Deuxième voyage à Paris : jour 1

Le 2 octobre 2015
Mon avion, à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle

C’est vers 9h40 que l’avion d’Air Transat a atterri ce matin à Paris. La journée est ensoleillée et le maximum prévu sera de 19 degrés Celsius.

Moins de 45 minutes après l’atterrissage, j’aurai passé les douanes et pris possession de mes deux bagages en provenance de la soute de l’appareil.

Précisons que lorsqu’on paie le supplément Option Plus, les bagagistes traitent de nos objets en priorité. Les miens furent parmi les cinq premiers à apparaitre sur le tapis roulant.

Avant de prendre le Réseau express régional — le réseau ferré de transport en commun qui, entre autres, relie Paris à l’aéroport Roissy en 35 minutes — j’achète au cout de 70 euros (environ 90$), une passe qui me permettra d’utiliser à ma guise tout le transport en commun qui dessert la région parisienne (jusqu’à Versailles) pendant tout le mois d’octobre.

J’arrive donc à mon hôtel vers 12h30.

Aiguillettes de canard à la Royale

Après avoir défait mes bagages, je vais aux Ducs de Gascogne, sur la rue Saint-Antoine, m’acheter trente pots d’une préparation gastronomique composée de 45% de magret de canard et de 44% de foie gras de canard. C’est ce que je me propose de tartiner sur mon pain au petit déjeuner à la place de la confiture.

Le magret enrichira l’apport protéiné de ce repas, tandis que le foie gras m’apportera toutes les vitamines A, D et B dont j’ai besoin.

Intérieur de l’église Saint-Paul-Saint-Louis

À deux pas, je vais à l’église Saint-Paul-Saint-Louis pour refaire quelques photos (n’étant pas entièrement satisfait de certaines que j’y ai prises l’an dernier).

Vers 14h30, je prends tardivement mon repas du midi : une bavette de bœuf pour 8 euros. La viande saignante est plutôt coriace, mais l’assiette est bien garnie de patates en cubes, de riz, et de salade.

Une dame dans le métro

Puis je vais au Bazar de l’Hôtel de Ville m’acheter un coussin chauffant. C’est le premier que de mes coussins électriques fonctionnant sur le 220 volts.

En passant dans les allées, je vois des pruneaux d’Agen fourrés à la crème de pruneaux. L’émission Des racines et des ailes (sur TV5) a consacré récemment à ces fruits un reportage avantageux dans le cadre d’une émission dédiée à la Garonne. J’achète donc un format de 250g de cette spécialité culinaire, heureux de pouvoir en faire l’essai.

Finalement, je rentre à l’hôtel faire la sieste, écrire le texte que vous lisez et me coucher pour la nuit.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, hypergone M.Zuiko 8 mm F/1,8 (la 3e photo) et objectif M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/800 sec. — F/8,0 — ISO 200 — 12 mm
2e photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
3e photo : 1/80 sec. — F/1,8 — ISO 320 — 8 mm
4e photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm


Pour lire les comptes-rendus du premier ou du deuxième voyage à Paris, veuillez cliquer sur l’hyperlien approprié.

Avez-vous aimé ce texte ?

Prière de choisir un nombre d’étoiles.

Moyenne : 0 / 5. Nombre de votes : 0

Soyez la première personne à voter.

4 commentaires à Deuxième voyage à Paris : jour 1

  1. Pierre Pinsonnault dit :

    Ouin … bon, ben, sapristi M. Martel, qu’on aimerait ça être à votre place et si bien organisé pour un voyage d’agrément. Vous le méritez bien ce voyage il va sans dire après tout ce que vous nous avez appris et montré. Alors bon appétit et heureux séjour en France !

  2. sandy39 dit :

    J’avais, justement, écrit ceci avant de lire Pierre…

    VOL DE NUIT…

    Allez, pour une nouvelle série de photos et de compte-rendu, je vous suis encore.

    J’ai eu un pressentiment ces deux derniers jours, sans nouvelles, en me disant : “C’est Samedi matin que tu auras le 1er jour…” car il y a longtemps que j’avais deviné que ce serait PARIS, une nouvelle fois… et, qu’il y a longtemps, aussi, que j’ai senti l’intérêt que vous portez à la France -pas à Moi, voyons !-, surtout à Paris, même à travers les phrases de Pierre… enfin, quand il prend le temps de passer et s’arrêter sur les ondes.

    70 euros : une passe ! Non, mais Nous on dit un pass pour les transports ! A condition de bien consulter les horaires… pour ne pas avoir à coucher sous les ponts, sans pyjama ni brosse à dents !

    Déjà les Ducs de Gascogne avec trente pots : ça va faire lourd, au retour… à moins que vous ayez prévu trente petits déjeuners…

    Non, on ne parle pas boulot, pendant ce séjour même si on fait le plein de vitamines. Et, si on parle Aquitaine, je vous fais la parenthèse : j’ai vu, cette semaine, à certaines infos, l’ouverture d’un Bar-Restaurant, à Bordeaux -un exemple de Réinsertion…- par le Chanteur Bertrand C… qui doit ouvrir Mardi… Enfin, je ne sais pas s’il y aura un jour, pour Certains, la Chance de croiser le Chemin du Patron afin de lui serrer la main et, saluer avec Lui, l’Horizon…

    C’est un beau programme, tout ça… je sens qu’on va bien rigoler…

    La Dame, sur le banc, on peut la mettre, avec son chapeau, au côté de Depardieu… je ne sais plus dans quel film !

    Enfin, ça promet…

    • Déjà les Ducs de Gascogne avec trente pots : ça va faire lourd, au retour… à moins que vous ayez prévu trente petits déjeuners…

      Effectivement,je passerai trente-deux nuits à Paris. Donc un pot par jour.

Répondre à Jean-Pierre Martel Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

>