Six autres orchidées du genre Paphiopedilum

28 avril 2014
Paphiopedilum Castillo
Paphiopedilum Chamarande
Paphiopedilum Saint Swithin ‘Jardin botanique de Montréal’
Paphiopedilum Appletonianum
Paphiopedilum GX Zampa
Paphiopedilum Moquettianum

À l’état sauvage, on trouve ces plantes du centre de l’Inde à l’Océanie, du niveau de la mer jusqu’à 2 500m d’altitude.

Alors que la majorité des orchidées poussent en se servant d’autres plantes comme support, celles du genre Phaphiopedilum sont presque toutes terrestres, vivant dans les prairies humides à la lisière des forêts, dans les sous-bois, dans les forêts pluvieuses, et les fissures des rochers ou des falaises.

Conséquemment, lorsqu’elles sont cultivées comme plantes d’intérieur, leur substrat doit être un peu différent de celui des autres orchidées.

Leur floraison dure longtemps, d’un à trois mois, entre le milieu de l’automne et le printemps. Certains hybrides modernes fleurissent deux à trois fois par an.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectifs M.Zuiko 12-40 mm F/2,8 (les 1re, 4e et 6e photos), M.Zuiko 60 mm F/2,8 (la 2e photo), Lumix 12-35 mm F/2,8 (la 3e photo) et M.Zuiko 40-150 mm R (la 5e photo)
1re photo : 1/80 sec. — F/5,6 — ISO 400 — 40 mm
2e  photo : 1/125 sec. — F/10,0 — ISO 800 — 60 mm
3e  photo : 1/60 sec. — F/5,6 — ISO 500 — 35 mm
4e  photo : 1/60 sec. — F/5,6 — ISO 2000 — 30 mm
5e  photo : 1/400 sec. — F/4,0 — ISO 200 — 40 mm
6e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1600 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


D’autres orchidées du genre Paphiopedilum

18 avril 2014
Paphiopedilum Maudiae ‘Green’x Maudiae ‘Red’
Paphiopedilum Spicerianum x Primulinum
Paphiopedilum Robert de Veer x Paphiopedilum Hsinying Inspiration
Paphiopedilum Moquettianum
Paphiopedilum Hampshire Zoo x Winston Churchill

Le mot « Phaphiopedilum » vient du jumelage de deux mots grecs : « Paphios » (qui fait référence à la déesse Vénus) et de « pedilon » (qui signifie pantoufle).

Parmi les caractéristiques distinctives de leurs fleurs charnues, la plus évidente est leur bourse ventrale (cette « pantoufle » dont on vient de parler). Celle-ci peut porter de fines rayures radiantes, avoir l’aspect d’une muqueuse gorgée de sang, être criblée de taches, afficher un dégradé de tons ou simplement être décorée d’une rebord de couleur contrastante. Souvent, cette bourse présente un aspect cireux.

Puis on remarque deux pétales, disposés de part et d’autre. De formes et de tailles très variables, les pétales peuvent être tombants ou dressés comme les ailes d’un papillon. Certains sont rayés dans le sens de la longueur. D’autres sont pointillés ou portent des verrues ou des poils. Leurs bords sont souvent ondulés. Les plus subtils afficheront un délicat dégradé de couleur qui guide les insectes pollinisateurs vers le cœur de la fleur.

Le tout est surmonté d’un sépale érigé comme un couvercle — auquel on donne le nom de pavillon — habituellement coloré de manière différente.

Derrière la bourse, souvent cachés par celle-ci, se trouvent deux sépales inférieurs soudés.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 12-40mm F/2,8
1re photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 500 — 40 mm
2e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1250 — 40 mm
3e  photo : 1/80 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 40 mm
4e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 640 — 40 mm
5e  photo : 1/100 sec. — F/2,8 — ISO 1000 — 40 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel