Une erreur de la nature

30 juillet 2011
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Ceci n’est pas un montage photographique, mais plutôt une erreur de la nature.

En effet, ce papillon s’est retrouvé avec le côté gauche masculin et le côté droit féminin. Ce handicap fait aujourd’hui sa célébrité posthume à l’Insectarium de Montréal.

Détails techniques : Panasonic GH1, objectif Cosina 28mm Macro f/2,8 — 1/250 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 28 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


À la roseraie du Jardin botanique de Montréal

29 juillet 2011
Rosier grandiflora ‘Rainbow Sorbet’
Rosier hybride de thé ‘Charlotte Brownell’
Rosier hybride de thé ‘Caramella’
Rosier hybride de thé ‘Maid of Honour’
Rosier floribunda ‘Tabris’

Détails techniques : Panasonic GH1, objectif Tamron SP 90mm f/2,5 Macro
1re photo : 1/400 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 90 mm
2e photo  : 1/200 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 90 mm
3e photo  : 1/320 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 90 mm
4e photo  : 1/640 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 90 mm
5e photo  : 1/200 sec. — F/5,6 (?) — ISO 320 — 90 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Dragon chinois

28 juillet 2011
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C’est sous la dynastie des Han de l’Est (entre 25 et 220 après Jésus-Christ) que sont apparues les toutes premières porcelaines en Chine. Il aura fallu attendre jusqu’au XVIIIe siècle pour qu’on découvre en Europe leur secret de fabrication.

Celle-ci est faite, non pas d’argile naturelle (c’est-à-dire de glaise) comme on le croyait jusque là, mais surtout de kaolin (30 à 60%) additionné de quartz, de feldspath et d’argile à pipe. Le mot « kaolin » vient d’ailleurs du mot chinois Gaoling (高岭), signifiant « collines hautes », et qui désigne une carrière située à Jingdezhen, là où la porcelaine chinoise aurait été inventée.

Parlons maintenant de la photo ci-dessus.

Il s’agit d’une assiette achetée dans une boutique du Bazar Yuyuan de Shanghai. Cette assiette a été fabriquée à partir d’un biscuit tridimensionnel peint à la main, puis émaillé.

Il est à noter que le dragon de cette assiette possède quatre griffes. Dans la Cité interdite de Beijing, les dragons ont une griffe de plus puisqu’en Chine impériale, seul l’Empereur pouvait posséder des représentations de dragon possédant cinq griffes.

Détails techniques : Panasonic GF1, objectif Lumix 20mm f/1,7 — 50 sec. — F/1,7 — ISO 100 — 20 mm

Références :
Kaolin
Porcelaine

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Moins d’antibiotiques ou plus d’hygiène contre C. difficile ?

27 juillet 2011

Radio-Canada et Le Devoir publient aujourd’hui une nouvelle en provenance de la Presse canadienne qui se réjouit de la réduction de l’utilisation des antibiotiques au Québec, comparativement à une croissance de cette utilisation dans les autres provinces canadienne.

On en impute la cause à la publication de lignes directrices qui auraient favorisé la prescription plus judicieuse des antibiotiques au Québec. Ces directives avaient été distribuées aux médecins et pharmaciens québécois en janvier 2005 à cause de craintes concernant la surconsommation des antibiotiques et à la suite d’une éclosion d’infections à la bactérie C. difficile.

Tout le monde est d’accord avec l’utilisation judicieuse des médicaments. Toutefois une telle nouvelle ne prouve pas l’atteinte des objectifs visés (qui n’étaient pas d’ordre économique) puisqu’on ne fait pas de distinction ici entre la surconsommation et la consommation justifiée d’antibiotiques.

Voilà donc du mauvais journalisme. Non seulement n’a-t-on pas fait la preuve que ces lignes directrices aient entrainé une réduction de la consommation inappropriée d’antibiotiques mais on apporte aucune donnée prouvant une réduction des taux d’infection de C. difficile au Québec grâce à ces lignes directrices.

Contrairement à ce que beaucoup de personnes croient, les antibiotiques ne rendent pas les gens vulnérables à C. difficile ; en effet, il est impossible de développer une diarrhée à C. difficile si on n’est pas déjà porteur asymptomatique de cette bactérie. Or les gens ne deviennent pas porteurs asymptomatiques à cause des antibiotiques (utilisés rationnellement ou non), c’est le manque d’hygiène, principalement dans nos hôpitaux, qui augmente le nombre de ces porteurs asymptomatiques parmi la population.

Ceux-ci développeront une diarrhée à C. difficile lors de la prescription (justifiée ou non) d’antibiotiques. Les antibiotiques provoquent ces diarrhées mais n’en sont donc pas la cause. La cause, à laquelle il faut s’attaquer, c’est le manque d’hygiène.

Il est donc illusoire de vouloir combattre l’épidémie de C. difficile au Québec par une réduction globale de la consommation d’antibiotiques par la population. En effet, si on réduit de 10% l’utilisation des antibiotiques, on réduit de 10% les cas de diarrhée à C. difficile. Pas plus. Si on réduit leur utilisation de 20%, on réduit les cas de 20%, etc. Donc la seule façon de mettre fin l’épidémie de diarrhée à C. difficile par le moyen du contrôle de l’utilisation des antibiotiques, c’est en cessant totalement de les utiliser, ce qui n’arrivera jamais.

C’est parce que la stratégie de lutte contre le C. difficile au Québec est centrée sur la réduction de l’utilisation des antibiotiques que cette stratégie a échoué lamentablement jusqu’ici.

Il y a toujours eu des cas d’infection à C. difficile au Québec mais ces cas sont se sont multipliés au point de devenir une épidémie (avec, cumulativement, des centaines de morts) — non pas depuis la commercialisation des antibiotiques — mais depuis la popularité des gels alcoolisés.

Ceux-ci se sont généralisés dans la première moitié des années 2000. En 2002, il y avait 60 décès par année au Québec causés par le C. difficile : de nos jours, il y en a 500.

Or ceux-ci sont totalement inefficaces contre le C. difficile. Zéro pour cent d’efficacité. Les spores de bactéries, dont celles de C. difficile, peuvent vivre des années dans l’alcool.

Tant que le public croira que se badigeonner les mains avec un gel alcoolisé est aussi efficace que le lavage des mains (précisons : avec de l’eau et du savon), les gestionnaires publics partageront ce préjugé populaire : ces derniers continueront d’utiliser des moyens inefficaces (la réduction de la prescription d’antibiotiques) alors que le problème est ailleurs.

Références :
Baisse des prescriptions d’antibiotiques par les médecins du Québec
C. difficile et les égalisateurs de crasse
Des directives sur l’utilisation des antibiotiques s’avèrent efficaces au Québec
Grippe A : le marché des produits hydro-alcooliques est devenu fou

Sur le même sujet : La transplantation de flore intestinale contre l’infection grave à C. difficile

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Odorant et sentimental

26 juillet 2011
Rosier floribunda ‘Scentimental’
Rosier floribunda ‘Scentimental’

Créée en 1976, la roseraie du Jardin botanique de Montréal occupe 2,5 hectares. Ses 10 000 rosiers présentent 220 cultivars de lignées modernes, 180 cultivars de rosiers anciens, 160 espèces naturelles et 450 cultivars de rosiers arbustifs modernes.

Détails techniques : Panasonic GH1, objectif Cosina 28mm Macro f/2,8
1re photo : 1/125 sec. — F/11,0 (?) — ISO 320 — 28 mm
2e photo  : 1/60 sec. — F/11,0 (?) — ISO 320 — 28 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Tournesol du Mexique et Trachélie bleue

25 juillet 2011
Tithonia rotundifolia ‘Fiesta del Sol’
Trachelium caeruleum ‘Devotion Blue’

Dans les jardins d’accueil du Jardin botanique de Montréal…

Détails techniques : Panasonic GH1, objectif Cosina 28mm Macro f/2,8
1re photo : 1/400 sec. — F/11,0 (?) — ISO 640 — 28 mm
2e  photo : 1/50 sec. — F/11,0 (?) — ISO 320 — 28 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


iPad vs netbook

23 juillet 2011

Les ardoises existent depuis plusieurs années mais c’est le succès de l’iPad qui a offert une alternative sérieuse aux plus petits ordinateurs conventionnels, les netbooks.

Différences matérielles

Les netbooks n’ont pas de lecteurs de CD, DVD ni Blu-ray, ont des écrans d’une diagonale de 5 à 12 pouces, pèsent entre 1 et 1,5 kg, sont dotés habituellement d’un disque dur de 160 à 250 Go, d’un ou de deux Go de mémoire vive, de ports USB, de connections Bluetooth et d’Internet sans fil, d’une mini-camera et se vendent entre 150$ et 350$. La pile standard permet une autonomie d’environ trois heures.

Les iPads sont des ardoises électroniques. Ils n’ont pas de clavier matériel, pas de lecteur CD, DVD et Blu-ray, ni de port USB, ont des écrans tactiles d’une diagonale de 9,7 pouces, pèsent environ 600g, sont dotés d’une capacité de stockage de 16 à 64 Go, de 256 ou de 512 Mo de mémoire vive, de connections Bluetooth et d’Internet sans fil, de deux mini-cameras (sur l’iPad2) et se vendent entre 500$ et 850$ selon le modèle. Leur autonomie est de huit à dix heures.

En somme, la distinction fondamentale entre les caractéristiques matérielles des netbooks et les iPads, c’est que les netbooks ont une plus grande capacité de stockage, ont des ports USB, plus de mémoire vive, ont un clavier, et sont moins chers. Les iPads sont deux fois plus légers et ont un écran tactile.

À comparer leurs différences matérielles, on se demande ce qui explique la popularité des iPads.

La saisie des donnés sur un iPad

Si les iPads n’ont pas de clavier matériel, ils ont néanmoins un clavier virtuel qui apparait automatiquement à l’écran que dès qu’on accède à une boite de saisie. Ce clavier ne possède pas de caractères accentués. Toutefois, il suffit de laisser le doigt appuyé sur une voyelle du clavier virtuel pour que ce dernier vous offre toutes ses alternatives accentuées : on déplace le doigt vers l’alternative voulue et celle-ci est alors choisie.

Ceci est évidemment plus long que de saisir du texte à l’aide d’un clavier ordinaire. Toutefois, j’aurais aimé disposer d’un tel clavier pour accéder aux caractères tchèques accentuées comme « Š » ou « ý » en faisant mes diaporamas sur Prague : dans ce cas précis, cela aurait été beaucoup plus facile sur un iPad.

En cas d’erreur, le clavier d’un netbook possède une touche Annuler. Sur l’iPad, une telle touche n’existe pas sur le clavier alphabétique visible par défaut. Toutefois, il suffit d’appuyer sur une touche spéciale de ce clavier pour accéder à un clavier de touches supplémentaires où se trouve justement l’Annuler de l’iPad.

L’utilisateur d’un iPad peut remplacer son clavier virtuel par n’importe quel clavier de son choix (français, anglais ou autre); il peut même en installer plusieurs et changer de l’un à l’autre à la volée.

Sur un iPad, déplacer le curseur à un endroit précis d’un texte est plutôt laborieux. La solution à ce problème aurait pu être d’installer une souris USB : malheureusement, si vous connectez une souris USB à l’aide d’un adaptateur, vous obtiendrez un message d’erreur. Or lorsqu’on tape du doigt sur une lettre, le mieux qui peut arriver, c’est que le curseur se déplace à la fin du mot. Souvent, il se déplacera pas loin, au début ou à la fin d’un autre mot situé aux alentours.

Pour effectuer du couper-coller sur un iPad, le moyen le plus facile est plutôt toucher un mot pendant une ou deux secondes. Ce mot sera alors sélectionné, accompagné de deux boules bleues : l’une apparaissant au début et l’autre à la fin de la zone de sélection. En déplaçant l’une d’elles, on peut agrandir la zone de sélection : dès qu’on arrête, l’iPad vous offrira la possibilité de copier le texte destiné à être collé ailleurs.

Le plus simple est de se procurer un clavier Bluetooth. Malgré son prix (69$) celui-ci est beaucoup moins dispendieux que les comprimés contre les ulcères d’estomac…

Si vous avez écrit un texte dans le métro à l’aide d’un éditeur disponible pour iPad, pouvez-vous le copier sur une clé USB ? Non. Alors on fait quoi ? Eh bien, on peut faire du couper-coller vers un site Web, un blogue, ou sur Facebook, ou s’envoyer le texte par couriel. Passer par l’internet est la seule manière de transférer un texte disponible sur un iPad.

Logiciels et incompatibilités

Sur un netbook, vous pouvez installer n’importe quel logiciel compatible avec votre système d’exploitation. De manière analogue, sur un iPad, on ne peut installer que les mini-applications expressément conçues pour l’iPad.

Il y en a des dizaines de milliers : elles sont gratuites ou ne coûtent presque rien. Il s’agit d’applications bien faites mais plutôt rudimentaires. J’en ai installé 37 et elles m’ont couté au total moins de vingt dollars. Toutefois, les mini-applications n’ont jamais d’infobulle, ni de menu déroulant. Donc, à moins d’offrir de l’aide en ligne, ces applications peuvent facilement être sous-estimées si l’utilisateur ignore ce dont elles sont capables.

De plus, l’utilisateur d’iPad ne dispose pas d’un gestionnaire de fichiers : on ne peut donc pas disposer ses répertoires et ses fichiers à sa guise. Si par exemple, vous visitez Paris et vous voulez transférer vos photos sur votre iPad, pas de problème. Mais si vous voulez les classer dans différents répertoires selon les quartiers ou les arrondissements et ainsi éviter d’avoir à le faire à votre retour de voyage sur votre ordinateur, oubliez-ça.

Sur un netbook, on peut regarder n’importe quel fichier QuickTime. Si la résolution d’une vidéo est nettement plus élevée que la résolution de l’écran, QuickTime abaissera cette résolution à la volée. Pas sur un iPad.

Pour lire une vidéo QuickTime que vous avez vous-même créée, on doit l’installer d’abord sous l’iTunes d’un ordinateur, de connecter l’iPad à cet ordinateur, puis de synchroniser les deux.

Les iPads sont également incompatibles avec les technologies Flash d’Adobe. Cela signifie que vous ne pouvez pas utiliser un iPad pour voir des vidéos du site de Radio-Canada, par exemple. Quant à « Tou.tv », ses émissions ne peuvent pas être regardées sous un fureteur mais sont visibles à l’aide de la mini-application gratuite disponible à l’App Store.

Qu’ils fonctionnent sous Windows ou Linux, les netbooks sont toujours multi-tâches alors que les iPads ne le sont jamais.

La navigation gestuelle

Les premières ardoises électroniques à connaître le succès furent les iPads. Ces derniers doivent leur popularité à leur système d’exploitation conçu pour une utilisation du bout des doigts. Il suffit de glisser un doigt, d’en écarter deux ou de les rapprocher, etc.

L’iPad est utile au représentant désireux de démontrer les avantages d’un produit à un client potentiel, au professeur voulant afficher les diapositives d’une conférence sur un grand écran connecté à son iPad, etc.

C’est ainsi que pour le représentant habitué à faire des présentations PowerPoint sur un ordinateur portable, l’iPad est une merveilleuse invention ; transporter toute la journée un appareil aussi léger que l’iPad fait toute la différence.

Depuis que j’ai un blogue, je fais presque quotidiennement une revue de presse sur mon ordinateur portable, à la recherche de sujets à traiter. À force de cliquer et surtout à d’enfoncer fréquemment la souris pendant plusieurs secondes (afin de faire défiler du texte, par exemple), je commençais à développer une fatigue du poignet — ce que je n’ai pourtant jamais éprouvé à l’adolescence — et qui me semblait être un signe annonciateur du syndrome du tunnel carpien.

Avec l’iPad, cette revue de presse est extraordinairement agréable. C’est ainsi qu’on passe à la page suivante d’un geste de la main, presque comme on tournerait les pages d’une revue.

Conclusion

Je me suis procuré un iPad peu de temps après avoir réalisé que les vidéos sur mon blogue ne pouvaient pas être vues sur ces appareils. Depuis, elles sont toutes sous YouTube (et non plus sous VideoPress), ce qui les rend disponibles à ceux qui parcourent l’internet sur leur iPad.

Avant cet achat, les iPads me semblaient être des netbooks tarés ou des appareils pour internautes passifs ; on pouvait regarder des vidéos ou des photos, écouter de la musique, naviguer sur l’internet, etc. mais on ne pouvait installer aucune application professionnelle, ni gérer ses fichiers à sa manière. Bref, on ne pouvait rien créer de sérieux.

Depuis je me rends compte que les ardoises électroniques sont idéales pour la consultation de textes disponibles sur l’internet ou afin de lire des livres électroniques. Pour le chercheur ou l’élève qui doit préparer un devoir, la navigation gestuelle est le meilleur préventif contre le syndrome du tunnel carpien.

Les ordinateurs conventionnels (dont les netbooks) sont supérieurs pour la création de textes, la retouche photographique, la comptabilité, etc. parce qu’ils permettent le recours à des applications professionnelles.

Bref, l’un et l’autre ont leurs propres forces et faiblesses. On peut donc s’attendre à voir apparaitre un jour des appareils combinant les avantages des deux. Les indiscrétions relatives à la prochaine version de Windows nous permettent d’anticiper cela pour bientôt.

Note : Pour voir la photo du fond d’écran de l’iPad, cliquez sur ceci. Toutefois, pour la photo du fond d’écran du netbook, cliquez plutôt sur cela.

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Hortensia sur la rue St-Denis

22 juillet 2011
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L’Hydrangea macrophylla (appelé Hortensia) est une espèce d’arbuste vivace originaire du Japon. Sauf pour la variété à fleurs blanches, la floraison de l’Hortensia est rose à rouge en sol neutre ou calcaire, et bleu en sol acide.

Pour obtenir cette coloration bleutée, on évite donc l’arrosage avec l’eau calcaire de la ville et on cultive la plante dans un terrain très acide (terre de bruyère pure, tourbe acide, mousse de sphaigne, etc.).

Les produits commerciaux bleuissant pour hortensias sont en général formulés avec du sulfate d’aluminium, reconnu pour stimuler cette coloration bleutée.

Remarque : Depuis hier soir, je cherchais à comprendre pourquoi — sur un Macintosh — la photo ci-dessus apparait si moche sous la version actuelle de Google Chrome (12.0.742.122) alors qu’elle s’affiche correctement sous Firefox (4.0.1 et 5.0.1).

Après de multiples tests, j’ai découvert ce matin que Chrome ne tient pas compte du profil de couleur de cette photo (Adobe RGB 1998). En changeant de profil pour sRGB et en rafistolant la photo, on atténue cette différence sans l’éliminer complètement.

Sous Windows, l’écart entre les deux fureteurs est imperceptible.

Détails techniques : Panasonic GF1, objectif Lumix 20mm f/1,7 — 1/640 sec. — F/1,7 — ISO 100 — 20 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Rudbeckia sur la rue Maquire

21 juillet 2011
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En finissant de travailler, des marguerites jaunes étaient là à faire les belles devant mon appareil photo…

Détails techniques : Panasonic GH1, objectif Voigtländer 25mm F/0,95 — 1/60 sec. — F/8,0 — ISO 100 — 25 mm

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Écrit par Jean-Pierre Martel


Les 16 diaporamas de Chine

20 juillet 2011
Porte de la Cité interdite, sur la Place Tian’anmen, à Beijing

À quoi ressemble la Chine aujourd’hui ? Comment vivent les Chinois ? Comment s’habillent-ils ? Que mange-t-on dans ce pays ?

Les vidéos de mon premier voyage en Chine, en novembre 2009, permettent de répondre à ces questions. Il s’agit de photos prises à l’occasion d’un voyage organisé dans la moitié orientale de la Chine, essentiellement dans les villes et sites touristiques.

Puisque les deux principales agences de voyages montréalaises proposant des voyages en Asie, offrent essentiellement le même circuit en Chine, ces vidéos donnent à ceux qui songent à y prendre part, une idée de ce qui les attend.

Les diaporamas disponibles sur ce blogue représentent plus de mille photos en haute définition et des centaines de séquences vidéo, pour un total d’une heure et demie de visionnement.

Diaporamas Durée Photos Vidéos
Chine01 – De Montréal à Beijing 2:25 26 18
Chine02 – Beijing (jour 1) 9:06 121 27
Chine03 – Beijing (jour 2) 6:58 50 11
Chine04 – Beijing (jour 3) 9:37 87 14
Chine05 – Xi’an (jour 1) 5:57 36 15
Chine06 – Xi’an (jour 2) 6:13 99 10
Chine07 – De Xi’an à Yichang 3:30 40 5
Chine08 à 10 – Croisière sur le Yangzi 7:29 131 13
Chine11 – Chongqing 6:59 117 14
Chine12 – De Chongqing à Suzhou 1:28 34 3
Chine13 – Suzhou et Luzhi sous la pluie 4:29 39 7
Chine14 – Shanghai (discontinué)      
Chine15 – De Shanghai à Yangshuo 3:24 62 8
Chine16 – La rivière Li 9:46 162 18
Chine17 – Guilin 4:34 74 8
Chine18 – Guangzhou (Canton) 5:35 86 14
Chine19 à 21 – Hong Kong 8:18 119 42
Total 1h33:48 1,283 227


Pour consulter la liste des diaporamas de toutes les villes visitées, veuillez cliquer sur ceci

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Écrit par Jean-Pierre Martel