Aperçu des FrancoFolies du 18 juin 2014, entre boulot et dodo

19 juin 2014
Pierre Lapointe
Antoine Corriveau
Lost Bayou Ramblers

Ce soir je travaille jusqu’à 21h : cela me laisse une heure pour visiter les FrancoFolies.

À mon arrivée, le spectacle ludique de Pierre Lapointe entame sa deuxième moitié. Je tourne autour de la foule immense dans le but de trouver un endroit pas trop éloigné pour prendre l’auteur-compositeur en photo.

À 22h, je me rends à la scène SiriusXM pour entendre Antoine Corriveau présenter son nouvel album Les Ombres longues alors qu’un peu plus loin, sur la scène Loto-Québec, le groupe Lost Bayou Ramblers s’avère être un excellent ensemble cajun.

À 22h30, je rentre à la maison.

En dépit du fait que les FrancoFolies nous réservent encore d’excellents spectacles d’ici samedi prochain, c’est aujourd’hui ma dernière visite puisque dès demain soir je serai au Festival de musique Montréal Baroque (dont la programmation chevauche celle de la fin des FrancoFolies).

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/200 sec. — F/5,6 — ISO 6400 — 150 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 6400 — 150 mm
3e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 640 — 40 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

Un commentaire

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal : le 17 juin 2014

18 juin 2014
Gazoline, en 2013
Yasmine Hamdan
Hugo Lapointe
Buridane
Serge Fortin et Diane Tell
Barcella
Jérôme Couture
Cargo Culte
Éric Lapointe
Les Hôtesses d’Hilaire
Les Tireux d’roches

Je suis arrivé sur le site du festival en retard en raison principalement d’une petite sieste (qui a grandi dans mon sommeil) et accessoirement, d’une panne dans le métro de Montréal (il y en plus de mille par année).

Le résultat est que j’ai manqué le spectacle de Gazoline et de Mordicus au Pub Richard’s. Je le regrette puisque j’avais apprécié l’aplomb de Gazoline et l’excellent spectacle que ce très jeune trio avait donné l’an dernier aux FrancoFolies. La première photo ci-dessus est donc reprise de mon compte-rendu de 2013.

Aujourd’hui, à 18h, la scène Hydro-Québec présente le répertoire langoureux (et en langue arable) de la Libanaise Yasmine Hamdan. Au cours de sa prestation, celle-ci utilise successivement deux micros, dont l’un plus préverbé afin de donner du volume aux refrains de certaines de ses chansons.

À 19h, la grande scène Bell accueillait Hugo Lapointe (qu’il ne faut pas confondre avec Éric Lapointe). Hugo est un chanteur de charme que j’ai déjà entendu à de nombreuses reprises sans l’avoir jamais rencontré. L’assistance était principalement composé de nombreux couples, inspirés par ses chansons d’amour. Portant un jean et une chemise noire rayée ton sur ton, Hugo Lapointe fut, de loin, le mieux habillé de la soirée.

Au même moment, au Pub Richard’s, la musicienne française Buridane chantait les aléas de la vie de couple pendant que sur la scène SiriusXM, Serge Fortin faisait équipe avec Diane Tell — tous deux originaires de l’Abitibi-Témiscamingue — pour présenter ses compositions folk-rock et pop.

À 20h, sur la scène Loto-Québec, Barcella — récipiendaire du Grand prix Révélation scène de l’Académie Charles-Cros — offrait un spectacle ludique et original, alors qu’au même moment, le ténor Jérôme Couture présentait son pop-rock accrocheur.

À 21h, encore une offre double : le groupe hip-hop Cargo Culte se présentait sur la scène La Presse+ tandis que le rocker Éric Lapointe réunissait devant la scène Bell, la foule la plus importante et la plus compacte que j’ai vue cette année.

Et à 22h, sur la scène SiriusXM, le groupe Les Hôtesses d’Hilaire — originaire du Nouveau-Brunswick — jouait un rock et un blues percutants, alors que les festivaliers réunis devant la scène Loto-Québec étaient gratifiés de la musique néo-trad méliodieuse et entrainante du groupe Les Tireux d’roches.

J’ai quitté les lieux sous la pluie battante à 22h30.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
  1re photo : 1/125 sec. — F/4,6 — ISO 2500 — 70 mm
  2e  photo : 1/160 sec. — F/4,6 — ISO 400 — 70 mm
  3e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 2500 — 150 mm
  4e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 2000 — 40 mm
  5e  photo : 1/160 sec. — F/4,6 — ISO 640 — 66 mm
  6e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 45 mm
  7e  photo : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 1250 — 150 mm
  8e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 1250 — 49 mm
  9e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 3200 — 150 mm
10e  photo : 1/200 sec. — F/5,1 — ISO 4000 — 108 mm
11e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 320 — 45 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

Un commentaire

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , , , , , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal : le 16 juin 2014

17 juin 2014
Barcella & Buridane
Doody & Kami
Gaël Faure
Marième
Benjamin Schoos
King Melrose
Éléphant
Karim Ouellet
Boby One & F.A.R.F.
On a créé un monstre
La Maison Tellier

Je devais travailler de 17 à 21h. Mais un imbroglio a fait en sorte qu’on s’est retrouvé un employé en trop : j’ai offert de prendre congé, tout heureux de me précipiter aux FrancoFolies pour une deuxième journée de suite.

À mon arrivée, le quatuor français Barcella & Buridane terminait son spectacle de trente minutes par une prestation aussi extravagante que virtuose.

À 18h, les Montréalais d’origine haïtienne Doody & Kami présentait un répertoire de chansons mélodieuses et dansantes, similaire à celles de la Compagnie Créole. Ici le duo était supporté par sept musiciens et de nombreux danseurs.

Trois spectacles attendaient les festivaliers à 19h. Sur la scène SiriusXM, le Français Gaël Faure présentait des ballades. Marième chantait l’amour sur la scène de la Scène Bell. Finalement, au Pub Richard’s, le belge Benjamin Schoos animait les lieux avec une musique pop très New Wave.

À 20h, un public varié (mais surtout composé de jeunes adolescentes aux premières loges) se pressait pour entendre la pop jazzée et funky du Joliettain King Melrose sur la scène Ford, alors que le duo français Éléphant (assisté de deux musiciens) présentait une pop légère et estivale sur la scène Loto-Québec.

La vedette de la soirée était le Québécois Karim Ouellet. Je suis toujours épaté par l’assurance tranquille de ce jeune auteur-compositeur hyper talentueux (qui fête ses trente ans cette année mais qui en paraît vingt).

Pendant qu’il se produisait devant des dizaines de milliers de festivaliers sur la scène Bell, Boby One & F.A.R.F. présentaient un spectacle hip-hop sur la scène La Presse+.

À 22h, le groupe sorelois On a créé un monstre (quel nom !) présentait son répertoire de pop-rock indie sur la scène SiriusXM tandis que les excellents musiciens français de La Maison Tellier se produisait sur la scène Loto-Québec.

J’ai quitté les lieux vers 22h30.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
  1re photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 1250 — 40 mm
  2e  photo : 1/160 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 40 mm
  3e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 1000 — 150 mm
  4e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 800 — 150 mm
  5e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 1600 — 53 mm
  6e  photo : 1/200 sec. — F/5,0 — ISO 500 — 102 mm
  7e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 640 — 40 mm
  8e  photo : 1/250 sec. — F/5,5 — ISO 1250 — 138 mm
  9e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 2000 — 45 mm
10e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 2000 — 40 mm
11e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 45 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

Un commentaire

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , , , , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


FrancoFolies de Montréal : le 15 juin 2014

16 juin 2014
Joseph Edgar
Maya Kamaty
Valérie Dumas (ma Première Place des Arts)
Julien Gagné (ma Première Place des Arts)
Antoine Ménard (ma Première Place des Arts)
Les Innocents
Maison Brume
Hôtel Morphée
Shawn Jobin
Marco Calliari
Les Marinellis
Ludovic Alarie

Pour la première fois cette année, je me suis rendu hier soir aux FrancoFolies.

Les spectacles gratuits sont présentés alternativement sur six scènes plutôt que les huit habituelles. En éliminant notamment celle sur l’Estrade de la Place des Arts, on passe maintenant d’une scène à l’autre sans avoir à monter ou descendre d’escaliers, ce qui favorise la circulation pour les jeunes mamans qui, nombreuses en cette fin d’après-midi, amenaient leurs enfants en poussette sur le site du festival.

En plus du dépliant qui résume la programmation, les festivaliers ont à leur disposition un guide gratuit de 120 pages — un modèle du genre — où est présenté de manière claire et concise tout ce qu’on doit savoir au sujet de ce festival, le plus important au monde consacré à la musique francophone.

La journée débutait à 17h au Pub Richard’s avec Joseph Edgar. Cet acadien d’origine et montréalais d’adoption y présentait son répertoire folk-rock. Le batteur qui l’accompagnait est le premier que je vois, capable de jouer de la basse électrique d’une main et de la batterie de l’autre.

À 18h, on présentait la chanteuse Maya Kamaty (de l’Île de la Réunion) sur la scène Hydro-Québec. Celle-ci présentait des chansons de style éclectique, inspirées de la musique du monde.

À 19h, les festivaliers avaient le choix entre le Spectacle de la relève Franco-ontarienne (animé par Patrick Groulx), celui des trois gagnants du concours Ma première Place des Arts sur la scène SiriusXM et celui du duo français Les Innocents au Pub Richard’s.

À 20h, le groupe français Maison Brume présentait un répertoire délicat composé de folk-indie. Pendant ce temps, Hôtel Morphée occupait la scène Ford avec un spectacle pop agréable.

Accompagné du guitariste et claviériste Mario Lepage, le rappeur Shawn Jobin est une véritable bête de scène. Né au Québec mais expatrié au Saskatchewan, ce dernier m’a réconcilié avec le rap à 21h, sur la scène La Presse+.

Pendant ce temps, devant des dizaines de milliers de festivaliers enthousiastes, Marco Calliari présentait un extrait de son répertoire italiano-québécois avec toute la fougue qu’on lui connaît.

Tout aussi énergique, mais un peu trop dissipé à mon goût, le groupe punk Les Marinellis a plu à un jeune public sur la scène Loto-Québec (à 22h), pendant que la scène SiriusXM présentait les ballades de Ludovic Alarie.

J’ai quitté le site à 22h30. Bref, journée variée et très plaisante.

Mes préférences : Shawn Jobin (or), Hôtel Morphée et Marco Calliari (ex æquo en deuxième place) et Antoine Ménard (bronze).

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
  1re photo : 1/250 sec. — F/5,5 — ISO 2500 — 138 mm
  2e  photo : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 200 — 49 mm
  3e  photo : 1/250 sec. — F/5,3 — ISO 320 — 116 mm
  4e  photo : 1/160 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm
  5e  photo : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 250 — 150 mm
  6e  photo : 1/160 sec. — F/4,6 — ISO 2500 — 70 mm
  7e  photo : 1/125 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm
  8e  photo : 1/320 sec. — F/5,5 — ISO 1250 — 135 mm
  9e  photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 1250 — 62 mm
10e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 150 mm
11e  photo : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 40 mm
12e  photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 1000 — 40 mm


Cliquez sur 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2014, 2013, 2012, 2011, pour consulter les reportages photographiques de l’édition des FrancoFolies de cette année-là.

Un commentaire

| Culture, FrancoFolies, Musique | Mots-clés : , , , , , , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


La Havane-II : le nord-ouest du quartier de Centro

15 juin 2014

 
Le diaporama ci-dessus présente 82 photos prises dans le nord-ouest du quartier de Centro, plus précisément dans un territoire limité au nord par le Malecón, à l’est par l’avenue Belascoain, au sud par la rue commerciale Neptuno, et à l’ouest par la Calzada de Infanta (la Chaussée de la Princesse).

Ces photos ne sont pas ici présentées selon la séquence d’un circuit à emprunter mais plutôt sans ordre apparent.

À 0:05, on y voit d’abord le monument élevé en l’honneur du général Antonio Maceo, héros de la première guerre d’indépendance de Cuba.

Puis on aperçoit l’hôpital Hermanos Ameijeiras (de 0:07 à 0:14). À l’origine, celui-ci devait être le siège de la Banque de Cuba. Inachevé au moment de la Révolution, l’édifice fut plutôt transformé en hôpital, sur ordre de Fidel Castro.

Spectaculairement belle, la salle principale du rez-de-chaussée (qu’il est interdit de photographier) baigne dans une semi-pénombre apaisante en raison de l’éclairage indirect provenant du mur du fond (à 0:12, vu de l’extérieur). En béton, d’un mètre d’épaisseur, celui-ci est percé de centaines de grandes ouvertures rectangulaires par lesquelles — chose inouïe — l’air extérieur entre librement. Aucun grillage, pas même un moustiquaire, ne fait obstacle à la circulation de l’air.

De 0:23 à 0:40, voici la modeste Chapelle de l’Immaculée-Conception et son presbytère.

Dans cette partie de la ville, le seul véritable attrait touristique est le Callejón de Hamel (de 1:37 à 2:12). Il s’agit d’un sanctuaire afro-cubain à ciel ouvert dont l’histoire remonte aux années 1970.

À cette époque, l’entrepreneur Fernando Hamel réussit à convaincre les habitants d’une ruelle de laisser l’artiste Salvador Gonzáles peindre les murs des édifices tout autour. En raison d’une averse récente, les lieux étaient déserts au moment de ma visite.

De 2:25 à 2:30, nous voyons le musée Fragua Martiana (ou des Forges Martiennes), construit sur une ancienne carrière dans laquelle le poète national cubain, José Martí, avait été condamné aux travaux forcés.

Le diaporama se termine par un aperçu de l’église Notre-Dame du Carmen (à 2:49) visitée en détail l’an dernier.


Voir aussi :
Liste des diaporamas du premier voyage à La Havane
Liste des diaporamas du second voyage à La Havane

Laissez un commentaire »

| Photos de Cuba, Photos de La Havane, Photos de voyage, Vidéos | Mots-clés : , , , , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Le « Vaisseau fantôme » à l’Opéra de Lyon

13 juin 2014

Vaisseau fantôme
 
Du 11 au 26 octobre 2014, l’Opéra de Lyon présente « Le Vaisseau fantôme » de Wagner. Si vous avez la possibilité d’assister à ce spectacle, je vous invite ardemment à y allez. Même si vous détestez Wagner.

La mise en scène de ce spectacle sera assurée par Àlex Ollé, un des six directeurs artistiques de la La Furia dels Baus.

Pour vous donner une idée, le collectif catalan La Furia dels Baus est à la mise en scène d’opéra, ce que Le Cirque du Soleil est à l’acrobatie.

Leurs excès émerveillent et font pardonner leur point faible; les voix des chanteurs qui participent à leurs productions.

En sortant de l’Opéra de Lyon, si vous flottez dans vos souvenirs de ce spectacle, c’est que La Furia dels Baus aura réussi son pari.

Pour savoir ce que « Le Vaisseau fantôme » sonne quand il est bien chanté, cliquez sur ceci et écoutez-ça fort…

Un commentaire

| Culture, Musique, Opéra | Mots-clés : , , | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Faits divers No 20

12 juin 2014

En 2012, plus de 25 000 Français ont débarqué au Québec pour étudier ou pour travailler : 13 728 avec un visa de travail temporaire, 7 231 de façon permanente et 4 910 pour étudier. Par ailleurs, environ 310 000 touristes français sont venus au Québec durant cette année.

Référence : Les jeunes Français «kiffent» le Québec


 
Le violon utilisé par le chef d’orchestre du Titanic s’est vendu le 18 octobre dernier pour la somme 1,4 million d’euros lors d’un encan organisé par la société de vente aux enchères Henry Aldridge & Son.

S’agit-il d’un Stradivarius ? Pas du tout. En bois de palissandre, l’instrument avait été fabriqué en usine vers 1880. Il lui avait été offert par sa fiancé : celle-ci l’avait payé 48 euros en 1910 (deux ans avant le naufrage).

Références :
Henry Aldridge & Son
Titanic tale of violin playing as the ship went down – and sold yesterday for £1,185,000
Titanic violin fetches £900,000 record price


 
Selon une étude réalisée par deux universitaires américains, la prise de note à l’aide d’un crayon et du papier et plus efficace qu’à l’aide du clavier d’un ordinateur.

Référence : Prise de note à l’école: le crayon est plus efficace que le clavier


 
En 2012, l’industrie porcine québécoise a exporté des viandes et des abats pour une valeur de 1,4 milliard$. Ceci représente le quart des exportations de produits alimentaires du Québec. Ses principaux clients sont les États-Unis (26 %), la Russie (24 %), le Japon (23 %) et de la Chine (8 %).

Référence : Réhabiliter l’industrie porcine… avec l’aide de l’État


 
Les avoirs des citoyens et les entreprises canadiennes investis dans les paradis fiscaux se chiffrent à 170 milliards$, dont 40% en provenance du secteur de la finance et de l’assurance.

Les paradis fiscaux préférés des Canadiens sont la Barbade (63 milliards$), les îles Caïmans (30,9 milliards$), le Luxembourg (30,2 milliards$), l’Irlande (16 milliards$) et la Suisse (6,9 milliards$).

Référence : 170 milliards $CAN dans les paradis fiscaux


 
Les musées du Québec ont enregistré un achalandage record en 2013 ; 14,2 millions de visiteurs, comparativement à 13,3 millions en 2012 et 12,8 millions en 2010. C’est un sommet en dix ans.

Le Musée des Beaux-Arts de Montréal (MBAM), à lui seul, a dépassé pour la première fois de son histoire, le cap d’un million de visiteurs, une augmentation de 36% par comparaison avec l’an dernier.

Quant aux membres VIP (dont je fais partie), ils sont au nombre de 88 000, soit une augmentation de 143%. De toutes les institutions muséales au Canada, le MBAM est celui qui compte le plus d’abonnés.

Références :
2013, une année remarquable pour les musées québécois
Anonyme. Records historiques avec 88 000 membres VIP et plus d’un million de visiteurs. La revue du Musée des Beaux-Arts de Montréal 2014; 14: 29.


 
Vu de l’espace, l’endroit au monde le plus visible et le plus rarement caché par des nuages est le désert d’Atacama, au Chili. À certains endroits, il y tombe 0,8mm de pluie par année. En raison de la clarté de l’air et de la faible pollution lumineuse, c’est un site exceptionnel pour l’observation astronomique.

Références :
Désert d’Atacama


 
Le Vermont est le premier État américain à obliger l’étiquetage des aliments contenant des OGM. Cette mesure entrera en vigueur le 1er juillet 2016.

Une trentaine d’autres États songeraient à prendre une décision semblable.

Référence : Le Vermont va étiqueter les aliments qui contiennent des OGM


Liste de tous les faits divers (des plus récents aux plus anciens)

4 commentaires

| Faits divers | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Arithmétique et géométrie médiévales

7 juin 2014

 

Cliquez sur l’image pour démarrer

Je remercie monsieur Pierre Pinsonnault de m’avoir fait connaître cette vidéo intéressante que je m’empresse de partager avec vous.

Entre autres, on y apprend le sens originel du verbe multiplier (ou multi-plier)…

4 commentaires

| Architecture, Histoire | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Le papillon Cethosia biblis

4 juin 2014
Face dorsale du papillon
Face ventrale des ailes
En majesté
Vu de biais

Le Cethosia biblis est un papillon très coloré dont l’envergure est d’environ 8 à 9 cm.

Sur leur face dorsale, les ailes se caractérisent par une partie centrale orangée entourée de noir sur les côtés et le bas des ailes. La partie supérieure est décorée de lignes ondulées verticales rappelant le pelage du tigre. La zone foncée du bord des ailes est décorée de chevrons gris, et de quelques taches blanches. La bande noire du bas est surmontée de motifs qui ressemblent à des silhouettes de bustes d’humains.

La face ventrale des ailes porte d’innombrables motifs décoratifs de couleur caramel, blanc, orange, corail et noir. Disposés en rangées verticales, ces motifs font de lui un des papillons les plus flamboyants.

Habitant les forêts subtropicales d’Asie, il se rencontre de l’Inde à la Chine et, plus au sud, de la Malaisie aux Philippines.

Sa chenille se nourrit exclusivement de passiflore, ce qui la rend toxique pour ses prédateurs. Devenu papillon, celui-ci a conservé cette toxicité mais se nourrit alors du nectar de diverses fleurs.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 + multiplicateur de focale MC-14 (2e photo), et M.Zuiko 60 mm Macro F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 250 — 60 mm
2e  photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 320 — 210 mm
3e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 500 — 60 mm
4e  photo : 1/125 sec. — F/7,1 — ISO 1600 — 60 mm

Pour consulter les textes de ce blogue consacrés aux papillons, veuillez cliquer sur ceci

Un commentaire

| Entomologie, Nature | Mots-clés : | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel


Cinq fleurs blanches

1 juin 2014
Tulipes
Magnolia
Spirée van houtte
Lis d’Amazonie
Trilles

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs Lumix 20 mm F/1,7 (la 3e photo), Lumix 14-45 mm (la dernière photo) et M.Zuiko 60 mm F/2,8 (les trois autres photos)
1re photo : 1/1000 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 60 mm
2e photo  : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 60 mm
3e photo  : 1/60 sec. — F/11,0 — ISO 320 — 20 mm
4e photo  : 1/160 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 60 mm
5e photo  : 1/60 sec. — F/3,5 — ISO 1000 — 14 mm

Un commentaire

| Botanique, Fleurs | Permalink
Écrit par Jean-Pierre Martel