Changer d’heure, quelle plaie !

Le 16 mars 2010

Le dimanche matin, les autobus font la navette aux demi-heures sur l’avenue du Parc — où je travaille de 9h à 19h, une fin de semaine sur deux.

Dimanche dernier, exceptionnellement, j’étais arrivé suffisamment tôt à la Place des Arts, pour prendre l’autobus de 8h10. Toutefois, après quinze minutes d’attente, soit à 8h25, j’ai dû prendre un taxi afin, croyais-je, de ne pas arriver en retard.

Mais c’est le chauffeur de ce taxi qui m’a appris que nous étions passés à l’heure avancée cette nuit-là et par conséquent, que j’étais déjà trente minutes en retard.

C’est la deuxième fois de ma vie que cela m’arrive. Je ne comprends toujours pas ce qui justifie de nos jours qu’on change d’heure deux fois par année.

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