ville.
Ici naquit Montréal
Dernier lieu visité, le musée d’archéologie et d’histoire de Montréal dont la collection permanente était accessible gratuitement lors de cette Nuit blanche.
Voilà donc quelques-unes des activités qui étaient au programme de cette Nuit blanche. Une partie d’entre elles se poursuivent encore jusqu’à la fin de Montréal en lumière, le 5 mars 2016.
Pour terminer, voici une courte vidéo qui done une idée de l’atmosphère qui régnait au cours de la Nuit blanche.
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Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, hypergone M.Zuiko 8 mm F/1,8 (9e, 10e, 11e et 12e photos), objectifs PanLeica 25 mm F/1,4 (2e, 4e, 5e, 8e et 15e photos), M.Zuiko 7-14 mm F/2,8 (1re, 16e, 17e, 18e et 19e photos) et M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 14 mm
2e photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 500 — 25 mm
3e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 16 mm
4e photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 2000 — 25 mm
5e photo : 1/100 sec. — F/1,4 — ISO 200 — 25 mm
6e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 13 mm
7e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 19 mm
8e photo : 1/60 sec. — F/1,4 — ISO 320 — 25 mm
9e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
10e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 2500 — 8 mm
11e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
12e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 8 mm
13e photo : 1/40 sec. — F/2,8 — ISO 6400 — 12 mm
14e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 16 mm
15e photo : 1/80 sec. — F/1,4 — ISO 1250 — 25 mm
16e photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 5000 — 7 mm
17e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 3200 — 12 mm
18e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 4000 — 7 mm
19e photo : 1/60 sec. — F/2,8 — ISO 800 — 7 mm