Les feux d’artifice du Canada à Montréal, le 14 juillet 2012

15 juillet 2012

 

 
Troisième pays participant à l’édition 2012 de la compétition internationale des feux d’artifice Loto-Québec, le Canada a présenté hier soir des feux d’artifices qui ont obtenu une note de 85%.

Sur une trame musicale un peu fade, l’artificier Sirius Pyrotechnics a présenté un spectacle généreux qui a satisfait à peu près tout le monde.

Grâce à une fausse fin après environ 20 minutes, tout ce qui meubla les dernières cinq à huit minutes est apparu comme un bonus non-sollicité, au grand ravissement du public.

Détails techniques de la vidéo : Appareil photo Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 20mm.


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Vienne — Schönbrunn

13 juillet 2012

 
Le château de Schönbrunn tire son nom d’une fontaine qui coule à cet endroit. En allemand, schöner Brunnen signifie Belle fontaine.

Ce château est un palais d’été que l’empereur Léopold 1er a commandé en 1696 au meilleur architecte autrichien de l’époque, Johann-Bernhard Fischer von Erlach. En 1705, les jardins à la française sont aménagés par Jean Trehet, un élève de Le Nôtre : ils seront remaniés en 1772 par Adrian van Steckhoven.

Peu de temps après l’achèvement du palais en 1730, il est remanié et agrandi de 1740 à 1749 par Nicolò Pacassi à la demande de l’impératrice Marie-Thérèse.

S’ajouteront un zoo en 1752 — c’est le plus ancien zoo au monde encore en activité — une gloriette en 1775 et une serre tropicale en 1882 (la plus grande d’Europe). Au total, le parc du palais fait 120 hectares.

C’est dans ce palais que Napoléon Bonaparte vécut avec son épouse — l’archiduchesse Marie-Louise d’Autriche, fille de l’empereur — à deux reprises (en 1805 après la victoire d’Austerlitz, et en 1809 après Wagram). C’est également ici qu’est décédé de tuberculose, à l’âge de 21 ans, leur fils unique (surnommé l’Aiglon par les auteurs romantiques) en 1832.

D’abord utilisé en été, le palais devint ensuite résidence impériale. C’est ici que le dernier empereur d’Autriche, Charles Ier, abdiqua en 1918.

Le palais proprement dit est ouvert au public mais il est interdit d’en photographier l’intérieur. Le tarif ordinaire permet de visiter une quarantaine de salles qui sont toutes (ou presque toutes) de style néo-rococo. Le tarif plus cher donne accès à quelques pièces de plus : celle-ci sont magnifiques et valent amplement les deux euros supplémentaires qu’il faut débourser pour les visiter.

À l’origine, ce palais était situé en pleine campagne : toutefois, le développement urbain de la capitale autrichienne l’a rattrapé depuis. De nos jours, on y accède par le métro.

La vidéo débute donc par l’arrivée en métro. À 0:18, nous voici à l’entrée de la cour d’honneur. Les deux obélisques y sont coiffés non pas d’aigles à deux têtes (qui symbolisent l’empire austro-hongrois) mais d’aigles napoléoniennes que Bonaparte fit ajouter lors de ses deux séjours à Vienne.

À 0:26, il s’agit des jardins à droite du palais. Puis, à partir de 0:36, des grands jardins à la française, situés à l’arrière du palais.

De 1:15 à 2:07, nous visitons la serre tropicale du palais. Celle-ci renferme 4 000 plantes exotiques rapportées des quatre coins du monde par les botanistes de l’empereur. Les collections se répartissent en trois sections qui se distinguent par leur chaleur et leur degré d’humidité. Il est à noter que les photos en noir et blanc sur lesquels la nature semble givrée, sont en réalité des photos infrarouges.

À 1:22, cette fleur étrange est la passiflore Kaiserin Eugénie, nommée en l’honneur d’Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach (mieux connue sous le surnom d’impératrice Sissi).

De 2:08 à 2:27, voici l’ancienne Maison du cadran solaire (Sonneruhr Haus), devenue la Maison du désert.

Au fond des jardins à la française, au pied de la colline qui mène à la gloriette qui la couronne, nous rencontrons la Fontaine de Neptune (à 2:38), que Franz-Anton Zauner réalisa en 1780. Les sculptures en marbre blanc sont de Wilhelm Beyer.

De 2:52 à 3:05, voilà cette gloriette. Il s’agit d’une arcade néoclassique, dessinée par Ferdinand von Hobenberg en 1775, qui héberge un casse-croute derrière ses grandes fenêtres et offre, sur le toit, une vue panoramique de l’arrière du château. Elle célèbre la victoire en 1757 de l’Autriche de l’impératrice Marie-Thérèse sur la Prusse du roi Frédéric II (dont le Palais de Sanssouci était interdit aux femmes et aux militaires).

À 3:14 à 3:31, c’est la Cascade de l’obélisque, puis (de 3:33 à 3:39) les fausses ruines romaines aménagées à proximité. De 3:42 à 4:04, ce sont les Jardins du Prince héritier, à la gauche du palais.

Puis nous visitons sommairement le quartier qui entoure le palais, de 4:06 à 4:17.

De 4:18 à 4:46, nous voyons des images d’un spectacle donné dans la Grande galerie du palais — longue de 43 mètres — précédé d’un repas créé à partir des mets préférés de l’empereur François-Joseph 1er (l’époux de l’impératrice Sissi) qui a régné sur l’empire austro-hongrois durant toute la seconde moitié du XIXe siècle.


Voir aussi : Liste des diaporamas de Vienne

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Des lunettes de soleil photographiques

11 juillet 2012


 
Regrettez-vous de ne pas avoir de souvenirs tangibles (photos, vidéos) du dernier concert d’un chanteur, aujourd’hui décédé ?

S’il est possible de photographier librement lors de spectacles extérieurs, la chose est plus difficile dans les stades ou les salles de spectacles, où souvent les gros appareils reflex sont interdits. C’est pourquoi un grand nombre de spectateurs utilisent leurs téléphones multifonctionnels à cette fin.

Récemment, une compagnie américaine a mis en marché des lunettes pouvant servir également de camera à haute définition et d’appareil photo à 8 mégapixels grâce à une lentille située sur le pont de la monture. Dotée d’une mémoire de huit gigaoctets, ces lunettes peuvent enregistrer plus d’une heure de vidéos.

Ces lunettes sont tellement faciles à utiliser que cela compense pour la qualité plutôt ordinaire des images obtenues. Le prix ? 350$US.

Référence :
Pivothead Durango

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les feux d’artifice de la Suisse à Montréal, le 7 juillet 2012

8 juillet 2012

 

 
Hier soir, la Suisse devenait le deuxième pays participant à l’édition 2012 de la compétition internationale des feux d’artifice Loto-Québec.

Alors que certains artificiers aiment les gros pétards, bruyants ou énormes (et probablement dispendieux), Sugyp — responsables des feux d’hier soir — préfèrent utiliser une multitude de feux qui occupent le bas et le milieu du ciel.

On a donc un spectacle sans véritable temps mort, accompagné d’une trame sonore écrite surtout par les grands compositeurs du cinéma hollywoodien et, accessoirement de Richard Strauss et Richard Wagner.

Sous le thème assez réussi de la conquête spatiale, la trouvaille de la soirée à sans doute été ce petit navire spatial — probablement un engin télécommandé — qui a zigzagué longuement dans le ciel de La Ronde et qu’on peut voir dans la première moitié de la vidéo ci-dessous (réalisée par Vincent Vivien).
 

 
Détails techniques de ma vidéo (celle du haut) : Appareil photo Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 20mm F/1,7.


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 6 juillet 2012

7 juillet 2012
Orgone
Anthony Gomes
Maestro Fresh Wes
Tyler Yarema
Frank Lozano Montreal Quartet

Hier, c’était l’avant-dernier soir du Festival de Jazz de Montréal, édition 2012. J’y suis allé après le travail : je suis arrivé vers 21h45.

Orgone, des États-Unis, donnait la dernière partie d’un spectacle devant une Place des Festivals pleine de monde. Pendant ce temps, Anthony Gomes (un bluesman américain natif de Toronto) terminait son spectacle à l’autre bout du site. À l’issue de ce spectacle, j’ai surpris cette confidence d’un mari à son épouse : « Je savais qu’ils allaient être bons », ce qui correspond à mon impression à partir de ce que j’ai entendu.

À 22h, le Torontois Maestro Fresh entamait son spectacle hip-hop sur la scène Bell. Pendant ce temps, sur la scène Rio Tinto Alcan, le pianiste ontarien Tyler Yarema, entouré de nombreux musiciens présentait un spectacle énergique, apprécié de la foule nombreuse venue l’entendre. Pour terminer, sur la scène Bell, le quatuor montréalais réuni par le renommé saxophoniste Frank Lozano défendait les couleurs du jazz devant une foule admirative.

Cliquez pour agrandir l’animation

Ce soir, ce sera donc la dernière occasion d’entendre ce que des organisateurs du festival ont concocté au bénéfice des festivaliers. Mais je n’y serai pas puisque j’irai plutôt voir les feux d’artifice de la Suisse de 22h00 à 22h35.

Ce billet est donc mon dernier survol d’une de ces soirées extraordinaires du Festival de jazz 2012 de Montréal. Rappelons que ce dernier est le plus important festival de musique au Monde.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150 mm R pour les photos (animation avec l’objectif M.Zuiko 12 mm F/2,0)
1re photo : 1/200 sec. — F/5,6 — ISO 6400 — 150 mm
2e photo  : 1/250 sec. — F/5,4 — ISO 2500 — 132 mm
3e photo  : 1/100 sec. — F/4,1 — ISO 250 — 45 mm
4e photo  : 1/160 sec. — F/4,6 — ISO 800 — 70 mm
5e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 5 juillet 2012

6 juillet 2012
Gypsophilia
Lady Lynn and Her Magnificient Seven
Carl Tremblay (et son bassiste, Mario Couture)
Coyote Bill
Chet Doxas Quartet

À mon arrivée sur le site du festival vers 20h45, ce qui m’a frappé c’est qu’il y avait encore plus de monde que d’habitude. Devant la petite scène Radio-Canada, j’ai dû accéder à la foule par un côté opposé pour réussir à m’y faufiler afin de photographier Gypsophilia (d’Halifax), tellement étaient nombreux leurs admirateurs.

Pendant ce temps, Lady Linn and Her Magnificent Seven, de Belgique, terminait un spectacle qui sera repris deux heures plus tard sur même scène (Rio Tinto Alcan) devant une assistance toute aussi nombreuse.

À 21h, les festivaliers avaient le choix entre deux spectacles concurrents : les Hongrois Besh o druM (que j’ai vus avant-hier) et le bluesman Carl Tremblay, de la ville de Québec. Ce dernier est un chanteur d’expérience qui connait tous les trucs pour séduire son public qui, hier soir, lui était déjà acquis; à deux reprises dans son spectacle, M. Tremblay ira chanter en se promenant longuement parmi l’assistance.

Comme c’est souvent le cas, en nommant ses musiciens, ceux-ci sont invités à faire un solo improvisé qui les met en valeur. Cela nous a permis de découvrir Mario Couture, un des meilleurs bassistes que j’aie entendu de toute ma vie.

À 22h, en plus de la reprise de Lady Linn and Her Magnificent Seven, les festivaliers pouvaient entendre les Québécois de Coyote Bill, sur la scène Bell, présenter leur nouveau CD, alors que Chet Doxas Quartet, de Montréal, présentait, entre autres, le contenu de son plus récent opus.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 640 — 74 mm
2e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 40 mm
3e photo  : 1/200 sec. — F/5,0 — ISO 500 — 96 mm
4e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 250 — 49 mm
5e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 4 juillet 2012

5 juillet 2012
Souad Massi
Johnny Sansone
The Narcicyst
Besh o droM
Luca Ciarla Quartet

Après le travail, rien de mieux que de faire le plein d’énergie au Festival de jazz. Or ça tombe bien, cette soirée est sous le signe de la virtuosité.

À mon arrivée, la Place des festivals est noire de gens venus pour entendre la chanteuse algérienne Souad Massi. Mon impression est que nous aurions beaucoup à gagner si les dirigeants du Festival offraient à leurs artistes invités la possibilité d’afficher une traduction de leurs textes sur les écrans géants de chaque côté de la scène. Conséquemment, si le public non-arabophone avait tendance à décrocher durant les ballades de la chanteuse, celle-ci n’avait aucun mal à susciter l’enthousiasme de l’assistance durant les pièces vigoureuses et alertes de son répertoire, appuyée par ses musiciens (dont un remarquable percussionniste).

À la toute fin, il ne me restait que quelques instants pour aller voir ce que Johnny Sansone proposait à son public à l’autre bout du festival, soit ce qui m’a semblé être du beau gros blues comme je l’aime.

Dès la fin de ce spectacle, à quelques pas de là, le rappeur iranien The Narcicyst présentait ses textes engagés. Pendant ce temps, le collectif hongrois Besh o droM — ce qui signifie « Trace la route » — étourdissait son auditoire par une musique virtuose où la clarinette électronique d’un des musiciens magyars joue un rôle central.

Pour terminer, le violoniste virtuose et compositeur italien Luca Ciarla défendait le jazz sur la scène Radio-Canada.

Puis, il s’est mis à pleuvoir. Mais c’est le temps frais qui a eu raison de mon assiduité au festival; je suis donc rentré chez moi.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/160 sec. — F/5,2 — ISO 6400 — 111 mm
2e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 1250 — 150 mm
3e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 58 mm
4e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 1000 — 40 mm
5e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 500 — 62 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 3 juillet 2012

4 juillet 2012
Trio Emie R. Roussel
Wesli
Sidi Touré et ses musiciens
Oumar Konaté, guitariste de Sidi Touré
Mike Gaudreau and The Boppin’ Blues Band
Escort
Danakil

À mon arrivée, vers 20h10, trois spectacles courtisaient les festivaliers.

Sur la scène Radio-Canada, la pianiste et compositrice québécoise Emie R. Roussel présentait le matériel de son prochain CD.

À la scène Bell, le québécois d’adoption Wesli — révélation Radio-Canada 2009 pour la musique du monde — jouait une musique reggae teintée d’afrobeat.

Mais je me suis surtout intéressé au chanteur et guitariste malien Sidi Touré sur la scène Rio Tinto Alcan. Le rythme obsédant de ses chansons est basé sur la répétition de minuscules cellules musicales pendant plusieurs minutes, ce qui en souligne le caractère dansant.

À 21h, Mike Gaudreau (du Vermont) and The Boppin’ Blues Band défendait le blues face à la vague disco d’Escort. Présenté comme la sensation de l’heure en provenance de Brooklyn, Escort m’a laissé sur ma faim, probablement en raison de la pauvreté mélodique de son matériel.

À 22h, sur la scène Bell, le groupe parisien Danakil présentait ses compositions contestataires sur un rythme reggae.

Puis je suis rentré au début d’une légère pluie.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/100 sec. — F/4,5 — ISO 200 — 40 mm
2e photo  : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 400 — 62 mm
3e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 500 — 40 mm
4e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 3200 — 150 mm
5e photo  : 1/200 sec. — F/4,9 — ISO 2500 — 92 mm
6e photo  : 1/80 sec. — F/4,0 — ISO 400 — 40 mm
7e photo  : 1/160 sec. — F/4,8 — ISO 1600 — 82 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Festival de Jazz de Montréal, le 2 juillet 2012

3 juillet 2012
Le Trio Jérôme Beaulieu
The SoulJazz Orchestra
The Pitbull of Blues Band
Liane Carroll
Le Trio Sylvain Ransy
François & the Altas Mountain

Je me suis rendu au Festival de Jazz hier soir. À mon arrivée sur le site, il restait une dizaine de minutes à la représentation du Trio Jérôme Beaulieu.

Le public du Festival de jazz de Montréal a ceci de particulier : quand c’est bon, il vous le fait savoir. Par ses applaudissements enthousiastes à la fin d’une pièce instrumentale, par la clameur admirative qui s’élève de la foule après un solo brillant ou à l’issue d’une cellule mélodique surprenante, même les nuls en jazz (dont je fais partie) savent que ce qu’ils viennent d’entendre était réussi.

À l’issue de ce spectacle, j’avais l’impression d’avoir entendu des grands classiques du jazz dont l’assistance avait apprécié l’interprétation. Mais c’est en écoutant leur premier CD, intitué « L’homme sur la lune », que j’ai réalisé que les œuvres mélodieuses que j’avais entendues étaient de nouvelles compositions de ce trio.

À 21h, la Place des festivals présentait The SoulJazz Orchestra d’Ontario. Pendant ce temps, sur la scène Loto-Québec, The Pitbull of Blues Band (des États-Unis) présentait un spectacle mi-blues, mi-rock comme c’est habituellement le cas à cet endroit.

À 22h, les festivaliers avaient le choix entre la chanteuse britannique Liane Carroll, le Trio Sylvain Ransy et le groupe français François & the Altas Mountain.

J’ai choisi d’assister au spectacle de ces derniers. Ceux-ci prennent un plaisir évident à jouer leur musique ensoleillée, souvent dansante à la suite d’une longue introduction plutôt planante, dominée par la guitare et les synthétiseurs, le tout entrecoupé de présentations drôles et sans prétention.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm R
1re photo : 1/125 sec. — F/4,5 — ISO 320 — 53 mm
2e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 100 — 49 mm
3e photo  : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 1000 — 78 mm
4e photo  : 1/250 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 150 mm
5e photo  : 1/100 sec. — F/4,2 — ISO 250 — 49 mm
6e photo  : 1/160 sec. — F/4,7 — ISO 400 — 78 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les feux d’artifice du Japon à Montréal, le 30 juin 2012

1 juillet 2012

 

 
Hier soir, le Japon devenait le premier pays participant à l’édition 2012 de la compétition internationale des feux d’artifice Loto-Québec.

Fondé en 1905, l’artificier japonais Aoki Fireworks présentait de 22h00 à 22h35, un spectacle pyromusical devant une foule admirative de curieux réunis au parc d’attraction de l’ile Sainte-Hélène et ses environs.

En voici quelques extraits.

Détails techniques de la vidéo : Appareil photo Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 20mm F/1,7.


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Écrit par Jean-Pierre Martel