L’Angleterre aux Mosaïcultures Internationales Montréal 2013

17 août 2013

Officiellement, la Grande-Bretagne est représentée par trois œuvres dont deux hors-concours : Les Sangliers de l’île de Sally, puis Espoir et Odyssée et finalement Le Cheval blanc d’Uffington (cette dernière en compétition officielle).

Les Sangliers de l’île de Sally

« Les Sangliers de l’île de Sally »
Détail de l’œuvre

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’île de Sally, n’est pas située au large des côtes anglaises, mais plutôt dans l’imaginaire de l’artiste britannique Sally Matthews. Ses sangliers illustrent une nouvelle tendance, soit la création d’œuvres dites environnementales.

Tout comme une mosaïculture, le sujet est inspiré de la nature et sa réalisation débute par la fabrication d’une ossature de métal. Toutefois, à la différence d’une mosaïculture, ce squelette métallique est décoré de matériaux morts issus de la nature et non de plantes vivantes.

L’artiste s’est donc servie de branches mortes et de débris végétaux trouvés sur le site même du Jardin botanique de Montréal.

Les Esprits de la forêt

En raison des besoins des plantes utilisées, les mosaïcultures sont habituellement installées en plein soleil.

Toutefois, le Jardin botanique de Montréal a décidé de créer un certain nombre d’œuvres dans une section ombragée du circuit utilisé par les visiteurs.

On y a donc mis des œuvres environnementales (dont Les Sangliers de l’île de Sally) et trois œuvres décorées de plantes qui nécessitent une pleine clarté, mais pas de soleil direct.

Ces dernières sont placées sous le thème des Esprits de la forêt, et représentent des personnages de la mythologie celtique.

The Greenman

« The Greenman »

Le Greenman (en français, l’Homme vert) est un dieu païen de la littérature médiévale et représente l’esprit des arbres. Le feuillage qui entoure son visage est composé de feuilles de chêne, ancien arbre sacré en Grande-Bretagne.

Coventina

« Coventina »

Coventina (en français, Fée Viviane ou Dame du Lac) est un personnage de la mythologie celtique. De la mort de son père jusqu’à l’âge de dix-huit ans, Lancelot du Lac fut élevé au plus profond du lac Diane par cette fée.

Elle lui enseigna les arts et les lettres et lui insuffla sagesse et courage, faisant de lui un chevalier accompli. Elle le mena ensuite à la cour du roi Arthur afin qu’il devienne chevalier de la Table Ronde.

Cette fée est représentée ici par un visage émergé de l’eau : de minuscules plantes aquatiques flottantes colorent les méandres de sa chevelure.

Cernunnos

« Cernunnos »
Détail de Cernunnos

Cernunnos est un dieu gaulois cornu représenté de différentes manières. On lui associe souvent un serpent à tête de bélier.

Espoir et Odyssée

« Espoir et Odyssée »

La deuxième œuvre environnementale d’Angleterre est une création de la britannique Heather Jansch, réputée pour ses sculptures de chevaux.

Celle-ci choisit soigneusement du bois de grève (c’est-à-dire du bois rejeté par la mer) sans le couper ni le modifier. Six mois sont nécessaires à trouver le matériel nécessaire pour un cheval.

L’espoir est ici représenté par le poulain, tandis que la jument symbolise l’odyssée.

Le cheval blanc d’Uffington

« Le cheval blanc d’Uffington »

La participation officielle de l’Angleterre aux Mosaïcultures Internationales Montréal 2013 est une œuvre bidimensionnelle.

Elle reproduit, en plus petit, le cheval blanc d’Uffington, un motif de 123 mètres de long creusé à même une colline de craie près des ruines du château d’Uffington (situé à 100 km à l’ouest de Londres). Ce motif n’est visible que du ciel.

C’est la plus ancienne figure de craie connue en Angleterre. Selon une étude récente de l’université Oxford, elle daterait de mille ans avant notre ère.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 12-35mm F/2,8
1re photo : 1/80 sec. — F/13,0 — ISO 200 — 19 mm
2e  photo : 1/500 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 35 mm
3e  photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 19 mm
4e  photo : 1/100 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 12 mm
5e  photo : 1/250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 35 mm
6e  photo : 1/125 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 31 mm
7e  photo : 1/80 sec. — F/13,0 — ISO 1250 — 17 mm
8e  photo : 1/320 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 12 mm


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La fabrication des mosaïcultures

16 août 2013

 


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Écrit par Jean-Pierre Martel


La Chine, un leader mondial des mosaïcultures tridimensionnelles

15 août 2013

La taille d’un arbuste afin de créer une sculpture végétale existe depuis des millénaires. Toutefois l’assemblage de différents matériaux principalement d’origine végétale afin de réaliser un dessin préétabli, remonte aux parterres en broderie, dont la popularité a culminé avec ces jardins rococo en forme de tapis persans, au XVIIIe siècle.

Indépendamment du fait que les jardins à la française peuvent comprendre des buissons qui se dressent à quelques mètres du sol, ils sont considérés aujourd’hui comme des mosaïcultures bidimensionnelles parce qu’ils sont conçus dans le but d’habiller une surface plane.

C’est principalement en Chine, dans les années 1980, qu’est née la mosaïculture tridimensionnelle. À l’origine, on créait une structure métallique très sommaire à l’intérieur de laquelle on plaçait de la paille, de l’argile et du fumier : on recouvrait le tout de plantes vertes ou de plantes à fleur, arrosées à la main. L’ensemble devenait une mosaïculture.

Lors des deux premières éditions des Mosaïcultures Internationales, toutes deux tenues à Montréal en 2000 et 2003, la technique de la mosaïculture s’est considérablement raffinée.

De nos jours, chaque mosaïculture dispose de son propre système d’irrigation. Elle est recouverte d’une plus grande variété de plantes. De nouveaux terreaux sont découverts ou expérimentés. Par exemple, la dernière nouveauté étant l’utilisation des fibres de l’écorce de la noix de coco comme terreau.

Si bien qu’aujourd’hui, Montréal, Beijing et Shanghai rivalisent d’ingéniosité et de créativité. Dans le texte qui suit, nous vous présentons la participation chinoise aux Mosaïcultures Internationales Montréal 2013.

Beijing

« Planter des platanes pour attirer le Phénix »
Détail de la participation de Beijing

Roi des oiseaux, le Phénix symbolise la paix et l’harmonie. Selon un dicton chinois, celui qui plante des platanes attire le Phénix. En d’autres mots, l’effort soutenu est toujours récompensé.

La contribution pékinoise se caractérise par son horizontalité, par la fluidité de ses lignes et par son formalisme (cela fait très chinois). L’œuvre gigantesque innove par l’utilisation de bégonias miniatures pour colorier en rose le plumage de l’oiseau mythique.

Shanghai

« Une histoire vraie !»
Détail de la participation de Shanghai

La participation de Shanghai est plus lyrique et poétique. Elle est basée sur l’histoire apparemment vraie d’une jeune chinoise, Xu Xiu Juan, qui aurait perdu la vie à la fin des années 1980 en tentant de sauver une grue à tête rouge incapable de se libérer d’un marais en raison d’une blessure.

L’ensemble se caractérise par sa verticalité. Je soupçonne que la coiffe de la jeune fille l’identifie à une ethnie particulière.

Contrairement à la participation plus orthodoxe de Beijing, celle de Shanghai est plus asiatique que strictement chinoise. Dans une certaine mesure, cela représente bien les différences culturelles de ces deux villes, Shanghai étant plus ouverte sur le monde.

Dans ce cas-ci, Shanghai innove par son utilisation de nébuliseurs afin de simuler le brouillard à la surface du marais.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 12-35mm F/2,8
1re photo : 1/4000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 15 mm
2e  photo : 1/2000 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 35 mm
3e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 12 mm
4e  photo : 1/1250 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 22 mm


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La Terre-Mère

14 août 2013
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Après l’Arbre aux oiseaux, la Terre-Mère est la deuxième œuvre phare des Mosaïcultures Internationales Montréal 2013.

La Terre-Mère est un thème récurant dans de nombreuses civilisations. Ici elle est représentée par un torse féminin de près de quinze mètres. Le bras gauche dépose quelques cerfs au milieu d’une prairie fleurie dans laquelle s’ébattent déjà des chevaux et des bisons. Dans la main droite, dressée, un aigle royal vient s’abreuver à la source d’une chute d’eau alimentée à partir d’un puits artésien et mise en service grâce à une pompe solaire.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 12-35mm F/2,8
1re photo : 1/1600 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 24 mm
2e  photo : 1/640 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 13 mm


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L’Homme qui plantait des arbres

13 août 2013
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Aux Moisaïcultures Internationales 2013, Montréal est représentée par quatre oeuvres dont celle-ci.

À l’origine, L’Homme qui plantait des arbres est une nouvelle écrite par Jean Giono en 1953. Elle est considérée aujourd’hui comme un manifeste écologique qui montre l’importance de nos actions individuelles sur la nature.

Ayant lui-même planté plus de 30 000 arbres dans le cadre de ses activités au sein de la Société pour vaincre la pollution, le cinéaste et illustrateur canadien Frédéric Back se reconnaissait dans le personnage principal de la nouvelle de Giono et rêvait de porter à l’écran ce texte, paru jusqu’alors uniquement dans des revues spécialisées.

L’Oscar qu’il obtient en 1982 pour le court-métrage d’animation CRAC ! donne à Back les moyens de réaliser son rêve. Cinq ans plus tard, le film L’Homme qui plantait des arbres paraît. Dans les années qui suivent, ce film rafle une trentaine de prix internationaux.

En 2009, les Mosaïcultures Internationales se tenaient à Hamamatsu, au Japon, sous le thème de « La Symphonie de l’homme et de la nature ».

Participante à cette exposition, Montréal s’est adressée à Back afin d’y présenter un ensemble de mosaïcultures inspiré de son film d’animation. Cette participation obtient le Grand prix du jury et le Prix de l’oeuvre favorite du public.

L’ensemble a été remonté cette année à Montréal sans les 250 érables de couleurs différentes disposés en arc de cercle et dont la taille était croissante è partir de l’arbre minuscule en train d’être planté par le personnage principal.

En dépit de cela, tel quel, cet ensemble de mosaïcultures est parmi ceux qui sont les plus réussis aux Mosaïcultures Internationales de Montréal.

Références :
Jean Giono
L’Homme qui plantait des arbres (le film)
L’Homme qui plantait des arbres (la nouvelle)

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif Lumix 12-35mm F/2,8
1re photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 17 mm
2e  photo : 1/1250 sec. — F/3,2 — ISO 200 — 23 mm


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Écrit par Jean-Pierre Martel


Des floralies aux mosaïcultures

12 août 2013
Entrée des Mosaïcultures Internationales de Montréal
« Ces fermiers qui nourrissent la planète ! » (California Polytechnic State University)
Sur le circuit des mosaïcultures
Passerelle aménagée pour admirer l’Arbre aux oiseaux

Les Floralies

Les floralies sont expositions florales. Certaines d’entre elles se spécialisent dans la présentation d’une seule variété de plantes — des tulipes à Keukenhof, aux Pays-Bas, par exemple — ou d’un mode culture.

Dans de nombreux cas, ces événements ont évolués, passant de simples expositions de plantes à des présentations de jardins de plus en plus sophistiqués.

Tout comme les festivals de films peuvent se transformer en compétitions internationales organisées dans différentes villes à travers le monde, les floralies peuvent également être ouvertes à la participation de différentes villes ou de différents pays.

Et, contrairement aux Expositions internationales ou aux Jeux olympiques, des Floralies internationales peuvent se tenir simultanément dans différentes villes.

Au fur et à mesure que de nouvelles villes entreprennent d’organiser des floralies internationales, cette concurrence croissante a amené d’autres villes à annuler la tenue de leurs floralies.

Les Mosaïcultures

La mosaïculture est l’art d’assembler différents matériaux afin de réaliser des motifs ou du texte selon un dessin préétabli. Les plantes sont choisies selon la couleur de leurs fleurs ou de leur feuillage, de même que pour le caractère régulier et prévisible de leur croissance.

Cet art s’est développé en Europe avec la mode des parterres en broderie, dont la popularité a culminé avec ces jardins rococo en forme de tapis persans.

Au XXe siècle, la mode des jardins à la française a déclinée au profit des jardins à l’anglaise, ces derniers étant plus conformes à notre conception contemporaine des rapports entre l’homme et la nature. Si bien que la mosaïculture — qui asservit la nature aux dessins de l’homme — a périclité.

Elle connait un regain de popularité, principalement à cause de l’intérêt du public pour les mosaïcultures tridimensionnelles.

N’importe quelle ville peut organiser des mosaïcultures et les tenir à la fréquence qu’elle voudra. Toutefois, la tenue de Mosaïcultures Internationales — tout comme pour les Jeux olympiques — est décidée par un Comité international. Jusqu’ici, elles ont eu lieu aux trois ou quatre ans.

Celles-ci sont nées à Montréal en 2000. Les éditions suivantes se sont tenues à Montréal (de nouveau en 2003), à Shanghai (en 2006), à Hamamatsu (en 2009) et à Montréal (cette année).

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 45 mm F/1,8 (la deuxième photo) et objectif Lumix 12-35 mm F/2,8 (les autres photos)
1re photo : 1/4000 sec. — F/3,5 — ISO 200 — 15 mm
2e  photo : 1/640 sec. — F/5,0 — ISO 200 — 45 mm
3e  photo : 1/3200 sec. — F/3,2 — ISO 200 — 12 mm
4e  photo : 1/800 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 16 mm


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L’arbre aux oiseaux

10 août 2013
Maquette de l’Arbre aux oiseaux
Détail de l’Arbre aux oiseaux
Détail de l’Arbre aux oiseaux
Détail de l’Arbre aux oiseaux
Vue d’ensemble de l’Arbre aux oiseaux

Ville hôte des Mosaïcultures Internationales 2013, Montréal est représentée par quatre œuvres hors-concours dont celle-ci, intitulée « L’arbre aux oiseaux ».

L’œuvre mesure 16 mètres de hauteur, soit l’équivalent d’un immeuble de six étages. Son feuillage possède une envergure maximale de seize mètres. Son tronc fait trois mètres de diamètre.

Elle pèse 120 tonnes, ce qui correspond au poids du plus grand animal vivant, soit la baleine bleue.

Sa surface est décorée de 350 000 plantes qui ont été produites par le Jardin botanique de Montréal et une douzaines d’entreprises horticoles.

L’arbre aux oiseaux représente 57 oiseaux et six amphibiens menacés de disparition. L’arbre lui-même est une mangrove.

De toutes les pièces de mosaïculture produites à ce jour à travers le monde, celle-ci est la plus colossale.

Détails techniques : Olympus OM-D e-m5, objectif M.Zuiko 45 mm F/1,8 (les trois premières photos) et objectif Lumix 12-35 mm F/2,8 (les deux dernières photos)
1re photo : 1/200 sec. — F/2,8 — ISO 200 — 45 mm
2e  photo : 1/2500 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 45 mm
3e  photo : 1/2000 sec. — F/1,8 — ISO 200 — 45 mm
4e  photo : 1/400 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 20 mm
5e  photo : 1/400 sec. — F/5,6 — ISO 200 — 17 mm


Liste alphabétique de 56 oiseaux représentés : Aigle de Florès, Aigle de Java, Albatros des Galapagos, Amazone à tête jaune, Amazone de Porto-Rico, Ara canindé, Ara de Buffon, Ara de Lafresnaye, Ara de Spix, Ara hyacinthe, Bernache à cou roux, Brève de Gurney, Buse de Ridgway, Cacatoès à huppe jaune, Caïque de Fuertes, Calao de Narcondam, Calao de Walden, Chevêche forestière, Cigogne orientale, Colombe à tête bleue, Colombe de Geoffroy, Condor de Californie, Conure à poitrine grise, Cornure dorée, Conure soleil, Crabier blanc, Érismature à tête blanche, Étourneau de Rothschild, Gallicolombe de Negros, Grèbe mitré, Grue du Japon, Harle de Chine, Ibis chauve, Kakapo, Lori arlequin, Marabout argala, Martin-chasseur des Gambier, Milan de Forbes, Nette à cou rose, Oréophase cornu, Paon spicifère, Pénélope à front noir, Pénélope siffleuse, Perruche à ventre orange, Perruche de Latham, Perruche d’Ouvéa, Petit duc d’Irène, Phodile de Prigogine, Pic à bec ivoire, Pic à tête rouge, Pic d’O’Brien, Pie-grièche de Sao-Tomé, Pluvier siffleur, Tétras du Gunnison, Vautour indien, et Vautour percnoptère.

Liste alphabétique de cinq amphibiens et reptiles représentés : Crocrodile Cuba, Dendrobate Lehman, Ignace Fidji, Neurergus empereur, et Tortue d’Asie.


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