CompůtAřt No 1

Le 3 janvier 2015
Concorde
Fenêtres
Bandes No 5

Cette semaine, j’ai classé les photos que j’ai prises à Paris l’automne dernier. Cette tâche terminée, j’ai eu l’idée d’aller voir les photos que j’ai prises dans cette ville en 2003 et 2004, afin compléter les diaporamas que je compte réaliser au cours des mois qui viennent.

Il faut savoir qu’il me reste peu de mes originaux de l’époque; la partition du disque dur où mes photos étaient entreposées a été corrompue. J’avais conservé de rares photos partiellement endommagées dans l’espoir qu’un jour je découvre un logiciel capable de les restaurer (ce qui n’est jamais arrivé).

En passant en revue les quelques photos qui me restent (dont celles corrompues), j’ai donc définitivement détruit une bonne partie des photos devenues inutiles jusqu’au moment où j’ai réalisé qu’elles avaient leur propre esthétique.

Ces fichiers corrompus ne peuvent plus être lus par Photoshop, Lightroom, Adobe Bridge, ni DxO Optics Pro. Mais ils sont encore lus par Corel AfterShot Pro.

Avant qu’il ne soit trop tard, j’ai donc décidé de montrer quelques « réalisations accidentelles » de mon ancien PC sous Windows. Comme quoi ces machines ne sont peut-être pas aussi stupides qu’on pense…

Détails techniques : Canon Powershot G6
1re photo : 1/160 sec. — F/3,5 — ISO 100 — 10,3 mm
2e  photo : 1/320 sec. — F/2,8 — ISO 100 — 7,2 mm
3e  photo : 1/30 sec. — F/2,8 — ISO 100 — 7,2 mm

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3 commentaires à CompůtAřt No 1

  1. Pierre Pinsonnault dit :

    Je ne suis pas certain de bien comprendre. Les trois photos de votre envoi sont corrompus en partie, n’est-ce pas?

    • C’est exact; ces trois photos sont corrompues partiellement.

      Pour chacune de ces trois photos, le fichier possède la même taille que le fichier d’origine. Toutefois, une partie de l’information qu’il renferme n’a pas de rapport avec l’image captée par l’appareil photo; ce greffon étranger ne veut donc rien dire pour le logiciel qui interprète ces données.

      Alors un logiciel comme Photoshop rejette la photo en bloc et affiche le message d’erreur suivant : « Impossible d’effectuer cette opération car le module de format de fichier ne peut interpréter le fichier.»

      En dépit du fait que les parties corrompues ne font ni queue ni tête, Corel AftersShot Pro prend l’initiative d’ignorer ce qu’il ne comprend pas et d’afficher ce qu’il peut.

      Dans chacun des cas publiés ici, la corruption du fichier a l’aisé intact suffisamment de l’image originelle pour qu’on puisse distinguer des formes : l’obélisque de la Place de la Concorde, des fenêtres de l’Hôtel-Dieu et les puits de lumière d’une salle du Musée du Louvre.

      Demain, le texte CompůtAřt No 2 montrera les trois dernières images que j’ai récupérées. Celles-ci sont tellement corrompues qu’elles n’ont plus rien de reconnaissable. Conséquemment, ce sont des réalisations purement abstraites de mon ordinateur (alors que celles ci-dessus sont plutôt de style « Post-Moderne »).

  2. sandy39 dit :

    UN JAUNE QUI M’ETONNE…

    Beaucoup de jaune pour des machines pas forcément stupides ! Mais Moi, je trouve qu’il n’y a rien d’extraordinaire…

    De toutes façons, on sait, depuis cet automne, que la Tour Eiffel n’est pas d’aplomb… alors, à quoi bon, toujours, vouloir, tout conserver ?

    Enfin, ne comptez pas sur Moi, pour vous dire la conduite à tenir… avec vos fichiers !

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