Quelques roses

27 août 2017
Rosier hybride de thé ‘Touch of Class’
Rosier floribunda ‘Léonardo de Vinci’
Rosier floribunda ‘Mardi Gras’
Rosier floribunda ‘Moondance’
Variété inconnue
Rosier floribunda ‘Southampton’

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5 mark II, objectif M.Zuiko 40-150mm F/2,8 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14
1re photo : 1/250 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm
2e  photo : 1/500 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm
3e  photo : 1/1250 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm
4e  photo : 1/2000 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 170 mm
5e  photo : 1/1000 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 200 mm
6e  photo : 1/1250 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 210 mm

Un commentaire

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Le M.Zuiko MC-14 et les objectifs orphelins

13 août 2016
Dahlia ‘Jessica’
Variété inconnue
Amni commun
Hélénie ‘Chelsey’
Rosier floribunda ‘Mardi Gras’

Le multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14 est un dispositif qui augmente la puissance d’un objectif au prix d’une perte de luminosité.

Il se visse à l’arrière de ce dernier. Toutefois, la partie avant de ce dispositif est en saillie et doit donc pénétrer à l’intérieur de l’objectif.

Très peu d’objectifs µ4/3 possèdent une cavité susceptible de recevoir le M.Zuiko MC-14. Au moment où ces lignes sont écrites, il n’y en a que deux, soit le M.Zuiko 40-150 mm F/2,8 et le M.Zuiko 300 mm F/4,0.

De leur côté, les objectifs destinés à la photographie argentique peuvent s’utiliser sur des appareils µ4/3 grâce à des adaptateurs spécifiques. En réalité, ces adaptateurs sont des tubes vides dont la cavité permet de loger cette saillie.

En absence de tests officiels, le fabricant de l’adaptateur ne garantit pas sa compatibilité avec les objectifs orphelins.

Qu’en est-il vraiment ? Pour en avoir le cœur net, j’ai testé l’objectif Helios 85 mm F/1,5.

Jumelé avec le M.Zuiko MC-14, l’Hélios 85 mm F/1,5 devient un objectif 119 mm F/2,1.

Étant donné que son angle de vision s’en trouve diminué, il faut davantage de recul pour que le sujet ait la même taille apparente au viseur ou sur l’écran arrière de l’appareil.

Ce faisant, on obtiendrait la même profondeur de champ si l’ouverture du diaphragme était inchangée. Or elle ne l’est pas puisqu’on passe d’une ouverture maximale de F/1,5 à F/2,1.

Le résultat est une plus grande profondeur de champ et plus de netteté de ce qui est au foyer.

En contrepartie, l’objectif perd partiellement sa propriété de créer un tourbillon de taches lumineuses en arrière-plan lorsque les conditions s’y prêtent.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Helios 85mm F/1,5 + multiplicateur de focale M.Zuiko MC-14
1re photo : 1/1600 sec. — F/2,1 — ISO 200 — 119 mm
2e  photo : 1/2500 sec. — F/2,1 — ISO 200 — 119 mm
3e  photo : 1/1600 sec. — F/2,1 — ISO 200 — 119 mm
4e  photo : 1/400 sec. — F/2,1 — ISO 200 — 119 mm
5e  photo : 1/4000 sec. — F/2,1 — ISO 100 — 119 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel