Le Festival de jazz de Montréal — le 9 juillet 2016 (fin)

10 juillet 2016

Aujourd’hui, c’est une journée froide et pluvieuse, ce qui est extrêmement rare à Montréal à ce temps-ci de l’année.

Même si la pluie a cessé plus tôt dans la journée, la lourdeur du temps fait en sorte que les foules sont moins nombreuses en cette soirée de clôture du festival.

Endrick & The Sandwiches

À mon arrivée sur le site, vers 19h50, le groupe Endrick & The Sandwiches entamait leur dernière chanson sur la scène Bell.

Sattas

Dès 20h, à quelques pas de là, la scène Turkish Airlines mettait en vedette le groupe turc reggae Sattas.

Misses Satchmo

Pendant ce temps, Misses Satchmo présentait son cocktail jazzy-swing sur la scène RioTinto alors que…

Carlos Placeres

…le Québécois Carlos Placeres entrainait son auditoire sur ses rythmes de son pays natal, Cuba.

West Trainz

Le grand spectacle de clôture était de celui de West Trainz sur la scène TD.

Alors que le guide complet du festival indiquait clairement que ce spectacle débutait à 21h30, le petit dépliant (que presque tout le monde traine sur soi) suggérait plutôt un début à 21h. Ce qui fait que beaucoup de personnes (dont moi) ont eu l’impression que le spectacle débutait avec trente minutes de retard.

Je vous avoue que le début lent de ce spectacle m’a laissé sur ma faim. Après vingt minutes, j’ai été voir…

Dunwayne Burnside et ses musiciens

…les dix dernières minutes du blues de Dunwayne Burnside. Ce que j’ai entendu m’a fait regretter de ne pas être venu là plus tôt.

The Darcys

De 22h à 23h, sur la scène Turkish Airlines, le duo torontois The Darcys offrait sa musique pop pendant que résonnaient au loin les feux d’artifice de l’Internationale des feux Loto-Québec.

Fait à noter : Ce groupe fut le seul à avoir pris la peine d’apporter avec lui et de meubler la scène d’un décor. Un peu kitch, celui-ci était formé d’éléments en plastique rappelant les tropiques (ananas, et palmiers), de même qu’un petit cactus et un Flamand rose en néon.

Ailleurs sur le site, des ouvriers s’attelaient déjà à démanteler les scènes extérieures afin de libérer cette partie du centre-ville et lui permettre de retrouver ses activités habituelles.

Pour conclure, le Festival de jazz de Montréal est probablement le plus important festival de musique au monde du point de vue de l’affluence.

Créé en 1980, il présente depuis plusieurs années quelque trois-mille artistes provenant d’une trentaine de pays, organise environ 650 concerts (dont 450 gratuits) et attire près de deux-millions de visiteurs.

Pour ceux qui habitent des contrées lointaines et qui ne peuvent s’y rendre, mes reportages photographiques visent à les rapprocher, par la magie de l’internet, de cette grande fête amicale et divertissante.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8
1re photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 400 — 40 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/3,2 — ISO 800 — 50 mm
3e  photo : 1/160 sec. — F/3,2 — ISO 640 — 73 mm
4e  photo : 1/80 sec. — F/3,2 — ISO 320 — 40 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/3,2 — ISO 800 — 40 mm
6e  photo : 1/160 sec. — F/3,2 — ISO 1250 — 73 mm
7e  photo : 1/100 sec. — F/3,2 — ISO 640 — 40 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel